Newsletter
A propos
Nouveautés
Vendez vos livres
Panier
Contact
Le blog
Catégories
Catégories
Sciences
Astronomie
Chimie
Mathématiques
Physique
Sciences naturelles
Techniques
Histoire des sciences
Médecine
Médecine
Pharmacie
Esotérisme
Astrologie
Alchimie
Sciences occultes
Sciences sociales
Economie
Histoire
Philosophie
Droit
Théologie
Arts & Architecture
Art & Livres d'artistes
Architecture
Littérature
Varia
Manuscrits
Reliures
Incunables et XVIème
FRAIS DE PORT GRATUITS EN COLISSIMO
NOUS ACCEPTONS
Manuscrits scientifiques
Résultats (61 - 70) sur
70
<
1
2
3
Récent
Prix ↓
Prix ↑
Auteur A-Z
Auteur Z-A
Titre A-Z
Titre Z-A
Date ↑
Date ↓
[WEBER, Georges Adolph].
Exposition systématique de tous les médicamens qui on été soumis à l'expérience pour reconnaitre leur véritable action.
s.l., s.n., 1831.
Fiche complète >
1200 €
Manuscrit proposant l'un des premiers répertoires de médicaments homéopathiques en langue française à travers une traduction de l'ouvrage de Georg Adolph Weber : "Systematische Darstellung der reinen Arzneiwirkungen aller bisher geprüften Symptome" publié en langue allemande en 1831.
L'ouvrage ne sera édité en français qu'en 1833 avec une traduction par l'homéopathe suisse Peschier sous le titre "Exposition systématique des effets pathogénétiques purs de tous les remèdes mis jusqu’à ce jour en expérience" (Genève, Cherbuliez, 1833).
Notre manuscrit reprend la même structure en deux parties que l'édition allemande, Peschier préfèrera dans sa traduction une disposition alphabétique des médicaments. Notre manuscrit précède ainsi la version publiée en français en 1833.
La reliure est typique des années 1830, nous sommes ainsi aux tout débuts du développement de l'homéopathie en Europe sous l'impulsion de l'école allemande dirigée par Hannemahn (1755-1843) dont Weber est un disciple.
C'est en Suisse et à Lyon que se développe l'homéopathie en langue française, le Comte Sébastien Des Guidi crée en 1830 la Société Homéopathique Lyonnaise et y ouvre ses consultations, on dénombre 5 ou 6 homéopathes en France en 1832 puis 25 en 1833, 52 en 1835. (Cf. Bariety, "Les débuts de l'homéopathie en France", 1969)
Témoin des débuts de l'homéopathie en France.
[BONEFOUS].
Manuscrit de cours de l'université de Toulouse.
Toulouse, s.n., 1754.
Fiche complète >
Vendu
Cours de philosophie en latin donné à l'université de Toulouse en 1765 par le Père Bonefous.
Le scripteur est Jean de Villepreux de Marmande. Le cours est réparti en trois tomes, abordant les sujets suivants :
- Logique et métaphysique
- Ontologie, théodicée, psychologie
- Physique
- Astronomie, Morale
Ce cours de l'université de Toulouse par Bonefous est inédit (aucune occurence sur Calames ou au ccfr), source d'importance pour l'histoire de l'enseignement à Toulouse au XVIIIᵉ siècle.
[MANUSCRIT].
Explication des plantes usuelles.
s.l., s.n., [1714].
Fiche complète >
Vendu
Cours de botanique manuscrit s'intéressant aux "plantes usuelles", plantes dont on pourra faire usage en médecine.
Véritable pharmacopée, restant à étudier, ce cours répertorie 486 plantes, avec pour chacune leur nom binomial en latin et leur usage thérapeutique. Les noms latins se réfèrent aux catalogues de Bauhin (C.B.) et Tournefort (inst. r. h.)
Les plantes semblent suivre un ordre dont la logique n'est pas explicitée dans la courte introduction :
"Le grand nombre de plantes dont j'auray l'honneur de vous entretenir pendant le peu de temps que doit durer ce cours ne me permet pas de nous arrêter ici pour une longue préface où je pourrais vous expliquer en général comment ces mêmes plantes agissent, soit qu'on les regarde comme purgatives ou simplement comme altérantes, [...] me proposant de suivre l'ordre que nous suivrons dans les démonstrations afin que dans le même temps que vous apprendrez à connaitre ces mêmes plantes, vous entriez dans la connaissance de leurs vertus."
La structure de ce cours diffère des cours de "Plantes usuelles" connus, tels qu'ils furent dictés par Chomel et Jussieu.
On retrouve, relié à la suite, un manuscrit de la même main :
"Observations sur les maladies des os expliquées et démontrées par Mr Arnaud Dans l'amphithéâtre du Jardin du Roy le 13 juin 1714". 42 pages.
Ce qui suggère que les deux cours ont été suivis au Jardin du Roi ou Jardin royal des plantes médicinales (futur Muséum d'histoire naturelle à partir de 1793), qui au début du XVIIIe siècle est un haut lieu d'enseignement de la médecine et de la chirurgie. On sait qu'à ces dates-là et Antoine Jussieu et Sébastien Vaillant y enseignent la botanique.
GAUTHIER, Mr.
Collections mathématiques.
s.l., s.n., 1806-1807.
Fiche complète >
1500 €
Manuscrit traitant principalement de problème de géométrie.
L'auteur débute souvent un nouveau thème en citant un extrait de quelques lignes d'un ouvrage d'un mathématicien connu puis il développe ensuite ses démonstrations.
A notre connaissance, ce manuscrit n'a jamais été publié.
Bel exemplaire soigneusement rédigé de cet imposant manuscrit scientifique.
BOUTMY, Emile || RIBOT, Alexandre.
Cours d'Histoire Constitutionnelle donnés à l'École libre des sciences politiques.
s.l., s.n., 1886.
Fiche complète >
2000 €
Manuscrits originaux.
Ensemble rare et bien conservé de deux cours d'histoire constitutionnelle donnés à Sciences Po Paris en 1886 par les fondateurs de l'école : Emile Boutmy et Alexandre Ribot.
Manuscrits parfaitement lisibles et soignés par un scripteur qui restera inconnu et qui fut auditeur du cours d'Emile Boutmy sur la Constitution des Etats Unis en mai-juin 1886 et du cours sur la Constitution française depuis 1789 donné par Alexandre Ribot en février-mars 1886.
Créée par Emile Boutmy au lendemain de la défaite de 1870 et de la Commune de Paris, l'École libre des sciences politiques (maintenant connue sous le nom de Sciences-Po) visait à enseigner les sciences politiques comme une science positive. Elle formera l'élite des hommes politiques jusqu'à nos jours.
1886 fut la dernière année au cours de laquelle Boutmy donna son cours sur la Constitution des Etats Unis, on en connait une transcription dans les notes laissées par Pierre de Coubertin qui fut également auditeur de ce cours la même année. Une comparaison de la transcription des notes de Coubertin et de notre manuscrit nous laisse à penser que notre recueil est plus fidèle (semble être une retranscription mot à mot) de l'enseignement de Boutmy.
Le cours d'Alexandre Ribot sur la Constitution française (seconde partie d'un cours plus étendu sur les constitutions européennes) laisse une part importante sur la naissance de la IIIème république dont les lois constitutionnelles ne furent votées qu'en 1875.
[ASTRUC, Jean].
Traité des maladies des enfans.
s.l., s.n., [v.1750].
Fiche complète >
2500 €
Manuscrit original en français.
Ce manuscrit anonyme reprend le cours que donnait Jean Astruc (1684 -1766), le titulaire de la chaire de médecine au Collège royal à partir de 1731.
L'enseignement du médecin montpelliérain connaissait un grand succès. Astruc dictait ses cours et à plusieurs reprises, ces textes furent publiés sans nom d'auteur et, mal recopiés, dénaturant la pensée du savant médecin.
Ce n'est qu'à la fin de sa vie qu'Astruc estima nécessaire de rédiger ses cours pour éviter des contrefaçons. Cependant, son enseignement sur les maladies des enfants, ne fut jamais publié. Seule une édition "pirate" avait paru en langue anglaise en 1746.
Notre cours reprend la structure des quelques copies manuscrites que l'on connait, notamment celle du manuscrit Kottek de 1747, qui avait fait l'objet d'un fac simile moderne (Stalkine, 1980).
À part de subtiles différences de formulation, notre manuscrit est quasiment identique au manuscrit Kottek. On remarquera cependant quelques différences ; par exemple, dans notre manuscrit, Astruc propose la fin du premier âge de l'enfance à deux ans et demi au lieu de trois ans et demi dans le manuscrit Kottek.
[MANUSCRIT].
Livre pour les communications dicté par l'esprit de Mon grand Père , Moret Louis Piere, donner à Madame Parain.
s.l., s.n., [v.1867].
Fiche complète >
2500 €
Manuscrit original.
Très rare manuscrit de comptes rendus de séances de spiritisme.
La vague spirite débarque en France en 1854, et se répand dans tous les milieux de la société. On se souviendra par exemple des célèbres séances de Victor Hugo à Guernesey…
Dans les décennies suivantes, dans toutes les familles bourgeoises, on essaie de faire tourner ou danser les tables. Les méthodes de contact spirite s’affinent, on voit apparaître les méthodes d’écriture automatique en présence ou non d’un médium.
Très peu de séances de cette époque ont laissé des traces écrites.
Le manuscrit que nous présentons est la retranscription de séances d’écriture automatique s’étant déroulées entre octobre 1866 et mars 1867 dans la famille Moret. Les premières séances se déroulent en présence de la médium Mme Parain puis à Bordeaux avec l’aide de Mme Benoit.
Mme X. (non identifiée) y contacte d’abord son grand père décédé Louis Pierre Moret. C’est d’ailleurs pour cela qu’elle retranscrit le contenu de ses communications dans ce carnet qui appartenait à son grand père. Les premières communications sont courtes, mais peu à peu l’esprit prend confiance et les communications sont plus longues. C’est ensuite sa mère Marie Louise Moulins qui « prend » la plume, puis son père Moret. Il est d’ailleurs amusant de constater que les signatures des esprits se différencient peu à peu.
Les esprits conseillent à leur descendante de prier pour eux, d’être charitable et surtout de diffuser les idées du spiritisme ! On sait que son mari s’est essayé à une séance mais semble très sceptique…Dans une communication l’un des esprits évoque l’Autre monde qui est organisé en planètes hiérarchisées selon le degré de sagesse, le sommet semble en être la planète Junon.
Manuscrit de 70 pages tout à fait passionnant à lire !
Le livre est poursuivi par une autre main (probablement au début du XXème siècle) qui s’en est servi pour noter des citations et pensées célèbres (sur 114 pages, une vingtaine de feuillets ont été découpés dans cette partie) puis restent 250 pages vierges.
BECQUEREL, Henri.
Manuscrit autographe : Reflexions sur une théorie moderne.
s.l., s.n., [1907].
Fiche complète >
4000 €
Manuscrit original de la main d'Henri Becquerel.
Manuscrit particulièrement intéressant dans lequel le découvreur de la radioactivité s'interroge à la fin de sa vie sur la nature même de la matière.
Cette épreuve avec corrections destinées à l'impression sera publiée à l'Institut de France après une lecture lors de la séance du 25 octobre 1907.
C'est l'un des derniers ouvrages d'Henri Becquerel qui décèdera en août 1908, il y questionne l'histoire de la théorie de la matière qui s'est vue bouleversée par les dernières découvertes : électron (Thomson, 1897), radioactivité (Becquerel, 1896), désintégration des éléments (Rutherford, 1902).
L'atome de Démocrite par définition stable et insécable semble ainsi compromis, Becquerel nous dit :
"On devrait en conclure qu'au lieu de supposer les atomes éternellement stables, ceux-ci peuvent subir des modifications, mais la lenteur de la transmutation, ou la rareté des conditions favorables, nous donnerait l'illusion de la stabilité".
On remarque quelques corrections qui ont été intégrées à la version finalement imprimée (que l'on joint au manuscrit. 15 pages, brochée (couverture détachée)).
[MANUSCRIT] MAHOT, Maurice.
Traité de Botanique sur Estampes du Traité historique des Plantes de Buchoz classées suivant Tournefort & Linné.
[Nancy], [Buc'Hoz], [1762-1770].
Fiche complète >
7000 €
Manuscrit original d'un traité de botanique resté inédit par un érudit nantais.
Il y présente des notions de botanique ainsi que les classifications de Linné et Tournefort.
Ce manuscrit de près de 200 pages est rédigé au verso des estampes de la flore lorraine éditée par Buc'hoz.
Toutes les planches sont, elles aussi, annotées avec des précisions sur le nom des plantes, leur classification dans Linné et Tournefort, et leur usage en médecine. L'ensemble constituant une véritable pharmacopée.
Ces 187 planches étaient destinées à illustrer le "Traité historique des plantes qui croissent dans la Lorraine et les Trois Évêchés" de Buc'hoz, qui parut en dix volumes in-8 de 1762 à 1770. Les planches, qui parurent à part, en livraisons, et qui devaient être pliées et reliées au format in octavo, sont ici rassemblées dans un volume in folio.
Buc'hoz, resté célèbre pour la beauté des planches qu'il éditait, avait sollicité le concours pécuniaire de compatriotes et d'amateurs de botanique pour l'exécution de ces gravures. Aussi, en bas de presque toutes les planches, se trouvent les armoiries et le nom du personnage qui en avait payé les frais.
Maurice Mahot, l'auteur de ce manuscrit, avait fait don de la figure 152.
Si les informations biographiques sur Maurice Mahot "père" (1745-1810), Conseiller du Roi, juge civil et criminel au présidial, échevin (1777) et sous-maire de Nantes (1779), ne laissent que peu de place à un intérêt particulier pour les sciences naturelles et la botanique, il en est tout autre pour son fils Maurice Mahot "fils" (1774-1842), docteur en médecine, érudit qui publia plusieurs livres que ce soit en médecine ou en lexicologie.
L'annotation par le fils, médecin, des planches payées par le père, féru de botanique, expliquerait les nombreuses recettes pharmaceutiques et médicales que l'on retrouve dans l'ouvrage.
Un autre collectionneur laisse son nom sur la page de titre : Silas Boucher de la Ville Jossy, issu d'une famille de notables nantais au milieu du XIXe siècle.
Un manuscrit passionnant, encore largement à étudier, d’un caractère exceptionnel tant par la beauté de ses planches annotées que par son contenu mêlant classification botanique et pharmacopée.
[LIVRE d'HEURES ENLUMINÉ].
Livre d’Heures à l’usage de Paris.
s.l., s.n., [circa 1420].
Fiche complète >
33000 €
Manuscrit provenant d'un atelier parisien fortement inspiré par le Maître de Boucicaut.
Ce manuscrit est un bel exemple de la production parisienne de livre d'heures à destination de l'aristocratie.
L'usage abondant de l'or à la feuille, les très nombreuses initiales ornées et les marges agrémentées de feuilles de vigne travaillées à l'or, sont autant de signes d'un travail de haute qualité, effectué pour un personnage de grande importance.
Chaque peinture se présente dans un encadrement cintré encadré d'un listel peint aux gouaches rouges et bleus rehaussées d'or à la feuille. Les très nombreux bouts de ligne et petites initiales renforcent cet aspect luxueux.
Le peintre utilisant une palette étendue aux vifs contraste, n'hésite pas à utiliser un rouge minium éclatant qu'il oppose aux bleus et verts tendres de la plus heureuse des manières. Les fonds abstrait et l'usage systématique d'un sol herbeux, semé de jonquille donne à l'ensemble du manuscrit une belle cohérence et une grande élégance.
Certaines peintures préservées, comme celle de l'annonce faite aux bergers, de le crucifixion, et de Sainte-Marguerite témoignent bien du talent de l'artiste et de la grande qualité de ce manuscrit.
Il est à noter que le thème de l'image de la fuite en Egypte est la reprise exacte de la fuite en Egypte du Maitre de Boucicaut.
Résultats (61 - 70) sur
70
<
1
2
3
Récent
Prix ↓
Prix ↑
Auteur A-Z
Auteur Z-A
Titre A-Z
Titre Z-A
Date ↑
Date ↓
A propos
Vendez vos livres
Contact
Newsletter
Blog
52 rue des Ecoles 75005 Paris
tel. 01 43 54 22 23
contact@livresanciens.com
Conditions générales de vente
TVA intracommunautaire : FR87515091171
© Librairie Eric Zink Livres Anciens