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Photo [JANSÉNISME]. 

Recueil de pièces éditées lors de l'Affaire de Douai, qui opposa Jésuites et Jansénistes.
Celle-ci débute en 1688 lorsque Jacques Gilbert professeur de la faculté de théologie de Douai fut relevé de ses fonctions et exilé par lettre de cachet à la suite d'un cours donné sur la "Grâce" (thème cher aux jansénistes).

Volume I :
– Avertissement touchant les plaintes de Mr. Arnauld (1691). (12) pages.
– Secrets du parti de Mr. Arnauld, découverts depuis peu. Troisième édition. (1692). (12)-71 pages.
– Lettres À Mr. Arnauld sur ses plaintes adressées à Monseigneur l’Evêque d’Arras [etc.]. (1691). 72 pages.
– Réponse du P. Payen de la Compagnie de Jésus à la troisième plainte de Monsieur Arnauld. Nouvelle Édition revue corrigée. [sans date.]. 24 pages.
– Remarques sur l’écrit intitulé, Relation sommaire de ce qui s’est passé dans l’affaire de quelques Théologiens de Doüay. Nouvelle Édition. (1692). 48 pages.
– Réponse d’un prélat de la Cour de Rome à la lettre d’un Abbé sur la Censure des 31 propositions. (1691). 24 pages.
Volume 2 :
– Plainte de Mr. Arnauld Docteur de Sorbonne, à Monseigneur l’Evesque d’Arras (1691). (2)- 68 pages.
– Seconde plainte de Mr. Arnauld Docteur de Sorbonne aux RR. PP. Jésuites. (1691). 43 pages.
– Troisième plainte de Mr. Arnauld Docteur de Sorbonne à son Altesse Monseigneur L’Evesque et Prince de Liège. (1691). 24 pages.
– Quatrième plainte de Mr. Arnauld Docteur de Sorbonne, aux RR. PP. Jésuites. (1692). 128 pages.
– Lettre de Mr. de Ligny à un de ses amis. (1692). 57 pages.
– Lettres du Faux-Arnauld à Mr. de Ligny. (1692). 36 pages.
– Le Vain triomphe des Jésuites. (1692). 45 pages.

Photo GRANIER, Camille. 

Editions originales.
Suite de trois textes de Camille Granier alors inspecteur général des prisons. Les deux premiers sont extraits de la Revue générale d'administration, le dernier de la Revue pénitentiaire.

"Le débat rebondit à l’intérieur de la Société générale des prisons en 1895 sous forme d’une discussion autour du rapport de Camille Granier, inspecteur général des prisons. Celui-ci met l’accent sur l’aspect d’assistance pénitentiaire et la nécessité du principe de décentralisation. Il insiste sur les difficultés, les échecs des commissions de surveillance réactivées par tous les gouvernements et en attribue les causes au fait que les prisons étant administrées par une commission composée du président du tribunal, du procureur d’État et de deux membres nommés par le ministre de la Justice, en dehors du personnel administratif, les commissions de surveillance (indépendantes de l’administration) seraient trop autonomes, trop libres et donc dangereuses. Les commissions de surveillance déclineront peu à peu, laissant plutôt la place aux sociétés de patronage (bien que les missions en soient différentes). Ces débats sont néanmoins intéressants car ils mettent en lumière ces actions, ces orientations qui ont voulu “humaniser” ou “socialiser” la prison, ce sera également le cas des visites et conférences dans les prisons." Martine Kaluszynski, "La prison (et sa réforme), un enjeu formateur pour l’État républicain en construction", Revue hypermédia, 2006.

A la fin un texte de 14 pages qui semblent tirée d'un compte rendu de commission parlementaire.

Photo DAUMAS, Eugène, Général. 
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