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Physique
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Auteur A-Z
Auteur Z-A
Titre A-Z
Titre Z-A
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CHAM.
Cours de Physique.
Paris, Maison Martinet, [v.1861].
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50 €
Cham, pseudonyme d’Amédée de Noé (1818-1879), est un illustrateur, caricaturiste et dramaturge français connu et reconnu.
Ce "Cours de Physique" est atypique et à l'opposé de ceux reçus dans les écoles!
C'est un recueil de vignettes très humoristiques, qui ont pour sujet des principes de Physique. Avec son trait simple, rapide, vif et précis, Cham arrive à faire rire les lecteurs sur des domaines sérieux dans les différents domaines de cette science.
CHERUBIN D'ORLEANS, Père.
Effets de la force de la contiguité des corps par lesquelles on répond aux expériences de la crainte du Vuide, & à celles de la Pesanteur de l'Air.
Paris, Etienne Ducastin, 1689.
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950 €
Remise en vente de l'édition originale avec une nouvelle page de titre (premier tirage en 1679 par Coutelot, un autre par Lucas en 1688 et par Ducastin en 1688).
Chérubin d'Orléans traite dans cette ouvrage de l'impermabilité du verre. Il y critique aussi les expériences de Torricelli et de Pascal sur le vide, considérant que le vide absolu n'existe pas.
CHEVREUL, Michel Eugène.
Mémoire sur la vision des couleurs matérielles en mouvement de rotation et des vitesses numériques de cercles.
Paris, Firmin-Didot, 1882 [1881].
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3000 €
Édition originale du dernier ouvrage de Chevreul sur la couleur.
Rare tiré à part avec sa propre page de titre (chez Firmin-Didot daté de 1882), d'un article présenté à l'Académie des Sciences en décembre 1880 et janvier 1881 (on ne trouve généralement que l'article extrait des Mémoires de l'institut paru en 1883).
Chevreul, qui toute sa vie s'est intéressé aux couleurs, aborde ici l'optique physiologique en essayant d'analyser comment le contraste entre les couleurs complémentaires est affecté par le mouvement.
Dans sa conclusion dans laquelle il se nomme "le doyen des étudiants de France" (il est alors âgé de 95 ans), il voit une application directe de ses travaux à la signalisation à destination des conducteurs de trains.
CHEVREUL, Michel Eugène.
De la Loi du Contraste simultané des Couleurs et de l’Assortiment des Objets colorés, considéré d’après cette Loi dans ses Rapports avec la Peinture, les Tapisseries des Gobelins, les Tapisseries de Beauvais pour Meubles, les Tapis, la Mosaïque, les Vitraux colorés, l’Impression des Étoffes, l’Imprimerie, l’Enluminure, la Décoration des Édifices, l’Habillement et l’Horticulture.
Paris, Pitois-Levrault, 1839.
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9000 €
Édition originale.
L'un des livres les plus influents sur l'art au XIXe siècle.
Michel-Eugène Chevreul (1786-1889) est connu des chimistes pour ses recherches sur les corps gras (1810-1823) et l’analyse immédiate organique (1824), mais c'est en tant que théoricien de la couleur que son nom passera à la postérité.
"De la loi du contraste simultané des couleurs" a introduit une compréhension scientifique de la couleur ayant durablement influencé les peintres de son époque.
Sa « loi » décrit comment la perception d’une teinte est modifiée par les couleurs adjacentes, chaque couleur diffusant sur son voisinage sa couleur complémentaire (ainsi, un objet rouge tend à entourer d’un reflet verdâtre les surfaces proches, un objet jaune à violacer ce qui l’entoure, etc.). Elle est parfaitement illustrée dans la planche 7 de l'Atlas, où l'on voit que des points de couleurs sur fond blanc paraissent diffuser un halo de leur couleur complémentaire.
Eugène Delacroix (1798–1863), figure du romantisme, s’intéressa de près aux recherches de Chevreul. D’après le témoignage du peintre Paul Signac, Delacroix avait même cherché à rencontrer le chimiste et avait acquis des notes de ses cours afin de mieux comprendre la loi du contraste simultané. Plusieurs de ses toiles présentent des harmonies bâties sur des couples de teintes opposées. Ainsi, "L’Entrée des Croisés à Constantinople" (1840) juxtapose méthodiquement des paires complémentaires (jaune/violet, bleu/orange, rouge/vert) pour dramatiser la scène ; un usage si exemplaire que l’historien Lee Johnson y voyait une « illustration » idéale du traité de Chevreul.
Mais c'est sans doute dans le mouvement impressionniste que les théories de Chevreul ont trouvé leur plus bel accomplissement. Claude Monet (1840–1926) exploite notamment le contraste simultané pour intensifier les effets lumineux dans ses paysages. Il évite le noir et les tons terreux, leur préférant des ombres colorées : par exemple, des violets et bleus pour figurer l’ombre d’un soleil couchant, rehaussés de reflets jaune orangé en pleine lumière. Technique que l'on retrouve dès "Impression soleil levant", l'œuvre fondatrice du mouvement. On se souviendra aussi des champs de coquelicots, thème cher aux impressionnistes (VanGogh, Monet, Pissaro...) où les points rouges éclatent sur fonds verts.
Un livre qui annonce l'une des plus grandes révolutions de la peinture.
Notre exemplaire bien complet de toutes les planches en couleurs, la plupart signées de la main de Chevreul.
CHEVREUL, Michel Eugène.
Des couleurs et de leurs applications aux arts industriels à l’aide des cercles chromatiques. Avec XXVII planches gravées sur acier et imprimées en couleurs par René Digeon.
Paris, J.B. Baillière et Fils, 1864.
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5500 €
Édition originale de la plus rare des publications de Chevreul sur la couleur.
Michel-Eugène Chevreul (1786-1889) est connu des chimistes pour ses recherches sur les acides gras, la saponification et la découverte de la stéarine, mais c'est en tant que théoricien de la couleur que son nom passera à la postérité.
Chevreul fut nommé en 1824 directeur de la Manufacture des Gobelins. Devant surveiller la fabrication des colorants, il appuya le travail des teinturiers sur ses recherches sur la perception des couleurs.
C'est ainsi qu'il proposa dès 1839 une approche scientifique de la complémentarité des couleurs et développa par la suite des "cercles chromatiques".
Véritables nuanciers "Pantone", avec cent ans d'avance, les cercles chromatiques de Chevreul avaient le double intérêt de systématiser la production des teintes (chacune ayant son nom) et de retrouver facilement la notion de complémentarité des couleurs.
Ainsi les couleurs complémentaires se retrouvent sur le même diamètre du cercle chromatique, au Rouge n°2 correspond le Vert n°2.
"Je crois pouvoir affirmer qu'il est possible d'assujettir les couleurs à une nomenclature raisonnée, en les rapportant à des types classés d'après une méthode simple, accessible à l'intelligence de tous ceux qui s'occupent des couleurs" (extrait de la préface).
La standardisation de la production des couleurs devait intéresser en premier lieu l'industrie alors en plein développement, mais c'est sans doute dans le mouvement impressionniste que les théories de Chevreul ont trouvé leur plus bel accomplissement. Très tôt les peintres se sont inspirés des travaux de Chevreul dans leurs tableaux à commencer par Delacroix puis Monet. On se souviendra ainsi des champs de coquelicots chers aux impressionnistes (Van Gogh, Monet, Pissaro...) où les points rouges des fleurs éclatent sur des fonds verts complémentaires.
Les 27 spectaculaires planches ont été imprimées par René-Henri Digeon par chromochalcographie, dont le procédé et les difficultés de mise en oeuvre font l'objet d'un paragraphe dans l'ouvrage. Digeon semble avoir présenté un premier tirage de ces planches lors de l'exposition universelle de 1855 et pour lesquelles il reçut brevet de l'Impératrice.
Plusieurs des planches de notre exemplaire semblent faire partie de ce premier tirage et comportent des erreurs qui ont été corrigées dans d'autres exemplaires postérieurs que nous avons pu consulter.
CLAIRAUT, Alexis.
Théorie de la Lune, déduite du seul principe de l'attraction.
Paris, Dessaint & Saillant, 1765.
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1500 €
Seconde édition.
Cette seconde édition regroupe la Théorie de la Lune et les Tables de la Lune publiés par Clairaut en 1752 et 1754 qui sont la première résolution approximative du problème des trois corps.
Entre 1747 et 1754, trois des plus grands mathématiciens de leur temps, Euler, D'Alembert et Clairaut s'opposent sur un projet commun : développer de nouvelles méthodes mathématiques afin de résoudre le problèmes complexe posé par le mouvement de la Lune, soumise à la fois à l'attraction gravitationnelle de le Terre et du Soleil.
L'enjeu était à la fois scientifique et économique puisque l'établissement de tables astronomiques précises était nécessaire pour la fiabilité de la navigation en mer.
CLAUDIUS || [RUELLE, Charles].
La science populaire de Claudius ; Simples discours sur toutes choses : Sur la chaleur.
Paris, Jules Renouard, 1840.
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20 €
Édition originale.
CLÉMENT & DÉSORMES, BECQUEREL.
Détermination expérimentale du Zéro absolu de la chaleur et du caloriques spécifique des Gaz in. "Journal de Physique, de chimie, d'histoire naturelle et des arts, avec des planches et des arts".
Paris, Vve Courcier, 1819.
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Vendu
Mémoire particulièrement important de Clément et Désormes : "Détermination expérimentale du Zéro absolu de la chaleur et du calorique spécifique des Gaz".
Ce mémoire avait été soumis à l'académie des sciences en 1812, mais n'ayant pas remporté le prix il ne fut pas imprimé dans les mémoire de l'académie. Il parait donc ici pour la première fois.
On y trouve la détermination du zéro absolu que Clément et Désormes évaluent par plusieurs méthodes à -266,66 ° C.
Ils y définissent surtout une méthode expérimentale pour déterminer le ratio γ=Cp/Cv de la chaleur spécifique à volume constant et à pression constante.
Volume provenant de la bibliothèque Becquerel avec cet émouvant envoi d'Antoine César Becquerel à son petit fils Henry Becquerel : "Donné à mon petit fils henry, qu'il conserve cela en souvenir de mes trois premiers mémoires publiés en 1819 et du tendre attachement que je lui porte".
Ces trois mémoires de minéralogie occupent les pages 235 à 240, 308 à 309, 462 à 467.
[COCHET, Jean].
La Physique expérimentale et raisonnée, qui contient en abrégé ce que cette science a de plus intéressant.
Paris, Claude Herissant, 1756.
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250 €
Edition originale.
L'abbé Jean Cochet, né en 1698 à Faverges (Genevois) et mort en 1771 à Paris, est un professeur de philosophie au collège Mazarin, principal du collège du Cardinal-Lemoine recteur de l'université de Paris à partir de 1748. Ce texte traite du mouvement, de l'équilibre des liqueurs, des efforts des fluides sur les solides, du ressort de l'air par le moyen de la machine pneumatique, du son, de la fermentation, de la dissolution des métaux, de la formation de quelques corps purs, des odeurs, de la lumière, de catoptrique, des phosphores, des couleurs, de l'aimant, et enfin l'électricité.
COPPEL, Th. || FOURNIER, Georges || YOVANOVITCH, D. K.
Quelques suggestions concernant la Matière et le Rayonnement.
Paris, Albert Blanchard, 1928.
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150 €
Rare plaquette dans laquelle les auteurs évoquent une géométrie non-archimédienne pour étudier les phénomènes intra-atomiques.
CORNU, Alfred.
Mémoire sur la détermination de la vitesse de la lumière entre l'observatoire et Montlhéry, par M. A. Cornu. in Annales de l'Observatoire de Paris, publiées par U. -J. Le Verrier - Mémoires - Tome XIII.
Paris, Gauthier-Villars, 1876.
Fiche complète >
200 €
Édition originale.
Alfred Cornu (1841-1902) est célèbre pour ses trois mesures de la vitesse de la lumière entre 1872 et 1874, réalisées avec la méthode de Fizeau pour lequel il avait une grande admiration.
La dernière et la meilleure a été faite entre l'Observatoire et la Tour de Montlhéry. Cet article de 315 pages, est consacré à cette dernière expérience.
A la suite, est relié l'article "Recherches sur les observations magnétiques faites à l'observatoire de Paris de 1667 à 1872" de M. G. Rayet.
COTES, Roger.
Leçons de physique expérimentale, sur l'équilibre des liqueurs, & sur la nature & les propriétés de l'air.
Paris, David fils, 1742.
Fiche complète >
700 €
Première édition en français.
Roger Cotes (1682-1716) est mathématicien anglais, proche d’Isaac Newton avec qui il partage la découverte de la méthode de Newton-Cotes en analyse numérique, qui étend de manière générale la méthode des trapèzes et la méthode de Simpson pour le calcul des intégrales. (Formules de Newton-Cotes)
Cet ouvrage de Cotes fut publié pour la première fois de façon posthume en 1738 sous le titre "Hydrostatical and Pneumatical Lectures", et il contient notamment la première traduction en français de la "Construction d'une échelle qui exprime les différents degrés de chaleur" de Newton.
[COURS DE PHYSIQUE].
Cours de physique. 1ère Section, suivi d'un Cours de 2ème Division.
s. l, s. n, [vers 1912].
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50 €
Cours de Physique générale autographiés, complétés par de nombreux schémas.
Le cours de physique de 1ère Section est organisé autour des parties suivantes : Unités de mesures, Notions de mécanique, La pesanteur, L'hydrostatique, La densité des corps solides et liquides, L'aréométrie, L'hydrodynamique, La compressibilité des gaz, L'acoustique, Les notions de potentiel, La mesure des surfaces et des angles, La chaleur, La calorimétrie, Les notions de thermodynamique, Les changements d'état des corps et La vapeur.
Le cours de physique de 2ème division a pour plan, le suivant : La liquéfaction des gaz, L'hygrométrie, Les notions de météorologie, Le son, L'optique, La réfraction de la lumière, Les instruments d'optique, Études des radiations, La photométrie et Notions d'optique physique.
CROS, G.
Cours de physique pour les classes de Mathématiques A et B. Programme du 14 mai 1912.
s.l., s.n., 1912.
Fiche complète >
20 €
Cours autographié.
CURIE, Pierre || CURIE, Marie.
Oeuvres de Pierre Curie. Publiées par les Soins de la Societe Francaise de Physique.
Paris, Gauthier-Villars, 1908.
Fiche complète >
Vendu
Edition originale.
Première édition des oeuvres de Pierre Curie. Sa femme Marie Curie signe ici la préface et est co-auteur de quelques articles.
D'ALEMBERT, Jean Le Rond dit || CONDORCET, Nicolas de || BOSSUT, Charles.
Nouvelles expériences sur la résistance des fluides.
Paris, Claude-Antoine Jombert, 1777.
Fiche complète >
300 €
Edition originale.
Recueil d'expériences d'hydrodynamiques réalisées dans un bassin de l'Ecole militaire par D'Alembert, Condorcet et Bossut. Turgot les avait mandatés pour chercher comment améliorer la navigation fluviale. Les résultats de ces expériences aboutirent à établir ce qui deviendra le paradoxe de D'Alembert ,qui ne sera résolu qu'avec la théorie des sillages.
En effet d'après les équations hydrodynamiques de l'époque, "un corps devrait pouvoir progresser dans un fluide sans éprouver aucune résistance ou, ce qui revient au même, qu’une pile de pont plongée dans le cours d’un fleuve ne devait subir de sa part aucune poussé", ce que les expériences réalisées démentaient.
Au delà du traité d'hydrodynamique, ce livre témoigne d'une science en marche qui se nourrit des allers retours entre la théorie et l'expérience.
DAGUIN, Pierre-Adolphe.
Traité élémentaire de physique théorique et expérimentale avec les applications à la météorologie et aux arts industriels.
Toulouse / Paris, Édouard Privat / Tandou et Cie / Delagrave et Cie, 1867-1868.
Fiche complète >
120 €
Troisième édition.
DARLES DE LINIERE, ?.
Pompes sans cuirs.
Paris, Manufacture royale, 1768.
Fiche complète >
400 €
Edition originale.
Darles de linière présente ses modèles de pompes dans lesquelles les vessies et clapets de cuir étaient remplacés par des pistons de cuivre. Les planches montrent les modèles de pompes de navire marchand, pompe à incendie sur roues (ancêtre du camion de pompier), les pompes pour élever l'eau des puits.
DE BROGLIE, Louis.
La mésomérie. Réunions d'études et de mises au point tenues sous la présidence de L. De Broglie.
Paris, Edition de la revue d'optique théorique et instrumentale, 1947.
Fiche complète >
25 €
Édition originale.
Charles Dufraisse : La mésomérie au point de vue du chimiste organicien - Paul Rumpf : L'étude expérimentale des conditions dans lesquelles se produit l'effet de mésomérie - A. Pacault : Relations entre la magnétochimie et la mésomérie - Paul Meunier : L'intervention de l'effet de mésomérie dans l'étude des vitamines - Raymond Daudel : Etude théorique de la mésomérie - Jean Cabannes : La mésomérie mise en évidence par l'analyse spectrale - Alberte Pullman: L'utilisation des méthodes de la mésomérie dans l'étude des composés cancérigènes et de leurs antagonistes - Jean Guy : Bases théoriques et conditions de la mésomérie - Jean-Louis Destouches : Difficultés théoriques rencontrées dans l'étude de la mésomérie.
DEGUIN, Nicolas.
Cours élémentaire de physique, à l'usage des collèges et des autres établissemens d'instruction publique.
Paris, Belin-Mandar, 1841.
Fiche complète >
75 €
Troisième édition de cours élémentaire de physique rédigé par Nicolas Deguin (1809-1860) qui fut professeur de physique à la Faculté des sciences de Besançon.
DELILLE, Jacques.
Les trois règnes de la Nature.
Paris, H. Nicolle-Giguet et Michaud, 1808.
Fiche complète >
150 €
Édition originale.
Jacque Delille (1738-1813) publie avec cet ouvrage, un traité de physique en vers, type même de la poésie didactique auquel son nom est attaché.
Il est composé de huit chants : La lumière et le feu, l'air, l'eau, la terre, règne minéral, règne végétal, règne animal et de la suite du règne animal. Les notes sont importantes, car elles sont de Cuvier, Libes, et Lefèbre-Gineau.
DESAGULIERS, John Theophilus.
Cours de Physique expérimentale,.... Traduit de l'anglois par le R. P. Pezenas.
Paris, Jacques Rollin & Charles-Antoine Jombert, 1751.
Fiche complète >
900 €
Première édition en français.
John Theophilus Desaguliers (1683-1744), l'un des fondateurs de la franc-maçonnerie moderne, fut un fervent défenseur et propagateur des théories d'Isaac Newton.
Cet ouvrage, publié à Londres entre 1725 et 1727, se base donc sur les théories de Newton.
DESCARTES, René.
Le Monde de Mr Descartes ou le traité de la lumière et des autres principaux objets des sens.
Paris, Jacques Le Gras, 1664.
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3000 €
Edition originale.
Très rare exemplaire avec page de titre dans un état non répertorié au nom de Jacques Le Gras.
Descartes rédigea ce traité en 1632 et 1633. Il y défend en particulier le système héliocentrique de Copernic mais suite à la condamnation de Galilée, il renonce à publier cet ouvrage de son vivant.
Il ne sera finalement publié, selon sa volonté, qu'après son décès. A la fin de 1663 la famille Le Gras et Clerselier se disputeront le privilège de publier les oeuvres posthumes de Descartes. Pour le "Monde" c'est Jacques Le Gras qui en déposera le privilège le premier. (cf. BULLETIN CARTÉSIEN V. (1976). Archives de Philosophie, 39(3), 445–494)
Jacques Le Gras, le détenteur du privilège, le partagea ensuite avec Thomas Girard (son beau frère) et Michel Bobin.
Notre page de titre est inconnue à Tchermerzine et Guibert ainsi qu'à Mathias Van Otegem qui dans sa bibliographie des oeuvres de Descartes parue en 2002, après avoir consulté les exemplaires présents en bibliothèques publiques, ne décrit que quatre états de la page de titre de cette édition.
Notre exemplaire présente donc un cinquième état non décrit de la page de titre .
Notre page de titre possède la même marque typographique que l'état Thomas Girad (à 6 fleurons) canoniquement considérée comme ornant la véritable édition originale, mais au nom de Jacques le Gras. De plus comme l'exemplaire "Thomas Girad" de la bibliothèque de Munich (BSB: Rar. 4594) notre page de titre est margée plus courte que le reste du corps d'ouvrage et imprimée avec les mêmes caractères, ce qui suggère une impression dans le même temps.
Les exemplaires possédant une page de titre recomposée avec une marque typographique "à l'oiseau" ne venant, d'après les bibliographes, que dans un second temps.
Nous avons trouvé d'autres exemplaires portant notre page de titre : exemplaires des bibliothèques de la Sorbonne, de Poitiers, du Mans, ...
"Dans Le Monde, Descartes veut ruiner les concepts de la scolastique, et «évacuer» la physique d'Aristote, en donnant une interprétation physique de la nouvelle astronomie héliocentrique. Par opposition au finalisme traditionnel, il envisage, sous la forme d'une «fable», la formation mécanique du cosmos, à partir d'un état initial de chaos (parcelles de matière de forme et grandeur diverses agitées de mouvements tous azimuts) et uniquement en vertu des lois générales de la nature: principe d'inertie, lois de la communication du mouvement, etc..." Robert Maggiori, Libération, 26/12/1996
Nombreuses figures sur bois dans le texte.
DESCARTES, René.
Discours de la méthode pour bien conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences.
Plus la Dioptrique et les Météores qui sont des essais de cette méthode.
Paris, Michel Bobin & Nicolas Le Gras, 1668.
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Vendu
Troisième édition de ce texte fondamental pour l'histoire de la pensée, de la philosophie et de la science moderne.
Cette œuvre majeure, composée en français afin d'être intelligible au plus grand nombre, marque une étape considérable dans la progression de la pensée occidentale au XVIIe siècle. Par sa foi en l'unité de la science, en son ordre logique et en son pouvoir, elle annonce l'âge des Lumières et son bréviaire, l'Encyclopédie.
Descartes développe l'idée de ne se baser que sur ce qui peut être démontrer.
Descartes illustre sa méthode dans sa "dioptrique" dans lequelle on trouve les lois de Snell-Descartes sur le comportement de la lumière à l'interface de deux milieux et dans les "Météores" qui est considéré comme la première étude scientifique sur la météorologie.
Cette troisième édition précède de seulement 15 jours celle donnée le 04 mai 1668 par Angot. En effet Le Gras et Angot se disputèrent le droit de publier le discours de la méthode avant de trouver un accord. (cf. Van Ottengen).
DESCARTES, René.
Les Principes de la philosophie de René Descartes.
Paris, Nicolas Le Gras, 1681.
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Vendu
Quatrième édition.
"Les principes de la philosophie" de René Descartes est une œuvre fondamentale de la philosophie occidentale. Dans ce traité, Descartes expose sa vision du monde, basée sur des principes métaphysiques et physiques. Il y développe sa méthode du doute, son célèbre "cogito, ergo sum" (je pense, donc je suis), et ses conceptions sur la nature de l'âme et du corps.
DULONG, Pierre || PETIT, Alexis.
Recherches sur la mesure des températures et sur les lois de la communication de la chaleur (publiés dans Annales de Chimie et de physique - Tome VII).
Paris, Crochard, 1817.
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450 €
Edition originale.
Premiers travaux de Dulong et Petit qui conduiront à l'établissement de la loi thermodynamique du même nom.
Ces travaux ont été récompensés du prix de physique de l'Académie des Sciences en 1818.
Dans le même volume des articles de Gay-Lussac, Humboldt, Dalton.
DUPUY, Léon.
Exposé de la méthode de Hansen pour le calcul des perturbations spéciales des petites planètes.
[Paris], [Baillière], [1874].
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150 €
Edition originale.
Article paru dans les Mémoires de la société des sciences physiques et naturelles de Bordeaux.TX sur ce problème fondamental de la mécanique céleste qui préoccupe les mathématiciens et astronomes de la fin du XIXème siècle.
Discussion sur la méthode de Hansen qui est une approche du problème des trois corps par la théorie des perturbations.
EIFFEL, Gustave.
La Résistance de l'air et l'aviation.
Paris, Imprimerie de la Cour d'Appel, 1911.
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70 €
Rare tiré à part d'un article de Gustave Eiffel écrit pour l'Hommage à Louis Olivier.
Ce livre chorale fut écrit à l'occasion de la mort de Louis Frédéric Olivier (1854-1910), scientifique passionné par les progrès techniques, scientifiques et culturels.
Belle impression à pleine marge sur papier vergé.
EINSTEIN, Albert.
- Die Plancksche Theorie der Strahlung und die Theorie der spezifischen Wärme
- Über die Gütligkeitsgrenze des Satzes vom thermodynamischen Gleichgewicht und über die Möglichkeit einer neuen Bestimmung der Elementarquanta.
Leipzig, Ambrosius Barth, 1907.
Fiche complète >
350 €
Edition originale.
Deux articles écrits par Albert Einstein et parus dans Annalen der Physik vol.22 en 1907.
- Die Planckche Theorie der Strahlung und die Theorie der spezifischen Wärme.
Premier article d'Einstein sur la théorie des quantas.
- Über die Gütligkeitsgrenze des Satzes vom thermodynamischen Gleichgewicht und über die Möglichkeit einer neuen Bestimmung der Elementarquanta.
Une des rares incursions d'Einstein en physique expérimentale, pour détecter des très faibles fluctuations de voltage, il conçut un electrometre d'un nouveau type qu'il appelera sa Maschinchen.
EINSTEIN, Albert.
Eine Theorie der Grundlagen der Thermodynamik.
Leipzig, Ambrosius Barth, 1903.
Fiche complète >
300 €
Edition originale.
Quatrième article écrit par Albert Einstein et paru dans Annalen der Physik vol.11 en 1903
Einstein y poursuit les travaux de Botlzman et Maxwell sur les conditions de réalisation de la deuxième loi de la thermodynamique d'après les mathématiques probabilistes.
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