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Physique
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Auteur A-Z
Auteur Z-A
Titre A-Z
Titre Z-A
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Date ↓
DEGUIN, Nicolas.
Cours élémentaire de physique, à l'usage des collèges et des autres établissemens d'instruction publique.
Paris, Belin-Mandar, 1841.
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75 €
Troisième édition de cours élémentaire de physique rédigé par Nicolas Deguin (1809-1860) qui fut professeur de physique à la Faculté des sciences de Besançon.
DE BROGLIE, Louis.
La mésomérie. Réunions d'études et de mises au point tenues sous la présidence de L. De Broglie.
Paris, Edition de la revue d'optique théorique et instrumentale, 1947.
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25 €
Édition originale.
Charles Dufraisse : La mésomérie au point de vue du chimiste organicien - Paul Rumpf : L'étude expérimentale des conditions dans lesquelles se produit l'effet de mésomérie - A. Pacault : Relations entre la magnétochimie et la mésomérie - Paul Meunier : L'intervention de l'effet de mésomérie dans l'étude des vitamines - Raymond Daudel : Etude théorique de la mésomérie - Jean Cabannes : La mésomérie mise en évidence par l'analyse spectrale - Alberte Pullman: L'utilisation des méthodes de la mésomérie dans l'étude des composés cancérigènes et de leurs antagonistes - Jean Guy : Bases théoriques et conditions de la mésomérie - Jean-Louis Destouches : Difficultés théoriques rencontrées dans l'étude de la mésomérie.
DARLES DE LINIERE, ?.
Pompes sans cuirs.
Paris, Manufacture royale, 1768.
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400 €
Edition originale.
Darles de linière présente ses modèles de pompes dans lesquelles les vessies et clapets de cuir étaient remplacés par des pistons de cuivre. Les planches montrent les modèles de pompes de navire marchand, pompe à incendie sur roues (ancêtre du camion de pompier), les pompes pour élever l'eau des puits.
DAGUIN, Pierre-Adolphe.
Traité élémentaire de physique théorique et expérimentale avec les applications à la météorologie et aux arts industriels.
Toulouse / Paris, Édouard Privat / Tandou et Cie / Delagrave et Cie, 1867-1868.
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120 €
Troisième édition.
D'ALEMBERT, Jean Le Rond dit || CONDORCET, Nicolas de || BOSSUT, Charles.
Nouvelles expériences sur la résistance des fluides.
Paris, Claude-Antoine Jombert, 1777.
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300 €
Edition originale.
Recueil d'expériences d'hydrodynamiques réalisées dans un bassin de l'Ecole militaire par D'Alembert, Condorcet et Bossut. Turgot les avait mandatés pour chercher comment améliorer la navigation fluviale. Les résultats de ces expériences aboutirent à établir ce qui deviendra le paradoxe de D'Alembert ,qui ne sera résolu qu'avec la théorie des sillages.
En effet d'après les équations hydrodynamiques de l'époque, "un corps devrait pouvoir progresser dans un fluide sans éprouver aucune résistance ou, ce qui revient au même, qu’une pile de pont plongée dans le cours d’un fleuve ne devait subir de sa part aucune poussé", ce que les expériences réalisées démentaient.
Au delà du traité d'hydrodynamique, ce livre témoigne d'une science en marche qui se nourrit des allers retours entre la théorie et l'expérience.
CURIE, Pierre || CURIE, Marie.
Oeuvres de Pierre Curie. Publiées par les Soins de la Societe Francaise de Physique.
Paris, Gauthier-Villars, 1908.
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Vendu
Edition originale.
Première édition des oeuvres de Pierre Curie. Sa femme Marie Curie signe ici la préface et est co-auteur de quelques articles.
CROS, G.
Cours de physique pour les classes de Mathématiques A et B. Programme du 14 mai 1912.
s.l., s.n., 1912.
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20 €
Cours autographié.
[COURS DE PHYSIQUE].
Cours de physique. 1ère Section, suivi d'un Cours de 2ème Division.
s. l, s. n, [vers 1912].
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50 €
Cours de Physique générale autographiés, complétés par de nombreux schémas.
Le cours de physique de 1ère Section est organisé autour des parties suivantes : Unités de mesures, Notions de mécanique, La pesanteur, L'hydrostatique, La densité des corps solides et liquides, L'aréométrie, L'hydrodynamique, La compressibilité des gaz, L'acoustique, Les notions de potentiel, La mesure des surfaces et des angles, La chaleur, La calorimétrie, Les notions de thermodynamique, Les changements d'état des corps et La vapeur.
Le cours de physique de 2ème division a pour plan, le suivant : La liquéfaction des gaz, L'hygrométrie, Les notions de météorologie, Le son, L'optique, La réfraction de la lumière, Les instruments d'optique, Études des radiations, La photométrie et Notions d'optique physique.
COTES, Roger.
Leçons de physique expérimentale, sur l'équilibre des liqueurs, & sur la nature & les propriétés de l'air.
Paris, David fils, 1742.
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700 €
Première édition en français.
Roger Cotes (1682-1716) est mathématicien anglais, proche d’Isaac Newton avec qui il partage la découverte de la méthode de Newton-Cotes en analyse numérique, qui étend de manière générale la méthode des trapèzes et la méthode de Simpson pour le calcul des intégrales. (Formules de Newton-Cotes)
Cet ouvrage de Cotes fut publié pour la première fois de façon posthume en 1738 sous le titre "Hydrostatical and Pneumatical Lectures", et il contient notamment la première traduction en français de la "Construction d'une échelle qui exprime les différents degrés de chaleur" de Newton.
CORNU, Alfred.
Mémoire sur la détermination de la vitesse de la lumière entre l'observatoire et Montlhéry, par M. A. Cornu. in Annales de l'Observatoire de Paris, publiées par U. -J. Le Verrier - Mémoires - Tome XIII.
Paris, Gauthier-Villars, 1876.
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200 €
Édition originale.
Alfred Cornu (1841-1902) est célèbre pour ses trois mesures de la vitesse de la lumière entre 1872 et 1874, réalisées avec la méthode de Fizeau pour lequel il avait une grande admiration.
La dernière et la meilleure a été faite entre l'Observatoire et la Tour de Montlhéry. Cet article de 315 pages, est consacré à cette dernière expérience.
A la suite, est relié l'article "Recherches sur les observations magnétiques faites à l'observatoire de Paris de 1667 à 1872" de M. G. Rayet.
COPPEL, Th. || FOURNIER, Georges || YOVANOVITCH, D. K.
Quelques suggestions concernant la Matière et le Rayonnement.
Paris, Albert Blanchard, 1928.
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150 €
Rare plaquette dans laquelle les auteurs évoquent une géométrie non-archimédienne pour étudier les phénomènes intra-atomiques.
[COCHET, Jean].
La Physique expérimentale et raisonnée, qui contient en abrégé ce que cette science a de plus intéressant.
Paris, Claude Herissant, 1756.
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250 €
Edition originale.
L'abbé Jean Cochet, né en 1698 à Faverges (Genevois) et mort en 1771 à Paris, est un professeur de philosophie au collège Mazarin, principal du collège du Cardinal-Lemoine recteur de l'université de Paris à partir de 1748. Ce texte traite du mouvement, de l'équilibre des liqueurs, des efforts des fluides sur les solides, du ressort de l'air par le moyen de la machine pneumatique, du son, de la fermentation, de la dissolution des métaux, de la formation de quelques corps purs, des odeurs, de la lumière, de catoptrique, des phosphores, des couleurs, de l'aimant, et enfin l'électricité.
CLÉMENT & DÉSORMES, BECQUEREL.
Détermination expérimentale du Zéro absolu de la chaleur et du caloriques spécifique des Gaz in. "Journal de Physique, de chimie, d'histoire naturelle et des arts, avec des planches et des arts".
Paris, Vve Courcier, 1819.
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Vendu
Mémoire particulièrement important de Clément et Désormes : "Détermination expérimentale du Zéro absolu de la chaleur et du calorique spécifique des Gaz".
Ce mémoire avait été soumis à l'académie des sciences en 1812, mais n'ayant pas remporté le prix il ne fut pas imprimé dans les mémoire de l'académie. Il parait donc ici pour la première fois.
On y trouve la détermination du zéro absolu que Clément et Désormes évaluent par plusieurs méthodes à -266,66 ° C.
Ils y définissent surtout une méthode expérimentale pour déterminer le ratio γ=Cp/Cv de la chaleur spécifique à volume constant et à pression constante.
Volume provenant de la bibliothèque Becquerel avec cet émouvant envoi d'Antoine César Becquerel à son petit fils Henry Becquerel : "Donné à mon petit fils henry, qu'il conserve cela en souvenir de mes trois premiers mémoires publiés en 1819 et du tendre attachement que je lui porte".
Ces trois mémoires de minéralogie occupent les pages 235 à 240, 308 à 309, 462 à 467.
CLAUDIUS || [RUELLE, Charles].
La science populaire de Claudius ; Simples discours sur toutes choses : Sur la chaleur.
Paris, Jules Renouard, 1840.
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20 €
Édition originale.
CLAIRAUT, Alexis.
Théorie de la Lune, déduite du seul principe de l'attraction.
Paris, Dessaint & Saillant, 1765.
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1500 €
Seconde édition.
Cette seconde édition regroupe la Théorie de la Lune et les Tables de la Lune publiés par Clairaut en 1752 et 1754 qui sont la première résolution approximative du problème des trois corps.
Entre 1747 et 1754, trois des plus grands mathématiciens de leur temps, Euler, D'Alembert et Clairaut s'opposent sur un projet commun : développer de nouvelles méthodes mathématiques afin de résoudre le problèmes complexe posé par le mouvement de la Lune, soumise à la fois à l'attraction gravitationnelle de le Terre et du Soleil.
L'enjeu était à la fois scientifique et économique puisque l'établissement de tables astronomiques précises était nécessaire pour la fiabilité de la navigation en mer.
CHEVREUL, Michel Eugène.
Mémoire sur la vision des couleurs matérielles en mouvement de rotation et des vitesses numériques de cercles.
Paris, Firmin-Didot, 1882 [1881].
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3000 €
Édition originale du dernier ouvrage de Chevreul sur la couleur.
Rare tiré à part avec sa propre page de titre (chez Firmin-Didot daté de 1882), d'un article présenté à l'Académie des Sciences en décembre 1880 et janvier 1881 (on ne trouve généralement que l'article extrait des Mémoires de l'institut paru en 1883).
Chevreul, qui toute sa vie s'est intéressé aux couleurs, aborde ici l'optique physiologique en essayant d'analyser comment le contraste entre les couleurs complémentaires est affecté par le mouvement.
Dans sa conclusion dans laquelle il se nomme "le doyen des étudiants de France" (il est alors âgé de 95 ans), il voit une application directe de ses travaux à la signalisation à destination des conducteurs de trains.
CHEVREUL, Michel Eugène.
Des couleurs et de leurs applications aux arts industriels à l’aide des cercles chromatiques. Avec XXVII planches gravées sur acier et imprimées en couleurs par René Digeon.
Paris, J.B. Baillière et Fils, 1864.
Fiche complète >
5500 €
Édition originale de la plus rare des publications de Chevreul sur la couleur.
Michel-Eugène Chevreul (1786-1889) est connu des chimistes pour ses recherches sur les acides gras, la saponification et la découverte de la stéarine, mais c'est en tant que théoricien de la couleur que son nom passera à la postérité.
Chevreul fut nommé en 1824 directeur de la Manufacture des Gobelins. Devant surveiller la fabrication des colorants, il appuya le travail des teinturiers sur ses recherches sur la perception des couleurs.
C'est ainsi qu'il proposa dès 1839 une approche scientifique de la complémentarité des couleurs et développa par la suite des "cercles chromatiques".
Véritables nuanciers "Pantone", avec cent ans d'avance, les cercles chromatiques de Chevreul avaient le double intérêt de systématiser la production des teintes (chacune ayant son nom) et de retrouver facilement la notion de complémentarité des couleurs.
Ainsi les couleurs complémentaires se retrouvent sur le même diamètre du cercle chromatique, au Rouge n°2 correspond le Vert n°2.
"Je crois pouvoir affirmer qu'il est possible d'assujettir les couleurs à une nomenclature raisonnée, en les rapportant à des types classés d'après une méthode simple, accessible à l'intelligence de tous ceux qui s'occupent des couleurs" (extrait de la préface).
La standardisation de la production des couleurs devait intéresser en premier lieu l'industrie alors en plein développement, mais c'est sans doute dans le mouvement impressionniste que les théories de Chevreul ont trouvé leur plus bel accomplissement. Très tôt les peintres se sont inspirés des travaux de Chevreul dans leurs tableaux à commencer par Delacroix puis Monet. On se souviendra ainsi des champs de coquelicots chers aux impressionnistes (Van Gogh, Monet, Pissaro...) où les points rouges des fleurs éclatent sur des fonds verts complémentaires.
Les 27 spectaculaires planches ont été imprimées par René-Henri Digeon par chromochalcographie, dont le procédé et les difficultés de mise en oeuvre font l'objet d'un paragraphe dans l'ouvrage. Digeon semble avoir présenté un premier tirage de ces planches lors de l'exposition universelle de 1855 et pour lesquelles il reçut brevet de l'Impératrice.
Plusieurs des planches de notre exemplaire semblent faire partie de ce premier tirage et comportent des erreurs qui ont été corrigées dans d'autres exemplaires postérieurs que nous avons pu consulter.
CHEVREUL, Michel Eugène.
De la Loi du Contraste simultané des Couleurs et de l’Assortiment des Objets colorés, considéré d’après cette Loi dans ses Rapports avec la Peinture, les Tapisseries des Gobelins, les Tapisseries de Beauvais pour Meubles, les Tapis, la Mosaïque, les Vitraux colorés, l’Impression des Étoffes, l’Imprimerie, l’Enluminure, la Décoration des Édifices, l’Habillement et l’Horticulture.
Paris, Pitois-Levrault, 1839.
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9000 €
Édition originale.
L'un des livres les plus influents sur l'art au XIXe siècle.
Michel-Eugène Chevreul (1786-1889) est connu des chimistes pour ses recherches sur les corps gras (1810-1823) et l’analyse immédiate organique (1824), mais c'est en tant que théoricien de la couleur que son nom passera à la postérité.
"De la loi du contraste simultané des couleurs" a introduit une compréhension scientifique de la couleur ayant durablement influencé les peintres de son époque.
Sa « loi » décrit comment la perception d’une teinte est modifiée par les couleurs adjacentes, chaque couleur diffusant sur son voisinage sa couleur complémentaire (ainsi, un objet rouge tend à entourer d’un reflet verdâtre les surfaces proches, un objet jaune à violacer ce qui l’entoure, etc.). Elle est parfaitement illustrée dans la planche 7 de l'Atlas, où l'on voit que des points de couleurs sur fond blanc paraissent diffuser un halo de leur couleur complémentaire.
Eugène Delacroix (1798–1863), figure du romantisme, s’intéressa de près aux recherches de Chevreul. D’après le témoignage du peintre Paul Signac, Delacroix avait même cherché à rencontrer le chimiste et avait acquis des notes de ses cours afin de mieux comprendre la loi du contraste simultané. Plusieurs de ses toiles présentent des harmonies bâties sur des couples de teintes opposées. Ainsi, "L’Entrée des Croisés à Constantinople" (1840) juxtapose méthodiquement des paires complémentaires (jaune/violet, bleu/orange, rouge/vert) pour dramatiser la scène ; un usage si exemplaire que l’historien Lee Johnson y voyait une « illustration » idéale du traité de Chevreul.
Mais c'est sans doute dans le mouvement impressionniste que les théories de Chevreul ont trouvé leur plus bel accomplissement. Claude Monet (1840–1926) exploite notamment le contraste simultané pour intensifier les effets lumineux dans ses paysages. Il évite le noir et les tons terreux, leur préférant des ombres colorées : par exemple, des violets et bleus pour figurer l’ombre d’un soleil couchant, rehaussés de reflets jaune orangé en pleine lumière. Technique que l'on retrouve dès "Impression soleil levant", l'œuvre fondatrice du mouvement. On se souviendra aussi des champs de coquelicots, thème cher aux impressionnistes (VanGogh, Monet, Pissaro...) où les points rouges éclatent sur fonds verts.
Un livre qui annonce l'une des plus grandes révolutions de la peinture.
Notre exemplaire bien complet de toutes les planches en couleurs, la plupart signées de la main de Chevreul.
CHERUBIN D'ORLEANS, Père.
Effets de la force de la contiguité des corps par lesquelles on répond aux expériences de la crainte du Vuide, & à celles de la Pesanteur de l'Air.
Paris, Etienne Ducastin, 1689.
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950 €
Remise en vente de l'édition originale avec une nouvelle page de titre (premier tirage en 1679 par Coutelot, un autre par Lucas en 1688 et par Ducastin en 1688).
Chérubin d'Orléans traite dans cette ouvrage de l'impermabilité du verre. Il y critique aussi les expériences de Torricelli et de Pascal sur le vide, considérant que le vide absolu n'existe pas.
CHAM.
Cours de Physique.
Paris, Maison Martinet, [v.1861].
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50 €
Cham, pseudonyme d’Amédée de Noé (1818-1879), est un illustrateur, caricaturiste et dramaturge français connu et reconnu.
Ce "Cours de Physique" est atypique et à l'opposé de ceux reçus dans les écoles!
C'est un recueil de vignettes très humoristiques, qui ont pour sujet des principes de Physique. Avec son trait simple, rapide, vif et précis, Cham arrive à faire rire les lecteurs sur des domaines sérieux dans les différents domaines de cette science.
CAUCHY, Augustin Louis || ACADÉMIE ROYALE DES SCIENCES.
Mémoires sur la théorie des nombres . IN. Mémoires de l'Académie Royale des Sciences de l'Institut de France. Tome XVII.
Paris, Firmin Didot, 1840.
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950 €
Mémoire sur la Théorie des Nombres, Présenté a l'Académie des Sciences, le 31 Mai 1830, par M. Augustin Cauchy.
Première édition de cet important mémoire qui occupe les pages 249 à 768 de ce volume des mémoires de l'académie des sciences.
La rédaction de ce mémoire est assez abrupte , avec une succession de formules difficile à relier les unes aux autres, et il sera critiqué par Biot en particulier.
Néanmoins Jenny Boucard, après une étude approfondie des travaux de Cauchy, conclu que Cauchy expose une méthode cohérente autour des formes quadratiques 4p^μ=x²+ny² qu'il applique dans différents cas, selon que n est premier ou composé. (Boucard, p.365).
Ce volume des Mémoires de l'Académie Royale des Sciences contient :
PONCELET : Théorie des effets mécaniques de la turbine Fourneyron.
TURPIN :
- Mémoire sur les différences qu'offrent les tissus cellulaires de la pomme et de la poire ...
- Mémoire sur la cause et les effets de la fermentation alcoolique et acéteuse.
- Recherches microscopiques sur divers laits ...
BECQUEREL : Nouvelles recherches sur le dégagement de la chaleur dans le frottement
CAUCHY. Mémoires sur la théorie des nombres.
BIOT. Mémoire sur l'existence d'une condition physique qui assigne à l'atmosphère terrestre une limite supérieure d'élévation qu'elle ne peut dépasser.
CHEVREUL. Recherches physico chimiques sur la teinture
Ainsi que les éloges historiques de Jussieu par Flourens et de James Watt par Arago.
CAUCHY, Augustian-Louis.
La théorie de la lumière.
Paris, De Bure Frères, 1830.
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750 €
Rare édition originale de ce premier mémoire de Cauchy sur la propagation de la lumière.
Il explique les phénomènes lumineux à l'aide d'un petit nombre d'hypothèses. Ici il vient appuyer les théories de Fresnel. En effet, ce dernier avait été amené lors de ses études sur les phénomènes de polarisation, en collaboration avec Arago, à contester certaines théories de Biot. La polémique fut très vive.
Cauchy affirme ici que "l'hypothèse admise par Fresnel devient une réalité" et que ce dernier avait eu "raison de dire que dans la lumière ordinaire les vibrations sont transversales, c'est à dire perpendiculaires aux directions des rayons".
Dans la 2e partie, il applique ces principes "à la détermination des lois suivant lesquelles la lumière se propage dans les cristaux à un seul axe ou à deux axes optiques", et montre comment ont peut déduire des "règles propres à faire connaître les vitesses de propagation des ondes élémentaires, et les plans de polarisation des rayons lumineux.
Cauchois. Friedel. Mott. Herpin. Blin. Aigrain. Curien. Mayer. Perio. Tournaire. Gance. Lambert. Guinier. Chapiro. Uebersfeld.
Action des rayonnements de grande énergie sur les solides.
Paris, Gauthier-Villars, 1956.
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15 €
CASTEL, Louis-Bertrand || [NEWTON - DESCARTES}.
Le vrai système de physique générale de M. Isaac Newton exposé et analysé en parallèle avec celui de Descartes.
Paris, Claude-François Simon, 1743.
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950 €
Édition originale de cet ouvrage dans lequel Castel réfute le système de Newton en faveur de celui de son compatriote Descartes.
CASTEL, Louis-Bertrand.
Traité de physique sur la pesanteur universelle des corps.
Paris, André Cailleau, 1724.
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900 €
Édition originale de cet important ouvrage anti-Newtonien.
Louis Bertrand Castel (1688-1757) fût un savant jésuite, mathématicien, physicien et journaliste français.
Cet ouvrage est l'un des premiers traités scientifiques publiés par cet auteur. Il y explicite sa théorie selon laquelle tous les phénomènes de l'univers sont explicables d'après deux principes, qui sont: la gravité des corps, qui fait tout tendre au repos, et l'activité des esprits, qui crée incessamment le mouvement.
En France, il fût notamment un des principaux opposants à la théorie de la gravitation de Newton.
CASTEL, Louis Bertrand.
L'Optique des couleurs.
Paris, Briasson, 1740.
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500 €
Edition originale.
Castel, jésuite de son état, est probablement l'adversaire français de la pensée de Newton le plus combatif. Il affrontera le système gravitationnel du savant anglais dans un précédent livre Traité de la pesanteur universelle en 1724.
En 1740 il s'attaque dans L'Optique des couleurs aux considérations sur la lumière de Newton et propose un autre système inspiré par la musicologie (basé sur les harmoniques).
On y trouve notamment la description d'un clavecin oculaire, création célèbre de Castel qui viserait à jouer des couleurs comme on jouerait des sons. Un instrument synesthésique qui aurait sans doute ravi les surréalistes.
Rousseau dira de lui : " Cet homme est fou, mais bon homme au demeurant".
BULOS, Jean Antonin.
De la chaleur dans ses applications aux arts et aux manufactures.
Paris, Urbain Canel, 1825.
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60 €
Édition originale de cet ouvrage qui traite des techniques de chauffage.
BUIGNET, Henri.
Manipulations de physique. Cours de travaux pratiques.
Paris, J.-B. Baillière et fils, 1876.
Fiche complète >
80 €
Édition originale de ce cours professé à l'École supérieure de Pharmacie de Paris.
BRUNHES.
Esquisse des progrès de la physique dus aux savants de la Bourgogne.
Paris, s.n., [1891].
Fiche complète >
50 €
Rare tiré à part de ce mémoire (Mémoires de l'académie de Dijon, TII, IV° série. 1890-1891).
BRUN, Charles-Marie.
Étude sur la théorie mécanique de la chaleur.
Paris, Librairie militaire de L. Baudoin, 1893-1895.
Fiche complète >
350 €
Édition originale très rare de cette étude sur la chaleur.
Le premier volume est particulièrement rare. Un seul exemplaire recensé dans les bibliothèques publiques. (Bibliothèque polytechnique. Source : ccfr).
Charles Marie Brun, né le 22 novembre 1821 à Toulon (Var) et décédé le 13 janvier 1897 à Paris, était un ingénieur de la Marine nationale en poste à Rochefort en France.
Il est connu pour avoir participé à la construction du sous-marin Le Plongeur, dessiné par Siméon Bourgois en 1862.
Charles Brun est devenu plus tard directeur des constructions navales, député et sénateur du Var et ministre de la Marine.
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