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Photo HENNEQUIN, Victor. 

Édition originale.
Exposition des idées et des théories de Fourier traitant de l'amour, de la régulation et l'organisation des relations entre les sexes dans le Phalanstère.
Chacun y est assigné à un des rôles définit par Fourier : les chastes Vestales, les Demoiselles, les Anges et les Fées (experts et expertes en amours), ...
Hennequin avec Fourier considère que l'adultère et la prostitution sont des invariants des sociétés humaines et doivent donc être organisés.
La question des relations intimes sera approfondie par Fourier dans Le Nouveau Monde Amoureux, ouvrage qui ne fut publié qu’en 1967 par Simone Debout qui en redécouvrit le manuscrit.

L'ouvrage de Hennequin est relié en avant dernier, avec quatre autres brochures fouriéristes :

- GUEPIN. Traité d'économie sociale. Paris, sn, 1833. 108 pages.
Édition originale.
Ouvrage de facture très saint-simonienne, le docteur Guépin y publie un projet « d’association des imprimeurs, maîtres et ouvriers pour toute la France ».

- [Anonyme]. Catéchisme de Fourier ou Fourier réfuté par lui-même. Paris, Maison, 1841. (8)-98-(2) pages.
Édition originale.
Ouvrage qui présente la doctrine de Charles Fourier sous forme de question-réponses. En particulier, plusieurs chapitres sont consacrés au sulfureux sujet des relations amoureuses dans le système de Fourier.

- Le Sept Avril. Banquets commémoratifs de la naissance de Charles Fourier - Années 1843 et 1844. Paris, À la librairie sociétaire, 1844. 36 pages.
Édition originale.
Les fouriéristes, après la mort de Charles Fourier en 1837, adoptèrent la pratique des banquets républicains, véritables congrès politiques clandestins, et se réunirent chaque année pour célébrer par un banquet l’anniversaire de sa naissance (le 7 avril 1772). À Paris, en province, à l’étranger, de nombreux banquets furent ainsi organisés, au cours desquels les orateurs se relayaient pour vanter les théories sociales du maître et pour porter de nombreux toasts. Au-delà des cercles fouriéristes, les Banquets républicains jouèrent un rôle important dans la préparation de la révolution de 1848.

- PELISSIER. Choix de Poésies d'un Sourd-Muet. Paris, Rue St-Jacques, sd. 72 pages.
Ouvrage qui ne fait pas partie de la littérature fouriériste traditionnelle. Cependant, l'organisation des sourds-muets en écoles et sociétés autonomes a beaucoup emprunté aux utopies de l'époque. On verra même quelques tentatives d'union agricoles pour les sourds et muets.

Photo [Barbiers chirurgiens]. 
Photo DAIN, Charles || FOURIER, Charles. 

Édition originale.
Tiré à part de la revue La Phalange.
Le texte de Charles Dain est suivi de l'article Remède aux divers esclavages par Charles Fourier.
D'origine guadeloupéenne, Charles Dain (1812-1871) mènera campagne pour l'abolition de l'esclavage, bien que lui-même soit propriétaire d'esclaves. Il siégea à l'Assemblée constituante en 1848.

L'ouvrage de Charles Dain est relié en avant dernier, avec 4 autres brochures :

- RICHARDSON, Essai sur le mal ou le péché, Paris, Treuttel et Wurtz, 1840. (4)-133-(1) pages.
Première édition en français.
Ouvrage qui fut commenté dans un article de la Phalange (3, p.584-598).
Pour James Richardson, protestant anglais, du mal vient le bien, schéma inaccessible aux fouriéristes du fait que pour eux le péché originel n'existe pas, pas plus que le mal en tant que principe métaphysique.
- [CONSIDERANT], Théorie générale de Fourier : Coup d'œil sur la théorie des fonctions, Lyon, [Nourtier], [1841]. 16 pages (manque la couverture du broché qui tenait lieu de page de titre).
Édition originale.
Ce texte est l’exposé sur la doctrine sociétaire fait par Victor Considérant au Congrès scientifique de France à Lyon le 5 septembre 1841.

- CANTAGREL, Mettray et Ostwald. Etude sur ces deux colonies agricoles, Paris, Librairie de l'école sociétaire, 1842. 65 pages.
Édition originale.
Tiré à part d'un long article paru dans la Phalange qui compare les colonies agricoles et pénitentiaires d’Ostwald (Bas-Rhin) et de Mettray (Indre-et-Loire), toutes deux ouvertes en 1839. Il s'agissait de centre de détention destiné aux enfants délinquants qui jusque-là étaient enfermés avec les adultes.

-BERBRUGGER, Conférences sur la Théorie sociétaire de Charles Fourier en septembre 1833, Lyon, Babeuf, 1833. 105 pages.
Édition originale.
Adrien Berbrugger (1801-1869), est un archéologue et philologue français. Resté célèbre pour être un fin connaisseur de l'Algérie. Convaincu par les idées fouriéristes au début des années 1830 il donnera plusieurs conférences publiques pour prêcher la bonne parole de Charles Fourier.
Dans cet ouvrage, il se montre notamment opposé à la traite des noirs.

Photo CHARAS, Moyse. 

Nouvelle édition revue corrigée et augmentée par l'auteur.
Savant médecin et Pharmacien né à Uzès en 1618, Charas étudia la chimie à Orange, puis vint de bonne heure à Paris, où il fut nommé démonstrateur royal de chimie au jardin du roi.

La révocation de l'édit de Nantes le força à quitter la France en 1680.

Après avoir pratiqué la médecine avec succès en Angleterre, puis en Hollande, il se rendit en Espagne où il avait été appelé auprès du roi Charles II, depuis longtemps malade.
Les soins qu'il lui donna n'empêchèrent pas qu'il fut dénoncé à l'inquisition, par suite de la jalousie des médecins de la cour.
Il n'en sortit qu'après avoir abjuré.

Ses écrits restent encore marqués par les théories alchimiques.

Sa pharmacopée est le fruit de ses leçons données à Paris et de ses études. Elle connut un grand succès, fut rééditée de nombreuses fois et a été traduite dans toutes les langues de l'Europe, et même en chinois pour la commodité de l'Empereur.

On y trouve la description de nombreuses préparations, recettes de remèdes et autres panacées universelles.


Charas explique aussi dans cet ouvrage pourquoi l'eau forte fond tous les métaux, excepté l'or; et pourquoi l'eau régale, qui met l'or en fusion, ne peut pas fondre les autres métaux, par exemple l'argent.

"L'argent, dit-il, a des pores, dont l'ouverture est proportionnée à la grosseur des pointes des particules de l'eau forte, assez aiguës par un bout pour entrer, et assez larges par l'autre pour séparer les parties du métal. Mais l'or, dont les pores sont beaucoup plus étroits que ceux de l'argent, ne peut pas admettre ces particules; donc l'eau forte doit fondre l'argent et non pas l'or. Quant à l'eau régale, elle doit au contraire fondre l'or et non pas l'argent. Les parties de ce dissolvant, subtilisées par le sel d'ammoniac, passent trop librement par les pores de l'argent, et ne se trouvent que dans l'or des pores disposés à les secondés dans leurs fonctions.".

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