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Médecine, Chirurgie, Anatomie
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Titre A-Z
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CONSTANT DE REBECQUE, Jacob.
Le Chirurgien François Charitable comprenant le droit usage des principales Operations & des principaux remèdes de Chirurgie et le moyen de s'en servir dans la cure particulière des maladies extérieures du corps humain.
Lyon, Jean Certe, 1683.
Fiche complète >
250 €
Seconde édition.
Médecin suisse, Jacob Constant de Rebecque se fit connaitre avec sa trilogie des "charitables": le chirurgien charitable, le médecin charitable et l'apothicaire charitable.
MALPIGHI, Marcello.
Discours anatomiques sur la structure des visceres, sçavoir du foye, du cerveau, des reins, de la ratte.
Paris, Laurent d'Houry, 1683.
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1500 €
Première édition en français.
Traduction en français des deux principales oeuvres de Malpighi, pour lesquelles il est considéré comme le fondateur de l'histologie.
- De viscerum structura exercitatio anatomica parue en latin en 1666, ouvrage dans lequel Malpighi décrit la structure rénale maintenant connue sous le nom de "corpuscule de Malpighi"
- De pulmonibus observations anatomicae parue en latin en 1663, ouvrage formé de deux lettres à Borelli dans lequel Malpighi expose sa découverte de la circulation capillaire.
BLEGNY, Nicolas de.
Le Remède Anglois Pour la Guérison Des Fièvres.
Paris, Chez l'Autheur, 1682.
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Vendu
Edition originale.
Le premier livre français promouvant la Quinine pour le traitement des fièvres.
Si l'Europe connaissait déjà le quinquina, c'est le médecin anglais Talbot qui parvint à le rendre populaire.
"Talbot avait trouvé le moyen de présenter le quinquina de telle manière qu'il ne rebutait pas les malades. [...] Depuis 1678 il était le médecin personnel du roi Charles II, était venu en France au cours de cette même année pour soigner la petite Mademoiselle. [...] Il traite le dauphin et toute la famille royale, et il est largement récompensé par le roi qui lui accorde la naturalisation. " (Talbot, vulgarisateur du quinquina en France : M. Bouvet, in Bulletin des sciences Pharmacologiques, 1934. In: Revue d'histoire de la pharmacie, 22ᵉ année, n°86, 1934. pp. 307-308.)
A la suite de la rechute de quelques malades qu'il avait traité, on se détourne de lui et il retourne en Angleterre emportant avec lui sa fortune et le secret de son "remède anglais".
Le roi demande alors à Nicolas de Blegny, son médecin, de publier ce livre livrant la recette de la préparation et de l'utilisation de la quinine.
Un chapitre est également consacré à l'histoire et l'usage de l'opium.
LOWER, Richard.
Traité du coeur, du mouvement et de la couleur du sang.
Paris, Estienne Michallet, 1679.
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1500 €
Première édition en français. (EO en latin : Tractatus de Corde. 1669).
Ce traité du coeur est le plus important depuis les travaux de Harvey. Lower décrit les mécanismes du cœur et de la respiration, et rapporte ses expériences sur la transfusion.
Les principales contributions de Lower portent sur la musculature du cœur, son explication de la nature musculaire du rythme cardiaque, et sa preuve que le sang veineux sombre devient rouge vif en passant par les poumons suite au contact avec l'air. Il et aussi l'un des premiers à tenter des transfusions sanguines.
Exemplaire bien complet des 7 planches requises.
MASSARD, Jacques.
Panacée, ou discours sur les Effets singuliers d'un Remède experimenté, & commode pour la guérison de la pluspart des longues maladies; même de celles qui semblent incurables.
Grenoble, Chez l'Auteur, 1679.
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300 €
Edition originale.
Ouvrage décrivant la Panacée de Massard sensée guérir tous les maux. De nombreux cas de guérisons viennent en vanter les vertus.
GLISSON, Francis.
Tractatus de ventriculo et intestinis. Cui praemittitur alius, de partibus continentibus in genere, & in specie, de iis abdominis.
Amsterdam, Jacobum Juniorem, 1677.
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300 €
Edition in-12 publié la même année que l'originale donnée à Londres.
DE LA FONT, Charles.
Dissertationes duae medicae de veneno pestilenti, in quarum priori agitur de veneni pestilentis natura et causis [...].
Avignon, Pierre Offray, 1670.
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600 €
Edition originale.
Ouvrage consacrée à la Peste dont l'auteur défend qu'elle serait due à l'action corrosive de vapeurs salines (tels l'Arsenic ou le Mercure). Il vient contredire certaines position de l'anglais Thomas Willis à ce propos.
L'Europe et plus particulièrement l'Angleterre vient alors de connaitre une épidémie de Grande Peste.
HELMONT, Jean Baptiste van.
Les Oeuvres de Jean Baptiste Van Helmont Traittant des Principes de Médecine et Physique pour la guerison assurée des Maladies : de la traduction de M. Jean le Conte.
Lyon, Jean Antoine Huguetan, 1670.
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850 €
Première édition en français, et premier tirage à la date de 1670.
Helmont est l'un des fondateurs de la biochimie.
Il fut le premier à comprendre l'importance des ferments et des gaz.
Il est d'ailleur l'inventeur du mot "gaz". (Garrison).
WILLIS, Thomas.
Pathologiae cerebri et nervosi generis specimen. In quo agitur de morbis convulsivis et de scorbuto studio.
Amsterdam, Daniel Elzevir, 1670.
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450 €
Rare édition hollandaise de cet important ouvrage de Thomas Willis, l'un des pionniers de la neuroanatomie et la neuropathologie. Avec ce livre il est l'un des premiers à relier troubles psychologiques et altérations des structures du cerveau.
"One of the earliest textbooks on nervous diseases " (Garrison's History of neurology).
[BONET, Théophile].
Observations et histoires chyrurgiques tirées des Oeuvres de quatre excellens médecins.
Genève, Pierre Chouët, 1669.
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350 €
Cette édition publiée par Théophile Bonet rassemble les observations de Pierre La Forêt, Félix Plater, Balthazar Timaeus et Pierre de Marchettis.
MAURICEAU, François.
Des maladies des femmes grosses et accouchées avec la bonne et véritable méthode de les bien aider en leurs accouchemens naturels etc.
Paris, Jean Henault, 1668.
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5000 €
Édition originale de cet ouvrage majeur qui établit l'obstétrique comme une science à part entière.
François Mauriceau (1637-1709), premier chirurgien accoucheur de la Maternité de Paris, est considéré comme le fondateur de l'obstétrique française.
Cet ouvrage établit l'obstétrique comme une science indépendante
Illustrée de 30 gravures gynécologiques et obstétriques dans le texte, maintes fois réédité, il est aussi devenu un manuel pratique incontournable sur la grossesse et l'accouchement. au XVIIe siècle.
Outre la synthèse des connaissances de l'époque, Mauriceau y intègre également plusieurs nouveautés importantes, telles que l'analyse détaillée du mécanisme du travail et l'introduction de la pratique de l'accouchement au lit plutôt que sur la chaise obstétricale.
[Barbiers chirurgiens].
Arrest d'audience du parlement confirmatif de l'union des chirurgiens jurez, & barbiers chirurgiens. A la charge de soubmission à la faculté de médecine. Avec défense de prendre qualité de bacheliers, licentiez, docteurs & college : faire lectures ny actes publics : porter robes, ny bonnets, prononcé le septieme febvrier 1660.
Paris, François Muguet, 1660.
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750 €
Rare édition originale de l'arrest confirmant la soumission des chirurgiens à la faculté de médecine.
A Paris, depuis la fin du XVIe siècle, les chirurgiens lettrés et la faculté de médecine sont engagés dans un long conflit. Les chirurgiens voudraient faire de la chirurgie une discipline universitaire, et contrôler la formation des barbiers-chirurgiens.
Les médecins refusent, pour eux seule la médecine est universitaire, et c'est à eux de contrôler les barbiers-chirurgiens.
En 1660, le Parlement de Paris donne raison aux médecins. Une barrière juridique et institutionnelle est établie.
"Le 7 février 1660, la Cour rend son jugement. Les deux communautés des barbiers et des chirurgiens unies restent soumises à la Faculté (...). La décision est dure pour les chirurgiens : on leur retire le bonnet et la robe longue ainsi que les grades de bacheliers, licenciés, docteurs et Collège, ne leur laissant que les qualités d’aspirants en maîtrise, maîtres et communauté. Il leur est en outre interdit de donner des lectures publiques et d’enseigner." (Marie Gatti. La querelle des barbiers, chirurgiens et médecins (XIIIe-XVIIIe siècles). Sciences du Vivant.2014. p.52).
NALDI, Mathieu.
Aphorismorum Hippocratis explanatio.
Rome, Ignatii de Lazaris, 1657.
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350 €
Edition originale de ces commentaires d'Hippocrate par Mathieu Naldi.
Les Aphorismes d’Hippocrate ont été considérés jusqu’au XIXe siècle comme une "bible" de la médecine
Mathieu Naldi (ou matteo / ou Naldius), médecin du dix-septième siècle, natif de Sienne, se rendit célèbre par ses connaissances dans les langues orientales mises aux services ici des aphorismes grecs d'Hippocrate.
Il enseigna pendant quelque temps à Pise avec beaucoup d'éclat, et devint médecin du pape Alexandre VII. Cette haute dignité ne l'empêcha pas de faire des cours à Rome, dont il contribua beaucoup à faire fleurir l'Université. Il mourut en 1682, dans un âge fort avancé.
Exemplaire dans une reliure en parchemin teintée, inhabituelle pour l'époque, probablement de facture italienne.
WECKER, Jean Jacques.
Les Secrets et merveilles de nature.
Lyon, Jean Aymée Candy, 1652.
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600 €
Jean-Jacques Wecker (1528-1585) médecin, philosophe et alchimiste allemand.
On trouve dans cet ouvrage des secrets de beauté, des conseils pour la destruction des parasites, des renseignements sur les teintures, les vernis et les dorures, le jardinage, la conservation des fruits, la fabrication de l'encre, la façon d'enlever des taches, des tours de physique amusante...et des chapitres plus ésotériques sur les démons et l'alchimie.
BACHOT, Etienne.
Apologie ou défense pour la saignée contre ses calomniateurs.
Paris, Sébastien Cramoisy, 1646.
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600 €
Edition originale.
Médecin-poète, Étienne Bachot (1608-1688) choisit ici la langue française pour défendre la saignée. Si l'usage de la saignée est alors, au milieu du dix-septième siècle, à son apogée; certaines critiques ont commencé à apparaitre. Fort de son appartenance à la faculté de Paris, Bachot y répond dans cet ouvrage.
BEVERWYCK, Jan van.
De calculo renum & vesicae liber singularis. Cum epistolis & consultationibus magnorum virorum.
Leyden, Elzevier, 1638.
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Vendu
Edition originale de ce célèbre ouvrage en urologie, l'un des premiers livres de médecine à accepter la théorie de William Harvey sur la circulation du sang.
Reliés à la suite deux rares ouvrages sur la peste:
- PAAW, Pierre. Tractatus de Peste. Leyde, Abraham Commelini, 1636
- Theodore de BEZE. De Pestis Contagio et Fuga. 1636
RARE EXEMPLAIRE AUX ARMES DE FRANÇOIS-AUGUSTE DE THOU.
"François-Auguste de Thou, fils aîné de Jacques-Auguste de Thou, président à Mortier au Parlement de Paris et de Gasparde la Chastre, sa seconde femme, né à Paris vers 1607, succéda à son père dans la charge de grand maître de la librairie du roi en 1617; conseiller au Parlement de Paris à 19 ans, puis maître des requêtes et conseiller d'Etat, il se lia avec Cinq-Mars et connut le complot formé par ce dernier, sans y prendre lui-même une part active; arrêté au camp de Perpignan le 6 juin 1642, il fut condamné à mort à Lyon et décapité le 12 septembre 1642, sur la place des Terreaux.
Il avait hérité de la bibliothèque de son père, qu'il conserva soigneusement et qui passa après sa mort à son frère cadet, Jacques-Auguste.
Il faisait frapper sur les volumes, dont il augmenta le fonds paternel, les armes simples des de Thou," (OHR).
MERCURIALE, Girolamo.
De morbis cutaneis et omnibus corporis humani excrementis tractatus.
Venise, Iuntas, 1601.
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1000 €
Troisième édition.
Le premier ouvrage dédié aux maladies de peau, rédigé par Paul Aicardi d'après les leçons de Mercuriale.
"De decoratione liber", habituellement relié à la suite de De morbis cutaneis est absent ici.
FOESIO, Anutio, HIPPOCRATE.
Magni Hippocratis medicorum omnium facile principis opera omnia quae extant.
Francofurdi, Andrea Wecheli, 1595.
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1800 €
Édition originale de la traduction du grec au latin des oeuvres d'Hippocrate par Anuce Foes.
Cette traduction est resté la référence pendant 250 ans, jusqu'à son remplacement par l'édition française de Littré [1839 à 1861].
Les oeuvres d'Hippocrate sont en réalité un ensemble d'une soixantaine d'écrits, qui furent composés entre 450 et 350 avant J.-C; Ils constituent notre principale source d'information sur la médecine grècque avant l'époque d'Alexandrie.
C'est au cours du seizième siècle que les érudits ont progressivement donné naissance à un corpus hippocratique en latin qui a eu cours jusqu'à son remplacement par l'édition française de Littré [1839 à 1861].
Les éditions marquantes ayant permis cet aboutissement sont les éditions princeps en latin (1525 à Rome) puis en grec (1526, Alde), qui permirent la découverte de manuscrits jusque là pratiquement inconnus.
Vinrent ensuite les éditions baloises de 1538 et 1546 (Froben) qui menèrent à bien la correction systématique des éditions princeps.
Enfin, en 1595, le médecin de Metz Anuce Foes (1528-1595) fait imprimer notre édition bilingue grec/ latin "exacte et complète des oeuvres d'Hippocrate, oeuvres aussi avidement désirées, que vainement attendues depuis longtemps. La presse gémit enfin, dit Percy." (Dezeimeris [II, p.333]).
Exemplaire très frais de cette rare édition des Oeuvres d'Hippocrate.
PICHOTUS, Petrus.
De rheumatismo, catharrho variisque a cerebro destillationibus, & horum curatione Libellus.
Burdigalae, S. Millangium, 1577.
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900 €
Rare édition originale.
C'est dans cet ouvrage que l'on trouve pour la première fois le terme de rhumatisme.
Il n'avait alors pas le même sens qu'aujourd'hui.
La racine «rheum» fait référence aux fluides corporels plutôt qu'au «rhumatisme» tel que nous le connaissons aujourd’hui.
Dans cet ouvrage, Pierre Pichot traite en effet des sécrétions du cerveau, en fait du rhume.
GORDON, Bernard (de).
Bernardi Gordonii opus, lilium medicinae inscriptum de morborum propre omnium curatione septem particulis distributum.
Lyon, Guillaume Rouillé, 1574.
Fiche complète >
1500 €
Edition donnée par Guillaume Rouillé et augmentée de trois textes qui ne figurent pas dans son édition de 1550.
Le Lilium medicinae, est l'oeuvre majeure de Bernard de Gordon, médecin montpellierain du début du XVème siècle.
Il y expose un savoir hérité des connaissances de médecine du moyen-âge.
On trouve dans le Lilium medicinae la première mention des lunettes.
MONTEUX, Jerôme de.
Conservation de santé, et prolongation de vie, livre fort utile & nécessaire non seulement aux médecins, mais aussi à toute personne qui veult avoir sa santé corporelle, sans laquelle cette vie est sans fruit.
Paris, Simon Calvarin, à l'enseigne de la Rose blanche couronnée, 1572.
Fiche complète >
800 €
Seconde édition en français.
Médecin dauphinois, Jérôme de Monteux, seigneur de Miribel, accoucha Catherine de Médicis du futur François II et fut médecin conseiller d’Henri II.
Traité de médecine empruntant aux antiques leurs conseils pour mener une vie saine : diététique, sommeil, économie des passions. Paru en latin en 1557, on y découvre en filigrane ce que pouvait être la vie quotidienne à la cour de France au milieu du XVIème siècle.
MERCURIALE, Girolamo.
Artis gymnasticae apud antiquos celeberrimae nostris temporibus ignoratae libri sex.
Venise, Iuntas, 1569.
Fiche complète >
2000 €
Edition originale.
Girolamo Mercuriale (1530-1606), alors que le corps avait été quelque peu délaissé par l'occident, s'inspire du principe de Juvénal : Mens sana in corpore sano et nous propose en étudiant les textes de l'antiquité le premier livre de gymnastique.
" [...] sa connaissance intéresse tout homme qui professe la médecine, d'autant plus qu'on trouve chez Hippocrate, Platon et Galien l'affirmation répétée à maintes reprises selon laquelle les exercices, si on désire mener une vie saine, procurent des avantages si grands et si nombreux que c'est à peine si les autres ressources de la médecine en procurent autant." (traduction d'une partie du livre III)
"Héritier de la tradition galénique, Mercuriale puise dans la littérature grecque et latine, mais aussi chez ses contemporains. Utilisant à la fois son savoir médical et les acquis de l'antiquaria, il rédigea le premier traité de gymnastique de notre histoire, les 6 livres du De Arte Gymnastica" (Jean-Michel Agasse, "Le De arte gymnastica de Girolamo Mercuriale : archéologie et culture du corps à la Renaissance", thèse de doctorat)
La planche dépliante est la proposition d'un plan de Gymnase.
HIPPOCRATE || BRECHE, Jean.
Les Aphorismes d'Hippocrates, prince des médecins.
Paris, Jacques Kerver, 1550.
Fiche complète >
2500 €
Première édition en français des Aphorismes d'Hippocrate, en reliure d'époque
Ces aphorismes sont considérés comme l'un des textes fondateurs de la médecine occidentale. Ils contiennent des principes et des observations sur la santé, la maladie et la pratique médicale.
Chaque Aphorisme en latin est suivi de sa traduction et de son commentaire en français.
Quelques notes manuscrites en marges d'une écriture du début du XVIIème siècle.
GALIEN (Claudius Galenus).
Claudii Galeni Pergameni Introductio in pulsus ad Teuthram.
Lyon, Guillaume Rouillé, 1550.
Fiche complète >
500 €
Réunion de quatre traités de Galien parus chez Guillaume Rouillé :
- Introduction in pulsus ad teuthram, 1550 traduit par Martino Gregorio.
- De Differentiis febrium libri duo, 1570 traduit par Laurentiano Florentino.
Pour Galien, les états fébriles (définis par un excès de chaleur dans le coeur qui se diffuse ensuite dans le reste du corps) ne sont pas rangés parmi la sémiologie d'une maladie, mais considérés comme des pathologies à part entière.
Il décrit les différentes espèces de fièvres simples (sanguine, bileuse, pituiteuse) dont il affirme qu'elles sont causées par des maladies de même nature.
- De Diebus decretoriis libri tres, 1553 traduit par Joanno Guinterio Andernaco.
- De Elementis libris duo, 1558 traduit par Victore Trincavelio.
Galien (129-210 avant JC) est considéré comme le dernier des grands médecins créateurs de l'Antiquité gréco-romaine et avec Hippocrate, un des fondateurs des grands principes de base sur lesquels repose la médecine occidentale.
CELSE (Aulus Cornelius Celsus).
De Re medica libri octo.
Lyon, Jean de Tournes, 1549.
Fiche complète >
900 €
Edition du seizième siècle donnée par Jean de Tournes.
Exemplaire copieusement annoté.
Ce texte de Celse est le plus ancien document médical après les écrits d'Hippocrate. Il a été écrit en l'an 30 après JC.
Celse a laissé le meilleur compte rendu de la médecine romaine, il a été le premier historien médical important. (Garrison-Morton).
C'est une histoire extrêmement intéressante de la médecine et la chirurgie, y compris les symptômes et le traitement de la maladie ainsi que des descriptions de chirurgie plastique, le goitre, l'amygdalectomie, le traitement des fractures, et les procédures dentaires. ( Heirs of Hippocrate)
L'édition est suivie du poème De medicina (composé de 1115 vers hexamètres) avec préceptes empruntés à Pline et à Dioscoride sur l'art de guérir) de Quintus Serenus Sammonicus, auteur latin assassiné sous l'ordre de Caracalla en 212. À la fin, on trouve le poème de Q. Rhemnius Palaemon sur les poids et mesures.
L'intégralité de l'ouvrage a été annoté à l'époque dans les marges d'une fine écriture du XVIe siècle. Sur presque chacune des pages, des passages sont soulignés et /ou des notes ont été ajoutées en marges. Certaines notes coupées par le relieur.
HIPPOCRATE || [CORNARIUS, Janus].
Hippocratis Coi medicorum omnium longe principis, Opera, quae ad nos extant, omnia.
Venise, apud Vicentium Valgrisium, 1546.
Fiche complète >
950 €
Rare édition vénitienne du seizième siècle des oeuvres d'Hippocrate dans la traduction latine donnée par le médecin humaniste Janus Cornarius (1500-1558).
L'impression est l'oeuvre de Vicenzo Valgrisi l'un des plus célèbres imprimeur de Venise au XVIème siècle, son travail typographique est d'une grande qualité.
Bel exemplaire.
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