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Pharmacie
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GLASER, Christophle.
Traité de la Chymie.
Lyon, Pierre & Benoit Bailly, 1670.
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900 €
Troisième édition augmentée.
Christophe Glaser (1629-1672?) est un médecin et pharmacien suisse qui devint apothicaire ordinaire du roi Louis XIV. Nicolas Lemery est formé chez Glaser mais le quitte rapidement ne supportant pas son enseignement presque ésotérique.
Glaser croise la grande Histoire dans l'affaire des poisons. C'est très probablement dans son officine que la marquise de Brinvilliers s'est procuré ses fioles de poison. D'après la Brinvilliers, Glaser fut envoyé en Italie par Fouquet pour apprendre les secrets des poisons italiens.
Caillet attribue ce livre à Moyse Charas, celui-ci mentionne en effet dans la préface de sa Thériaque qu'il a publié un Traité de Chymie sous le nom de Glaser.
On retrouve dans ce livre des préparations curieuses telles l'huile de crâne humain ou la distillation de chair de vipères.
ZWELFER, Johann.
Pharmacopoeia Regia, seu dispensatoium novum locupletatum et absolutum, annexa etiam mantissa spagyrica [...]
[suivi de]
Discursus Apologeticus Joannis Zwelferi, medicinae doct. adversus Hippocratem chymicum Ottonis Tackenii [...]
[suivi de]
Animadversiones in Pharmacopoeiam Augustanam et annexam ejus mantissam, sive Pharmacopoeia Augustana Reformata [...]
[suivi de]
Appendix ad Animadversiones in Pharmacopoeiam Augustanam, ejus que annexam mantissam [...].
Nuremberg, Michaelis & Johann. Friderici, 1668 - 1668 - 1667.
Fiche complète >
1500 €
Ce recueil contient les principaux ouvrages de l'oeuvre pharmaceutique de Johann Zwelfer (1618-1668, médecin, chimiste et pharmacien allemand). Il est notamment connu pour avoir corriger des erreurs dans la formulation des remèdes publiés dans la "Pharmacopoeia Augustana", qui correspond au "Code d'Augsbourg" (compilation de nombreux remèdes très communément utilisés par les médecins allemands), et qu'il publia dans son "Animadversiones in Pharmacopoeiam Augustanam". Il a connu une grande popularité, mais il fut aussi très déprécié par ses confrères allemands, comme Luc Schroeck.
CHARAS, Moyse.
Histoire naturelle des animaux, des plantes, & des minéraux qui entrent dans la composition de la Thériaque d'Andromachus.
Paris, Olivier de Varennes, 1668.
Fiche complète >
1000 €
Édition originale.
Moyse Charas, « savant apothicaire », ouvrit une officine à l'enseigne « Aux vipères d'or » dans le faubourg Saint-Germain à Paris avant d'être nommé par Antoine d'Aquin en 1671 comme sous-démonstrateur de chimie au Jardin du Roy.
Charas reste surtout connu pour sa Pharmacopée royale galénique et chimique, rédigée d'après les cours qu'il avait dispensés au Jardin royal.
La pharmacopée de Charas connut trois éditions (la première en 1676) et fut traduite dans toutes les langues d'Europe, ainsi qu'en Chinois.
La thériaque, l'une des compositions les plus complexes que la pharmacie ait connues et dont l'origine remonte à plus de vingt siècles, jouissait au Moyen Âge d'une renommée universelle comme panacée que l'on appliquait à toutes sortes de maladies.
Elle était censée posséder des vertus admirables pour la vieillesse.
On l'utilisait aussi comme contrepoison.
La thériaque originelle est celle d'Andromaque, médecin de Néron.
La recette, complexe, fait appel à des substances appartenant aux trois règnes de la nature (la vipère y figurait en tête de la formule).
Au commencement de l'année 1667, Charas « dispense et achève publiquement », à Paris, en présence des magistrats, des médecins de la cour et de plusieurs membres de la Faculté de Médecine, la composition de 300 livres de thériaque.
La formule de la thériaque étant complexe et les composant coûteux, la réalisation publique était destinée à éviter les fraudes.
C'est suite à cette réalisation que Charas publie en 1668 notre ouvrage sur ce sujet.
Il y décrit précisément la composition et la réalisation de la thériaque.
Exemplaire très frais. Très bon exemplaire.
RENOU, Jean de.
Les oeuvres Pharmaceutiques.
Lyon, Pierre Rigaud, 1624.
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Vendu
Première édition française de toute rareté, traduite du latin par Louis de Serres.
Cet ouvrage est "considéré comme la bible de l’apothicaire" (Dominique Kassel, La Pharmacie au Grand Siècle, p. 3).
Certains sujets comme la déontologie et les conseils intéressant l'outillage y sont traités avec une précision qui n'avait jamais été atteinte.
C'est pourquoi le livre de Renou, après avoir servi d'alphabet à plusieurs générations de pharmaciens est devenu aujourd'hui une mine précieuse de renseignements pour l'histoire de la pharmacie.
Jean de Renou, médecin originaire de Coutances, s'établit à Paris. Il se spécialisa dans la Matière médicale et s'appliqua à redresser les erreurs des Anciens et des Arabes.
Le livre II est consacré à la préparation des médicaments (broyage, décoction, brûlage, dissolution, fermentation, liquéfaction, durcissement, dessiccation, distillation, etc.), le livre III aux formes médicamenteuses, le livre IV aux succédanés, altérations, etc., le livre V donne les formules des remèdes classés suivant la manière dont ils entrent dans le corps humain.
Après avoir longuement étudié la Matière médicale, Jean de Renou décrit la maison, la boutique du pharmacien et le matériel qu'il doit posséder.
Renou nous apprend qu'une boutique d'apothicaire ne doit être établie que dans une maison bien située, bien aérée, dans laquelle on réserve les caves pour le vin, la casse et les liquides et l'étage supérieur pour les herbes, celui-ci étant situé au dessus de l'appartement du maître apothicaire.
L'officine, sise de plainpied, doit être carrée et bien claire, mais non exposée directement aux rayons solaires. Ceci afin que les médicaments ne puissent en être altérés. Non exposée aux vents, cette boutique doit posséder une porte donnant sur la rue, puis une autre sortie donnant sur une cuisine ou laboratoire, dans lequel, près de la cheminée, une armoire doit être réservée pour la conservation des confectionnés.
Les drogues doivent être placées dans la pharmacie, soit dans les tiroirs ou dans des pots en grès, soit dans des flacons de verre ou d'étain et de terre, chacun de ceux-ci portant le nom de la substance qu'il doit contenir. Une enseigne doit en outre être suspendue à la porte de l'officine afin que le public soit de suite renseigné sur le commerce qui s'y pratique.
RENOU, Jean.
Dispensatorium medicum, contineus : Institutionum pharmaceuticarum lib. V ; de Materia medica lib. III ; Pharmacopeam itidem, sive Antidotarium varium et absolutissimum.
Paris, Apud Societatem Minimam, 1623.
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450 €
Jean de Renou (1568-1620) est un médecin français qui soignât les trois rois Henri, son dispensaire pharmaceutique connu un vif succès et fut réédité de nombreuses fois dans la première moitié du xviième siècle.
CATELAN, Laurent.
Discours et démonstration des ingrédiens de la Thériaque.
Lyon, Jacques Mallet, 1614.
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900 €
Édition originale.
La thériaque était une potion universelle. C'était la panacée que l'on appliquait à toutes sortes de maladies. Elle était aussi censée posséder des vertus admirables pour la vieillesse.
On l'utilisait aussi comme contrepoison.
Les recettes différaient selon les régions, mais celle de Montpellier qui contenait 83 ingrédients, choisis et préparés avec soin, était l'une des plus réputées.
Catelan contribua à la renommée de la thériaque en réalisant des séances publiques lors desquelles il préparait et expliquait les bienfaits de ce remède.
La Thériaque comportait dans sa composition quatre groupes de poudres :
- Un premier groupe de poudre expectorantes et purgatives
- Un second groupe de fortifiants
- Un troisième groupe des aliments
- Dans le quatrième groupe entraient 17 composants dont le plus efficace était l'opium
Cet ouvrage reprend le contenu des 15 conférences sur la préparation de la thériaque de Montpellier données par Catelan (1568-1647), apothicaire de la faculté.
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