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LEMERY, Nicolas.
Pharmacopée universelle contenant toutes les compositions de pharmacie.
Avignon, Jean Delorme, 1716.
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450 €
Seconde édition revue, corrigée et augmentée.
Traité fondamental de Nicolas Lemery, célèbre pharmacien et médecin français. Cet ouvrage présente un panorama complet des préparations pharmaceutiques utilisées au début du XVIIIe siècle en Europe, accompagné d'un lexique pharmaceutique. Lemery est une figure majeure de la chimie et pharmacie moderne.
LOECHES, Juan.
Tyrocinium pharmaceuticum, theorico practicum, galeno-chymicum.
Gerone, Narcissi Oliva, 1755.
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250 €
Ouvrage peu commun d'un apothicaire de Madrid qui nous livre sa pharmacopée (texte en latin). Les livres de pharmacie espagnols sont assez rares.
LOECHES, Juan.
Tyrocinium pharmaceuticum, theorico practicum, galeno-chymicum.
Barcelon, Joannis Jolis, 1751.
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450 €
Ouvrage peu commun d'un apothicaire de Madrid qui nous livre sa pharmacopée (texte en latin). Les livres de pharmacie espagnols sont assez rares.
Bon exemplaire.
LUDWIG, Daniel || ETTMÜLLER, Michel.
Traité du bon choix des médicamens.
Lyon, Frères Bruyset, 1730.
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200 €
Seconde édition en français.
Pharmacopée galénique traduit des textes des médecins allemands Ludwig (ludovicus) et Ettmuller.
Important traité pharmacologique initialement publié en latin, destiné à guider les médecins et pharmaciens dans le choix judicieux des médicaments. Conseils pratiques et précis pour choisir les remèdes les mieux adaptés à chaque affection selon leur efficacité, leurs qualités et leur toxicité potentielle.
[MANUSCRIT].
Explication des plantes usuelles.
s.l., s.n., [1714].
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Vendu
Cours de botanique manuscrit s'intéressant aux "plantes usuelles", plantes dont on pourra faire usage en médecine.
Véritable pharmacopée, restant à étudier, ce cours répertorie 486 plantes, avec pour chacune leur nom binomial en latin et leur usage thérapeutique. Les noms latins se réfèrent aux catalogues de Bauhin (C.B.) et Tournefort (inst. r. h.)
Les plantes semblent suivre un ordre dont la logique n'est pas explicitée dans la courte introduction :
"Le grand nombre de plantes dont j'auray l'honneur de vous entretenir pendant le peu de temps que doit durer ce cours ne me permet pas de nous arrêter ici pour une longue préface où je pourrais vous expliquer en général comment ces mêmes plantes agissent, soit qu'on les regarde comme purgatives ou simplement comme altérantes, [...] me proposant de suivre l'ordre que nous suivrons dans les démonstrations afin que dans le même temps que vous apprendrez à connaitre ces mêmes plantes, vous entriez dans la connaissance de leurs vertus."
La structure de ce cours diffère des cours de "Plantes usuelles" connus, tels qu'ils furent dictés par Chomel et Jussieu.
On retrouve, relié à la suite, un manuscrit de la même main :
"Observations sur les maladies des os expliquées et démontrées par Mr Arnaud Dans l'amphithéâtre du Jardin du Roy le 13 juin 1714". 42 pages.
Ce qui suggère que les deux cours ont été suivis au Jardin du Roi ou Jardin royal des plantes médicinales (futur Muséum d'histoire naturelle à partir de 1793), qui au début du XVIIIe siècle est un haut lieu d'enseignement de la médecine et de la chirurgie. On sait qu'à ces dates-là et Antoine Jussieu et Sébastien Vaillant y enseignent la botanique.
[MANUSCRIT] MAHOT, Maurice.
Traité de Botanique sur Estampes du Traité historique des Plantes de Buchoz classées suivant Tournefort & Linné.
[Nancy], [Buc'Hoz], [1762-1770].
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7000 €
Manuscrit original d'un traité de botanique resté inédit par un érudit nantais.
Il y présente des notions de botanique ainsi que les classifications de Linné et Tournefort.
Ce manuscrit de près de 200 pages est rédigé au verso des estampes de la flore lorraine éditée par Buc'hoz.
Toutes les planches sont, elles aussi, annotées avec des précisions sur le nom des plantes, leur classification dans Linné et Tournefort, et leur usage en médecine. L'ensemble constituant une véritable pharmacopée.
Ces 187 planches étaient destinées à illustrer le "Traité historique des plantes qui croissent dans la Lorraine et les Trois Évêchés" de Buc'hoz, qui parut en dix volumes in-8 de 1762 à 1770. Les planches, qui parurent à part, en livraisons, et qui devaient être pliées et reliées au format in octavo, sont ici rassemblées dans un volume in folio.
Buc'hoz, resté célèbre pour la beauté des planches qu'il éditait, avait sollicité le concours pécuniaire de compatriotes et d'amateurs de botanique pour l'exécution de ces gravures. Aussi, en bas de presque toutes les planches, se trouvent les armoiries et le nom du personnage qui en avait payé les frais.
Maurice Mahot, l'auteur de ce manuscrit, avait fait don de la figure 152.
Si les informations biographiques sur Maurice Mahot "père" (1745-1810), Conseiller du Roi, juge civil et criminel au présidial, échevin (1777) et sous-maire de Nantes (1779), ne laissent que peu de place à un intérêt particulier pour les sciences naturelles et la botanique, il en est tout autre pour son fils Maurice Mahot "fils" (1774-1842), docteur en médecine, érudit qui publia plusieurs livres que ce soit en médecine ou en lexicologie.
L'annotation par le fils, médecin, des planches payées par le père, féru de botanique, expliquerait les nombreuses recettes pharmaceutiques et médicales que l'on retrouve dans l'ouvrage.
Un autre collectionneur laisse son nom sur la page de titre : Silas Boucher de la Ville Jossy, issu d'une famille de notables nantais au milieu du XIXe siècle.
Un manuscrit passionnant, encore largement à étudier, d’un caractère exceptionnel tant par la beauté de ses planches annotées que par son contenu mêlant classification botanique et pharmacopée.
MATTIOLI, Per André.
Les commentaires de M. P. André Matthiolus, médecin senois, sur les six livres de Pedacius Dioscoride Anazarbeen, de la matière médecinale.
Lyon, Claude Prost, 1655.
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1200 €
Dernière édition revue et corrigée, augmentée.
Traduction du latin en français par Antoine du Pinet.
L'ouvrage commente les six livres de Dioscoride sur la matière médicinale, avec des ajouts sur les remèdes simples, les huiles, les distillations et le traitement de diverses maladies.
Notre édition est illustrée d'un portrait de l'auteur à pleine page et de très nombreux petits bois dans le texte représentant un grand nombre de plantes gravées avec soin, ainsi que quelques crustacés, poissons, coquillages, insectes, animaux, scènes de la vie des champs.
L'ouvrage se termine par un "Bref discours de la distillation des eaux" avec des figures montrant des appareils de distillation.
Mattioli, en plus de son travail pour faire correspondre les descriptions botaniques antiques avec la botanique contemporaine, décrit plus de 100 nouvelles plantes et notamment l'une des premières variétés européennes de tomate.
[MAZEAS, Guillaume].
La pharmacopée des pauvres, accompagnée d'observations sur chaque formule par le docteur W** Membre du Collège Royal de Londres.
Avec des Notes sur l'application des mêmes Remèdes, & une Table des Maladies.
Paris, Hetissant, 1757.
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200 €
Première édition en français.
MERCURIALE, Geronimo || SCHELIGA, Albert.
De venenis et morbis venenosis tractatus.
Francfort, Andreae Wecheli, 1584.
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500 €
Édition qui jouxte l'édition originale à Venise au format in quarto.
Retranscription des enseignements de Mercuriale à l'Université de Padoue sur la question des poisons, par Wojciech Szeliga (i.e. Albert Scheliga), un étudiant en médecine de Varsovie à qui Mercuriale avait demander de compiler ses cours.
Un travail pionnier sur la connaissance des poisons.
Quelques annotations manuscrites d'époque dans les marges.
ORFILA, Mathieu.
Traité des poisons tirés des règnes minéral, végétal et animal, ou toxicologie générale.
Paris, Crochard, 1818.
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200 €
Seconde édition.
Travail pionnier en toxicologie.
PASSERAT DE LA CHAPELLE, Claude François.
Recueil des drogues simples ou matière médicinale.
Paris, D'Houry, 1753.
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500 €
Edition originale.
"C'est d'après un examen des principes des médicamens, de leurs qualités bienfaisantes, constatées par une suite nombreuse & réguilère d'expériences & d'observations, qu'il est permis d'en faire usage" (extrait de la préface).
Pharmacopée peu courante.
[PHARMACOPEE].
Codex, Pharmacopée française.
Paris, Béchet Jeune, 1839.
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60 €
Édition de 1839 du Codex medicamentarius, répertoire de médicaments publié par la faculté de médecine.
À la suite l'Appendice de 1841.
QUINCY, John.
Pharmacopée universelle raisonnée.
Paris, D'Houry Père, Delespine & Laurent d'Houry, 1749.
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480 €
Très rare première édition française de cette pharmacopée.
Bien complète des 3 planches hors texte.
QUINTI, Joseph.
Les admirables secrets de la médecine chimique qu'il a recueillis avec beaucoup de soin & de travail : lesquels ont été plus d'une fois expérimentez par lui-même en plusieurs infirmitez, & maladies dangereuses.
A Liège et se vend à Liège, J.F. Broncart, 1711.
Fiche complète >
450 €
Première édition en français
D'après Ferguson, il s'agirait d'une traduction d'un recueil de secret de Domenico Auda.
Ouvrage divisé en quatre livres renfermant des formules de médecine hermétique, des recettes pour ôter les taches, pour reconnaître si le corail, la porcelaine et les perles sont contrefaits, pour la confection des vernis, laques, des teinture, des parfums, ...
Le dernier livre est consacré à " l'astrologie utile et nécessaire pour les médecins".
RENOU, Jean.
Dispensatorium medicum, contineus : Institutionum pharmaceuticarum lib. V ; de Materia medica lib. III ; Pharmacopeam itidem, sive Antidotarium varium et absolutissimum.
Paris, Apud Societatem Minimam, 1623.
Fiche complète >
450 €
Jean de Renou (1568-1620) est un médecin français qui soignât les trois rois Henri, son dispensaire pharmaceutique connu un vif succès et fut réédité de nombreuses fois dans la première moitié du xviième siècle.
RENOU, Jean de.
Les oeuvres Pharmaceutiques.
Lyon, Pierre Rigaud, 1624.
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Vendu
Première édition française de toute rareté, traduite du latin par Louis de Serres.
Cet ouvrage est "considéré comme la bible de l’apothicaire" (Dominique Kassel, La Pharmacie au Grand Siècle, p. 3).
Certains sujets comme la déontologie et les conseils intéressant l'outillage y sont traités avec une précision qui n'avait jamais été atteinte.
C'est pourquoi le livre de Renou, après avoir servi d'alphabet à plusieurs générations de pharmaciens est devenu aujourd'hui une mine précieuse de renseignements pour l'histoire de la pharmacie.
Jean de Renou, médecin originaire de Coutances, s'établit à Paris. Il se spécialisa dans la Matière médicale et s'appliqua à redresser les erreurs des Anciens et des Arabes.
Le livre II est consacré à la préparation des médicaments (broyage, décoction, brûlage, dissolution, fermentation, liquéfaction, durcissement, dessiccation, distillation, etc.), le livre III aux formes médicamenteuses, le livre IV aux succédanés, altérations, etc., le livre V donne les formules des remèdes classés suivant la manière dont ils entrent dans le corps humain.
Après avoir longuement étudié la Matière médicale, Jean de Renou décrit la maison, la boutique du pharmacien et le matériel qu'il doit posséder.
Renou nous apprend qu'une boutique d'apothicaire ne doit être établie que dans une maison bien située, bien aérée, dans laquelle on réserve les caves pour le vin, la casse et les liquides et l'étage supérieur pour les herbes, celui-ci étant situé au dessus de l'appartement du maître apothicaire.
L'officine, sise de plainpied, doit être carrée et bien claire, mais non exposée directement aux rayons solaires. Ceci afin que les médicaments ne puissent en être altérés. Non exposée aux vents, cette boutique doit posséder une porte donnant sur la rue, puis une autre sortie donnant sur une cuisine ou laboratoire, dans lequel, près de la cheminée, une armoire doit être réservée pour la conservation des confectionnés.
Les drogues doivent être placées dans la pharmacie, soit dans les tiroirs ou dans des pots en grès, soit dans des flacons de verre ou d'étain et de terre, chacun de ceux-ci portant le nom de la substance qu'il doit contenir. Une enseigne doit en outre être suspendue à la porte de l'officine afin que le public soit de suite renseigné sur le commerce qui s'y pratique.
ROUSSEAU, Abbé.
Secrets et remèdes éprouvez dont les préparations ont été faites au Louvre.
Paris, Jean Jombert, 1697.
Fiche complète >
Vendu
Edition originale.
Ouvrage publié de manière posthume par Rousseau de la Grangerouze le frère de l'abbé Rousseau qui fut moine Capucin au Louvre aux côtés de l'Abbé Tranquille.
On y trouve les recettes du Baume Tranquille (somnifère puissant à base de Jusquiame, Pavot et Morelle) et du Laudanum de Rousseau, qui firent la réputation des capucins du Louvre.
Il en livre ici le secret.
À noter l'expérience relevée par Dorbon, qui consistait à faire mourir un crapaud par le regard... expérience qui une fois faillit tourner à la défaveur de l'abbé, un crapaud au regard rougeoyant l'ayant laissé dans un état de faiblesse pendant plusieurs jours.
SAGE, Balthazar-George.
Expériences propres à faire connoitre que l'alkali volatil-fluor est le remède le plus efficace dans les asphyxies;.
Paris, Imprimerie royale, 1777.
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90 €
Balthazard Georges Sage (1740-1824) est un chimiste français.
Dans cet ouvrage il promeut les vertus thérapeutique de l'alkali volatil (l'ammoniac) dans divers usages, pour les asphyxiés, les morsures de vipère ou encore la rage.
SEVERINO, Marco Aurelio.
Vipera Pythia id est, De Viperae Natura, Veneno, Medicina, Demonstrationes, et Experimenta nova.
Padoue, Pauli Frambotti, 1651.
Fiche complète >
800 €
Seconde édition.
Marco Auelio Severino (1580-1656) était un éminent anatomiste et chirurgien italien. En 1610, il fut nommé professeur d'anatomie et de chirurgie à Naples.
Cet ouvrage «Vipera Pythia» traite des serpents venimeux, de leur anatomie, de leur venin, ainsi que de leurs propriétés et vertus médicinales.
Il fournit de nombreuses informations sur la mythologie, les superstitions et les traditions occultes entourant les serpents.
De nombreuses gravures, la plupart à pleine page, représentent des images mythologiques ainsi que des divinités, symboles et idoles païens associés aux serpents.
SMYTTÈRE, Philippe-Joseph-Emmanuel.
Tables synoptiques de l'histoire naturelle, pharmaceutique et médicale.
Paris, Librairie médicale de Crochard, 1833.
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450 €
Deuxième édition, qui reprend les tableaux synoptiques de botanique médicale publiée en 1829 dans son ouvrage "Phytologie pharmaceutique et médicale", ainsi que sa "Zoologie pharmaceutique et médicale". 1829
Philippe-Joseph-Emmanuel de Smyttère (1800-1886) était un médecin, botaniste et historien français. Son ouvrage inspiré par les classifications de Candolle propose des tableaux de classifications où les propriétés médicinales sont mises en avant.
"Je conçus le projet de démontrer, par l'application, le lien qui unit l'histoire naturelle à la thérapeutique" (extrait de la préface).
[SOCIETE DE MEDECINE ET DE PHARMACIE DE LA HAUTE-VIENNE].
Bulletin de la Société de médecine et de pharmacie de la Haute-Vienne - 1855.
Limoges, Chapoulaud Frères, 1855.
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40 €
Édition originale.
STORCK, Antoine.
Observations nouvelles sur l’usage de la cigüe.
Vienne / Paris, P. Fr. Didot le jeune, 1762.
Fiche complète >
150 €
Storck fut un des premiers à promouvoir l’usage interne de la cigüe pour des traitements médicaux. Ses expériences furent déterminantes dans la réhabilitation contrôlée de ce poison dans la pharmacopée.
Il est célèbre pour avoir mené sur lui-même des expériences pour tester la limite entre doses thérapeutiques et doses toxiques et létales.
TAUVRY, Daniel.
Traité des médicamens, et la manière de s’en servir.
Paris, Estienne Michallet, 1695.
Fiche complète >
Vendu
Seconde édition.
Ce traité médico-pharmaceutique met en lien pharmacologie et expérience clinique. Tauvry (1669-1701), médecin et anatomiste français, y combine recettes, pathologies et posologies, reflétant l’évolution empirique de la médecine moderne.
TENCKE, H. (Jerôme).
Formules de médecine tirées de la pharmacie galénique et chymique.
Lyon, Jean Certe, 1690.
Fiche complète >
300 €
Seconde édition en français
Cet ouvrage de Jerôme Tencke (?-1687), médecin Montpellierien, est un traité de pharmacie qui combine les approches galénique et chimique de la médecine. Il présente diverses formules et méthodes pour préparer des remèdes pharmaceutiques. Le livre s'inscrit dans une période de transition où la pharmacie traditionnelle galénique côtoie les nouvelles approches chimiques en médecine.
TERREDE, Simon Pierre Antoine.
Examen analytique des eaux minérales des environs de L'Aigle en Haute Normandie.
Paris, Vincent, 1776.
Fiche complète >
Vendu
Edition originale.
On trouve relié à la suite :
HUET DE LA MARTINIERE, Dissertation sur l'examen analytique des eaux minérales des environs de l'Aigle, Genève, Glaçon, 1776
[TERREDE], Réflexions sur une brochure intitulée: dissertation..., [sl, sd]
Réunion de trois ouvrages rares sur l'analyse des eaux minérales des environs de L'Aigle (Saint-Santin, Gauville, Irai...).
Les eaux minérales de Saint-Santin furent découvertes en 1598 et connurent un certain succès au XVIIème siècle puis furent oubliées. Les progrès de la chimie du XVIIIème siècle conduisirent deux médecins de L'Aigle à se disputer leur analyse et essayer de promouvoir leur intérêt thérapeutique mais les eaux minérales du pays de L'Aigle retomberont à nouveau dans l’oubli.
Très bon exemplaire.
[TESSARI, Ludovico].
Materia Medica Contracta.
Venise, Nicolai Pezzana, 1762.
Fiche complète >
450 €
Edition originale.
Ouvrage rare par Ludovico Tessari qui propose une pharmacopée classée selon les trois règnes de la nature : minéral, végétal, animal.
Pour chaque simple, il est proposé l'usage médical que l'on peut en faire.
Belle impression vénitienne.
VITET, Louis.
Pharmacopée de Lyon ou exposition méthodique des médicaments simples et composés.
Lyon, Perisse, 1778.
Fiche complète >
850 €
Edition originale.
Médecin lyonnais, Vitet deviendra maire de Lyon durant la période révolutionnaire.
Intéressant propos préliminaires qui dessinent en 557 points ce que l'on appellerait aujourd'hui des bonnes pratiques de laboratoire. A la suite de la Pharmacopée on trouve une Table méthodique des classes, des genres et des espèces de maladies.
[WEBER, Georges Adolph].
Exposition systématique de tous les médicamens qui on été soumis à l'expérience pour reconnaitre leur véritable action.
s.l., s.n., 1831.
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1200 €
Manuscrit proposant l'un des premiers répertoires de médicaments homéopathiques en langue française à travers une traduction de l'ouvrage de Georg Adolph Weber : "Systematische Darstellung der reinen Arzneiwirkungen aller bisher geprüften Symptome" publié en langue allemande en 1831.
L'ouvrage ne sera édité en français qu'en 1833 avec une traduction par l'homéopathe suisse Peschier sous le titre "Exposition systématique des effets pathogénétiques purs de tous les remèdes mis jusqu’à ce jour en expérience" (Genève, Cherbuliez, 1833).
Notre manuscrit reprend la même structure en deux parties que l'édition allemande, Peschier préfèrera dans sa traduction une disposition alphabétique des médicaments. Notre manuscrit précède ainsi la version publiée en français en 1833.
La reliure est typique des années 1830, nous sommes ainsi aux tout débuts du développement de l'homéopathie en Europe sous l'impulsion de l'école allemande dirigée par Hannemahn (1755-1843) dont Weber est un disciple.
C'est en Suisse et à Lyon que se développe l'homéopathie en langue française, le Comte Sébastien Des Guidi crée en 1830 la Société Homéopathique Lyonnaise et y ouvre ses consultations, on dénombre 5 ou 6 homéopathes en France en 1832 puis 25 en 1833, 52 en 1835. (Cf. Bariety, "Les débuts de l'homéopathie en France", 1969)
Témoin des débuts de l'homéopathie en France.
ZWELFER, Johann.
Pharmacopoeia Regia, seu dispensatoium novum locupletatum et absolutum, annexa etiam mantissa spagyrica [...]
[suivi de]
Discursus Apologeticus Joannis Zwelferi, medicinae doct. adversus Hippocratem chymicum Ottonis Tackenii [...]
[suivi de]
Animadversiones in Pharmacopoeiam Augustanam et annexam ejus mantissam, sive Pharmacopoeia Augustana Reformata [...]
[suivi de]
Appendix ad Animadversiones in Pharmacopoeiam Augustanam, ejus que annexam mantissam [...].
Nuremberg, Michaelis & Johann. Friderici, 1668 - 1668 - 1667.
Fiche complète >
Vendu
Ce recueil contient les principaux ouvrages de l'oeuvre pharmaceutique de Johann Zwelfer (1618-1668, médecin, chimiste et pharmacien allemand). Il est notamment connu pour avoir corriger des erreurs dans la formulation des remèdes publiés dans la "Pharmacopoeia Augustana", qui correspond au "Code d'Augsbourg" (compilation de nombreux remèdes très communément utilisés par les médecins allemands), et qu'il publia dans son "Animadversiones in Pharmacopoeiam Augustanam". Il a connu une grande popularité, mais il fut aussi très déprécié par ses confrères allemands, comme Luc Schroeck.
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