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AFFAIRE GIRARD-CADIÈRE.
Recueil des pièces concernant le procès entre la Demoiselle Cadière, de la Ville de Toulon et le Père Girard, Jésuite.
s.l., s.n., 1731.
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1950 €
Recueil de 45 pièces du procès en sorcellerie du père Girard accusé d'avoir ensorcelé, violé et fait avorter une jeune fille de Toulon, Catherine Cadière.
Sur les instances des frères de Catherine Cadière, il fut accusé de séduction et de magie lors d'un long procès à Aix qui passionna les foules. Mais, soutenu par les Jésuites, d'accusé il devint accusateur et le parlement d'Aix qui voulait sa mort le renvoya aux juges ecclésiastiques, qui se hatèrent de l'absoudre.
[MEUNG, Jean de].
Le plaisant jeu du dodechedron de fortune, non moins récréatif, que subtil & ingénieux.
Paris, Nicolas Bonfons, 1577.
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1800 €
Le Dodechedron de fortune, du nom du dé à douze faces utilisé pour tirer l'oracle et de la déesse de la Fortune médiévale, était un jeu divinatoire, appelé aujourd'hui “Le Miroir Magique de Jehan de Meung”.
Ce jeu consistait à choisir des questions sur l'avenir et à trouver leur réponse à l'aide du dé spécial dont les douze faces correspondent aux douze maisons du ciel et offrent un numéro qui renvoie à un horoscope ou un conseil.
Les 2 tableaux dépliants de 12 cases sur 12 donnent en abscisse les signes du zodiaque et en ordonnée les planètes correspondant chacune à un chiffre du dé. Chaque case renvoyant à un oracle du livre.
Exemplaire dans une fine reliure en plein maroquin janséniste de Chambolle-Duru.
CLAVIUS, Christoph.
Epitome arithmeticae practica.
Roma, Dominici Basae, 1583.
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1800 €
Edition originale.
Christopher Clavius était un mathématicien et astronome allemand.
Il est principalement connu pour avoir établi les bases du nouveau calendrier Grégorien.
Son arithmétique pratique est connu pour avoir influencé René Descartes et Gottfried Leibniz.
[BOURGUET, Louis].
Traité des pétrifications.
Paris, Briasson, 1742.
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1800 €
Edition originale.
L'un des premiers livres de paléontologie.
L'ouvrage est divisé en deux parties, la première sous forme de lettres adressées à Réaumur, Jallabert, Garcin, Mairan... Bourguet s'interroge sur l'origine de ce que l'on appelle alors couramment pétrifications, l'origine animale ou végétale de ces pierres particulières n'étant pas pas encore clairement établie.
La seconde partie à visée encyclopédie propose une classification des différentes sortes de pierres (pour les distinguer des fossiles), un répertoire de tous les lieux où l'on trouve des fossiles, une bibliographie sur le sujet, et l'explication des 60 planches hors texte regroupant plusieurs centaines de fossiles classés sur leurs ressemblances.
GALATHEAU, Pierre de.
Dissertation sur la Digestion de l'Estomach, touchant l'humeur acide.
Paris, François Muguet, 1675.
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1800 €
Edition originale de cet ouvrage fort rare de gastro-entérologie.
Il manque aux bibliographies usuelles (Osler, Heirs, Waller, Cole, Morton, Dezeimeris, ......).
Portal, dans son dictionnaire de l'anatomie (1770), mentionne une édition in-Folio de 1676 qui n'existe dans aucune bibliothèque publique. L'a-t-il réellement examiné comme il l'affirme ? Il dit de cet ouvrage qu'il est peu intéressant, Galatheau suivant le système de Willis sur la digestion.
On trouve aussi la trace de cet ouvrage dans la correspondance de Pierre Bayle :
"Il y a un médecin de Bordeaux nommé Mr Galatheau q[ue] l’on m’a dit être de la Religion, qui a fait imprimer un Traitté de la digestion des alimens où il combat l’opinion des modernes qui veulent qu’elle se fasse par une humeur acide dont les parties tranchantes fassent ce que l’eau forte produit dans les métaux."
Ni ses pairs, ni la postérité n'ont été tendres avec Pierre de Galatheau, cependant nous relevons à la page 13 de son traité qu'il fait usage d'un microscope pour observer la muqueuse de l'estomac :
"les pores de cette partie sont plus grands & plus dilatez que les autres, comme le microscope le fait voir..."
Procédé tout à fait novateur alors que les premières observations microscopiques de Leeuwenhoek sont présentées à la Royal Society qu'en 1673.
FOESIO, Anutio, HIPPOCRATE.
Magni Hippocratis medicorum omnium facile principis opera omnia quae extant.
Francofurdi, Andrea Wecheli, 1595.
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1800 €
Édition originale de la traduction du grec au latin des oeuvres d'Hippocrate par Anuce Foes.
Cette traduction est resté la référence pendant 250 ans, jusqu'à son remplacement par l'édition française de Littré [1839 à 1861].
Les oeuvres d'Hippocrate sont en réalité un ensemble d'une soixantaine d'écrits, qui furent composés entre 450 et 350 avant J.-C; Ils constituent notre principale source d'information sur la médecine grècque avant l'époque d'Alexandrie.
C'est au cours du seizième siècle que les érudits ont progressivement donné naissance à un corpus hippocratique en latin qui a eu cours jusqu'à son remplacement par l'édition française de Littré [1839 à 1861].
Les éditions marquantes ayant permis cet aboutissement sont les éditions princeps en latin (1525 à Rome) puis en grec (1526, Alde), qui permirent la découverte de manuscrits jusque là pratiquement inconnus.
Vinrent ensuite les éditions baloises de 1538 et 1546 (Froben) qui menèrent à bien la correction systématique des éditions princeps.
Enfin, en 1595, le médecin de Metz Anuce Foes (1528-1595) fait imprimer notre édition bilingue grec/ latin "exacte et complète des oeuvres d'Hippocrate, oeuvres aussi avidement désirées, que vainement attendues depuis longtemps. La presse gémit enfin, dit Percy." (Dezeimeris [II, p.333]).
Exemplaire très frais de cette rare édition des Oeuvres d'Hippocrate.
JODELLE, Étienne.
Les Œuvres et Meslanges poetiques. Reveuës & augmentees en ceste derniere edition.
Lyon, Benoist Rigaud, 1597.
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Vendu
Ultime édition collective, la troisième, contenant les Amours, Epithalame, Contr'Amours, Sonnets, Odes, suivis des trois tragédies, composées de longs monologues et de choeurs, dont la célèbre Cléopâtre captive, et Discours de Jules César avant le passage du Rubicon.
On trouve enfin une longue Ode à la chasse adressée au roi Charles IX et les Vers funèbres sur la mort d'Estienne Jodelle composés par Agrippa d'Aubigné. Jodelle est recherché par les amateurs de théâtre et par les curieux de littérature cynégétique.
Il est l'auteur de la première tragédie classique française, Cléopâtre, qui parut en 1552 et qui décida de la renaissance du théâtre en France.
Cette tragédie montre combien les règles dramatiques étaient encore lâches à cette époque :
elle est bien divisée en actes, mais le premier ne présente que des rimes féminines; les trois actes suivants sont écrits en vers de dix syllabes à rimes croisées et le cinquième est en alexandrins.
Exemplaire finement relié par Duru (1850).
[SENDIVOGIUS, Michel].
Cosmopolite ou Nouvelle lumière chymique.
Paris, Laurent d'Houry, 1723.
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1800 €
Dernière édition augmentée.
Contient les trois traités suivants :
I - de la nature en général, où il est parlé du Mercure.
II - du Soufre
III - du vray Sel des philosophes
ainsi qu'avec une pagination séparée la Lettre philosophique d'Antoine Duval.
A la fin du premier traité se trouvent l'"Enigme philosophiques aux fils de la Vérité" et le curieux "Dialogue du Mercure, de l'Alchymiste et de la Nature".
Les trois traités du Cosmopolite font partie des oeuvres majeures du corpus alchimique.
Alexandre Sethon passa sa vie à convaincre de la réalité de l'alchimie.
Complètement désintéressé, il alla de villes en villes pour convaincre les plus incrédules en réalisant des transmutations de plomb en or.
Sa notoriété fût croissante et il fut appelé à la cours de l'électeur de Saxe, Christian II, ou il réalisa une transmutation.
L'or obtenu résista à toutes les épreuves. Alors sommé de donner son secrêt. Sethon refusa, il fut tortuté puis emprisonné en vain.
Il fut libéré par Michael Sendivogius à qui il donna sa provision de pierre philosophale et ses manuscrits. Il succomba peu de temps après à ses blessures.
Après avoir épousé sa veuve, Sendivogius publia les traités de Sethon.
Voici le témoignage d'une transmutation réalisée devant les scientifiques Jacob Zwinger et Wolfgang Deinheim (in de Miberali medicina. Argentorati. 1610, retranscrit dans Figuier, "l'Alchimie et les Alchimistes").
« En 1602, écrit le docteur Dienheim, lorsqu'au milieu de l'été je revenais de Rome en Allemagne, je me trouvai à côté d'un homme singulièrement spirituel, petit de taille, mais assez gros, d'un visage coloré, d'un tempérament sanguin, portant une barbe brune taillée à la mode de France. Il était vêtu d'un habit de satin noir et avait pour toute suite un seul domestique, quel'on pouvait distinguer entre tous par ses cheveux rouges et sa barbe de même couleur. Cet homme s'appelait Alexander Sethonius.Il était natif de Molia, dans une île de l'Océan. A Zurich, où le prêtre Tghlin lui donna une lettre pour le docteur Zvinger, nous louâmes un bateau et nous nous rendîmes par eau à Bâle. Quand nous fûmes arrivés dans cette ville, mon compagnon me dit: -
« Vous vous rappelez que, dans tout le voyage et sur le bateau. vous avez attaqué l'alchimie et les alchimistes. Vous vous souvenez aussi que je vous ai promis de vous répondre, non par des démonstrations, mais bien par une action philosophique. J'attends encore quelqu'un que je veux convaincre en même temps que vous. afin que les adversaires de l'alchimie cessent leurs doutes sur cet art.»
On fut alors chercher le personnage en question, que je connaissais seulement de vue et qui ne demeurait pas loin de notre hôtel. J'appris plus tard que c'était le docteur Jacob Zvinger, dont la famille compte tant de naturalistes célèbres. Nous nous rendîmes tous les trois chez un ouvrier des mines d'or, avec plusieurs plaques de plomb que Zvinger avait emportées de sa maison, un creuset que nous prîmes chez un orfèvre, et du soufre ordinaire que nous achetâmes en chemin. Sethon ne toucha à rien. Il fit faire du feu, ordonna de mettre le plomb et le soufre dans le creuset, de placer le couvercle et d'agiter la masse avec des baguettes. Pendant ce temps, il causait avec nous. Au bout d'un quart d'heure. il nous dit: -
« Jetez ce petit papier dans le plomb fondu, mais bien au milieu, et tâchez que rien ne tombe dans le feu!...»
Dans ce papier était une poudre assez lourde, d'une couleur qui paraissait jaune-citron ; du reste, il fallait avoir de bons yeux pour la distinguer. Quoique aussi incrédules que saint Thomas lui-même, nous fimes tout ce qui nous était commandé. Après que la masse eut été chauffée environ un quart d'heure encore, et continuellement agitée avec des baguettes de fer, l'orfèvre reçut l'ordre d'éteindre le creuset en répandant de l'eau dessus ; mais il n'y avait plus le moindre vestige de plomb; nous trouvâmes de l'or le plus pur, et qui, d'après l'opinion de l'orfèvre, surpassait même en qualité le bel or de la Hongrie et de l'Arabie. Il pesait tout autant que le plomb, dont il avait pris la place. Nous restâmes stupéfaits d'étonnement ; c'était à peine si nous osions en croire nos yeux. Mais Sethonius, se moquant de nous :
-« Maintenant, dit-il, où en êtes-vous avec vos pédanteries ? Vous voyez la vérité du fait, et elle est plus puissante que tout, même que vos sophismes. » -
Alors il fit couper un morceau de l'or, et le donna en souvenir à Zvinger. J'en gardai aussi un morceau qui pesait à peu près quatre ducats, et que je conservai en mémoire de cette journée. Quant à vous, incrédules, vous vous moquerez peut-être de ce que j'écris. Mais je vis encore, et je suis un témoin toujours prêt à dire ce que j'ai vu. Mais Zwinger vit encore, il ne se taira pas et rendra témoignage de ce que j'affirme. Sethonius et son domestique vivent encore, ce dernier en Angleterre et le premier en Allemagne, comme on le sait. Je pourrais même dire l'endroit précis où il demeure, s'il n'y avait pas trop d'indiscrétion dans les recherches auxquelles il faudrait se livrer pour savoir ce qui est arrivé à ce grand homme, à ce saint, à ce demi-dieu.»
Jacob Zwinger, dont le docteur Dienheim invoque le témoignage, était médecin et professeur à Bâle ; en dehors de ces titres, il jouissait d'une haute réputation de science, et il laissa un nom très respecté dans l'histoire de la médecine allemande.
Cet irréprochable témoin mourut de la peste en 1610. Mais, dès l'année 1606, il avait confirmé jusqu'en ses moindres détails le récit de Jean Wolfgang Dienheim,dans une lettre latine qu'Emmanuel Konig, professeur à Bâle, fit imprimer dans ses Ephémérides.
La même lettre nous apprend qu'avant de quitter Bâle, Sethon fit un second essai dans la maison de l'orfèvre André Bletz, où il changea en or plusieurs onces de plomb. Quant au morceau d'or qu'il avait donné à Zwinger, on lit dans la Bibliothèque chimique de Manget, que la famille de ce médecin la conserva et le fit voir longtemps aux étrangers et aux curieux.
L'un des traités les pus considérables des classiques de l'alchimie.
[ALARY, François].
Le Parnasse Assiégé ou la Guerre Declarée entre les Philosophes Anciens & Modernes.
Lyon, Antoine Boudet, 1697.
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1750 €
Édition originale.
Ce n'est que récemment que l'auteur de ce rare traité a été identifié, grâce aux travaux de Didier Kahn. François Alary serait aussi l'auteur du fameux Texte d'Alchymie, et le songe-verd.
Le Parnasse assiégé est une curieuse production occulte dont le but est de démontrer la réalité de la science d'Hermès et la vérité de la médecine de Paracelse. (Caillet).
Les disciples d'Hermès qui occupaient et défendaient le sommet du Parnasse ne seraient autres, d'après l'auteur, que les frères de la Rose-Croix.
[EON DE BEAUMONT, Charles Geneviève Louis Auguste].
Les Loisirs du Chevalier d'Éon de Beaumont, ancien Ministre Plénipotentiaire de France, sur divers sujets importans d'Administration.
Amsterdam, s.n., 1774-1775.
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1750 €
Edition originale.
Autobiographie du chevalier d'Eon, le plus célèbre travesti de l'Histoire de France.
Mais au delà du récit rocambolesque de son travestissement à la cour d'Elisabeth de Russie qui se transformera en incident international, le chevalier d'Eon fut un diplomate qui fréquenta les cours européennes sous le règne de Louis XV.
Cette autobiographie publiée au lendemain du scandale au cours duquel il affirma publiquement être une femme, est centrée autour de son séjour à la cour d'Angleterere.
NUYSEMENT, Clovis Hesteau sieur de.
Traittez du vray sel, secret des philosophes, et de l'esprit général du monde.
Contenant en son intérieur les trois Principes naturels, selon la doctrine d'Hermes.
Paris, Jeremie Perier & Abdias Buizard, 1621.
Fiche complète >
1750 €
Édition originale rare de ce traité d'Alchimie de Nuysement.
PERERIUS, Benedictus.
Adversus fallaces et superstitiosas Artes. Id est, de Magia, de Observasione Somniorum et de Divinatione Astrologica.
Lugduni, Officina Juntarum, 1592.
Fiche complète >
1750 €
Rare traité de sorcellerie et de magie du seizième siècle.
Première édition lyonnaise, (eo en 1591), bien complète du dernier feuillet blanc anciennement annoté.
L'ouvrage est divisé en trois parties. La première traite des différents aspects de la magie, la seconde est sur les songes et leur interprétation et le dernier sur l'astrologie.
[VOLTAIRE].
L'Homme aux quarante ecus.
[Genève], s.n., 1768.
Fiche complète >
1750 €
Edition originale.
Premier tirage avec l'errata et les fautes non corrigées.
L'Homme aux Quarante Écus est le seul ouvrage de Voltaire qui a pour unique sujet l'économie.
Il s'agit d'un conte philosophique, dans lequel un riche financier qui échappe à l'impôt raille le pauvre paysan qui paie des impôts pour eux deux, bien que son revenu ne soit que de quarante écus.
Voltaire critique ici les théories économiques de l'école physiocratique.
Les physiocrates affirment que l’État n’a pas à intervenir dans la sphère économique.
Ils considèrent que seule l'agriculture (et donc les paysans), produit de la richesse et doit être la seule activité taxée.
Le livre sera condamné au bucher par le parlement de Paris et mis à l'index.
CROLL, Oswald (Crollius).
La royalle Chymie de Crollius,
traduite en francois par J.Marcel de Boulene.
Lyon, Pierre Drobet, 1627.
Fiche complète >
1750 €
Recueil de traités d'alchimie d'Oswald Croll, l'un des premiers disciples de Paracelse, traduit par le chirurgien Jean Marcel Boulene.
L'ouvrage est divisé en trois traités, :
- le premier propose une Préface admonitoire, contenant les mysteres tres-profond & plus rares de la Philosophie tant naturelle que de la grace, touchant l'excellence de la medecine Chymique, & grandeur du Microcosme;
- le second est La Royalle chymie de Crollius , décrivant divers remèdes et recettes de médecine;
- le troisième, à pagination séparée, constitue enfin un Traicté des signatures, ou vraye et vive anatomie du grand & petit monde. Cette partie qui contient de nombreux signes et symboles alchimiques manque souvent.
Seconde édition en français, avec la page de titre gravée.
ADANSON, Michel.
Histoire Naturelle du Sénégal. Coquillages. Avec la relation abrégée d'un voyage fait en ce pays pendant les années 1749, 50, 51, 52 & 53.
Paris, Claude Jean Baptiste Bauche, 1757.
Fiche complète >
1750 €
Edition originale.
Naturaliste français élève de Réaumur et de Jussieu, Michel Adanson fut l'un des rares européens à explorer le Sénégal au dix-huitième siècle. Si son ouvrage fut un échec commercial il lui permis de rentrer à l'Académie des Sciences.
DARWIN, Charles.
De l'Origine des espèces ou des lois du progrès chez les êtres organisés.
Paris, Guillaumin et Cie, 1862.
Fiche complète >
1750 €
Première édition en français.
Œuvre majeure de l'histoire des sciences.
Cette théorie dans laquelle l'évolution des espèces n'est plus soumise à la volonté divine mais à des principes mécaniques et au hasard trouva de nombreux échos dans les milieux positivistes et livre penseurs.
La traduction française fut confiée par Darwin à Clémence Royer, philosophe féministe et libre-penseur autodidacte qui s'intéressait beaucoup aux sciences naturelles.
Enthousiasmée par la théorie de la sélection naturelle (qu'elle nomme ici "élection naturelle") Clémence Royer prit ses aises par rapport au texte de Darwin, le pourvoyant d'une importante préface dans laquelle elle expose ses propres idées positivistes avec des relents d'eugénisme, et d'importantes notes de bas de page où elle commente le texte de Darwin.
Ceci ne fut pas du goût du philosophe anglais qui se plaignit que les adjonctions de Mme Royer lui aient fait une publicité négative.
PETAIN, Philippe.
Cours d'Infanterie.
s.l., Ecole supérieure de guerre, 1911.
Fiche complète >
1600 €
Edition originale.
Cours d'infanterie donné par le Colonel Philippe Pétain à l'Ecole de guerre en 1911.
Document majeur pour comprendre la pensée stratégique du futur héros de Verdun.
Ce cours ne fut redécouvert et étudié qu'en 1960 par le Général Jean Delmas et édité pour la première fois en 2010 aux éditions du cosmogone.
Pétain assurera le cours d'infanterie à l'Ecole de Guerre entre 1908 et 1911. Son cours est divisé en trois parties : les deux premières, d’une centaine de pages chacune, sont consacrées au récit et à l’étude de combats d’infanterie que Pétain considère comme exemplaires (Auerstedt en 1806, Saint-Privas en 1870). La troisième partie, d’une cinquantaine de pages seulement, offre une analyse sans concession des règlements d’infanterie en usage dans l’armée française entre 1870 et 1902.
Il y promeut un changement de la doctrine d'utilisation de l'infanterie qui ne doit plus s'exposer au feu de l'ennemi comme le voulait la vision napoléonienne du combat.
Par son souci d’épargner le sang des hommes, ce cours annonce clairement le Pétain de 1917-1918.
DUHAMEL DU MONCEAU.
De l'Exploitation des Bois, ou Moyens de tirer un Parti avantageux des Taillis, Demi-Futaies et Hautes-Futaies, et d'en faire une juste Estimation: Avec la Description des Arts qui se pratiquent dans les Forêts.
Paris, H.L. Guerin & L.F. Delatour, 1764.
Fiche complète >
1600 €
Édition originale de cet ouvrage majeur sur la sylviculture au XVIIIe siècle, dévoilant l'un des aspects les plus intéressants de l'économie forestière sous Louis XV pendant la guerre de Sept Ans (1756-1763) – conflit qui entraîna une forte demande dans ce secteur de production.
L'ouvrage traite de la physique du bois, des taillis, des futaies et leur abattage, de l'exploitation des futaies et de l'exploitation des Bois-Quarrés.
L'illustration se compose d'un bandeau figurant une exploitation et de 36 planches dépliantes donnant une vision détaillée des techniques d'exploitation, du découpage du bois et de l'outillage nécessaire.
LA HIRE, Philippe De.
Nouveaux élémens des sections coniques, les lieux géométriques, la construction, ou effection des équations.
Paris, André Pralard, 1679.
Fiche complète >
1500 €
Edition originale.
Philippe de La Hire (1640-1718) est un mathématicien français, il est le continuateur de Desargues et Pascal en géométrie des coniques, en ce qu'il déduit les propriétés des coniques à partir des propriétés du cercle.
La Hire innove par rapport à ses deux devanciers, en ce qu'il exploite au maximum les propriétés d'invariance de la division harmonique, ce qui lui permet de raisonner presque uniquement dans le plan (et non dans l'espace). Cette approche l'amène à développer les notions de pôles et polaires, d'homologie, de lieu orthoptique, etc.
Cet ouvrage de La Hire résume les progrès réalisés en géométrie analytique, et contient des idées telles que l'extension possible de l'espace à plus de trois dimensions.
PASCAL, Blaise.
Oeuvres de Blaise Pascal.
La Haye [Paris], Detune, 1779.
Fiche complète >
1500 €
Première et seule édition collective ancienne, en partie originale.
Publiée par l'Abbé Bossut elle est illustrée d'un portrait et de 14 planches.
Parmi les inédits on trouve de nombreuses pensées, les Écrits sur la Grâce, le Traité du vide et une importante correspondance.
Les tomes IV et V contiennent les œuvres scientifiques.
On y trouve la seconde impression de la brochure décrivant son invention de la machine à calculer (TIV, pages 7-30). On ne connait que deux exemplaires de l'édition originale, une plaquette de 18 pages, imprimée certainement à compte d'auteur.
On trouve également au TV, la réédition du traité de 1654 sur le triangle de Pascal.
LA LANDE, Jérôme de.
Exposition du calcul astronomique.
Paris, Imprimerie Royale, 1762.
Fiche complète >
1500 €
Edition originale de l'un des premiers ouvrages de Lalande dans laquelle il fournit des explications sur les calculs astronomiques utilisés dans la "Connaissance des Temps" (qu'il a édité) et de nombreux tableaux concernant le soleil et les mouvements des planètes.
L'une des planches représente la face de la lune en détail.
Quelques annotations érudites anciennes.
SCHRAMKE, Theophilus.
Description of the New-York Croton aqueduct : in English, German and French.
New York, at the authors, 1846.
Fiche complète >
1500 €
Edition originale.
Rare publication sur la construction de l'Aqueduc du Croton.
Suite à l'épidémie de Choléra de 1832, la ville de New York dont la population explosait alors (ville la plus peuplée des Etats Unis dès 1820), décida la construction d'un aqueduc pour amener de l'eau potable depuis les Catskill jusqu'au coeur de la ville.
Le chantier qui s'étala de 1837 à 1842 sur 40,5 miles (65 kilomètres) est dirigé par John B. Jervis et sécurisera l'apport en eau de New York. C'est alors l'un des plus grands ouvrages d'architecture hydraulique, enchainant réservoirs, tunnels, ponts. L'Aqueduc restera en service jusqu'en 1955.
C'est la première des infrastructures monumentales qui feront de New York une nouvelle Rome.
GORDON, Bernard (de).
Bernardi Gordonii opus, lilium medicinae inscriptum de morborum propre omnium curatione septem particulis distributum.
Lyon, Guillaume Rouillé, 1574.
Fiche complète >
1500 €
Edition donnée par Guillaume Rouillé et augmentée de trois textes qui ne figurent pas dans son édition de 1550.
Le Lilium medicinae, est l'oeuvre majeure de Bernard de Gordon, médecin montpellierain du début du XVème siècle.
Il y expose un savoir hérité des connaissances de médecine du moyen-âge.
On trouve dans le Lilium medicinae la première mention des lunettes.
ADANSON, Michel.
Familles des plantes.
Paris, Vincent, 1763.
Fiche complète >
1500 €
Edition originale de cet important traité de botanique.
Michel Adanson a été le premier à analyser et à expliquer les fondements théoriques de la classification naturelle et, ce qui est encore plus important, à définir la méthode pratique à utiliser pour rechercher cette classification.
Dans cet ouvrage, Adanson proclame son mépris des "systèmes" et propose une classification naturelle fondée sur tous les caractères et non sur quelques caractères choisis arbitrairement, ce qui le met en conflit avec Linné".
MONTUCLA, Jean Etienne.
Histoire des Mathématiques, dans laquelle on rend compte de leur progrès depuis leur origine jusqu'à nos jours; où l'on expose le tableau et le développement des principales découvertes dans toutes les parties des Mathématiques, les contestations qui se sont élevées entre les Mathématiciens, et les principaux traits de la vie des plus célèbres.
Paris, Henri Agasse, 1799-1802.
Fiche complète >
1500 €
Edition la plus complète en 4 volumes et donc la plus recherchée.
La première édition fut publiée en 2 volumes, Montucla devait la compléter d'un troisième mais mourut avant sa publication. C'est Jérôme De La Lande qui publiera finalement les deux derniers volumes d'après les notes de Montucla.
Une référence sur l'histoire des mathématiques.
SAINTE MARIE MAGDELEINE, Dom Pierre de.
Traitté d'Horlogiographie, contenant plusieurs manières de construire sur toutes surfaces, toutes sortes de lignes horaires : & autres cercles de la Sphere.
Avec quelques Instrumens pour la mesme pratique, & pour cognoistre les heures durant la nuict : & l'heure du flus & reflus de la Mer.
Plus la methode de couper en pierre ou en bois les corps reguliers par le cube & par le cylindre.
Paris, Melchior Tavernier, 1641.
Fiche complète >
1500 €
Édition originale de ce célèbre ouvrage d'horlogerie, d'astronomie et de navigation
L'auteur présente les différentes sortes de cadrans, puis la manière de les tracer et de les construire sur des surfaces planes, ou « sur la convexité d'un globe ».
Des chapitres traitent des horloges et des cadrans babyloniens, italiens et juifs, des signes du zodiaque, des maisons célestes, du nombre d'or, de l'âge de la Lune, du flux et du reflux de la mer, etc.
Cet ouvrage connu un grand succès et a souvent été réédité, mais cette édition originale est fort rare.
CLAIRAUT, Alexis.
Théorie de la Lune, déduite du seul principe de l'attraction.
Paris, Dessaint & Saillant, 1765.
Fiche complète >
1500 €
Seconde édition.
Cette seconde édition regroupe la Théorie de la Lune et les Tables de la Lune publiés par Clairaut en 1752 et 1754 qui sont la première résolution approximative du problème des trois corps.
Entre 1747 et 1754, trois des plus grands mathématiciens de leur temps, Euler, D'Alembert et Clairaut s'opposent sur un projet commun : développer de nouvelles méthodes mathématiques afin de résoudre le problèmes complexe posé par le mouvement de la Lune, soumise à la fois à l'attraction gravitationnelle de le Terre et du Soleil.
L'enjeu était à la fois scientifique et économique puisque l'établissement de tables astronomiques précises était nécessaire pour la fiabilité de la navigation en mer.
HUET, Pierre Daniel.
Traitté de la Situation du Paradis Terrestre.
Paris, Jean Anisson, 1691.
Fiche complète >
1500 €
Édition originale de cet ouvrage qui a échappé à Caillet. Dorbon n'a eu que l'édition de 1701.
L'auteur place le Paradis près du golfe Persique sur les bords de l'Euphrate (l'actuel Irak).
L'illustration se compose d'un frontispice (carte des fleuves du golfe persique) et d'une grande carte dépliante de la situation du paradis terrestre
Bel exemplaire relié en maroquin.
ALEMBERT, Jean Le Rond d’.
Reflexions sur la Cause generale des Vents. Piéce qui a remporté le Prix proposé par l'Académie Royale des Sciences de Berlin, pour l'Année 1746.
Paris, David l'aîné, 1747.
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1500 €
Édition originale de cet important traité de météorologie scientifique.
Cette édition de Paris parue en même temps que celle de Berlin est la seule à contenir aussi en 2e partie la version originale latine du texte, traduite par d'Alembert lui-même.
Sur l'aspect de la météorologie, d'Alembert a sous estimé l'effet de la chaleur dont il estimait qu'elle n'avait qu'un impact local sur les vents.
Ce traité est cependant d'une grande importance car c'est la première fois que sont utilisées les équations différentielles partielles en physique mathématique.
FRANCE, Anatole || JOU, Louis.
L'Ile des pingouins. Illustrations de Louis Jou.
Paris, Editions Lapina, 1926.
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1500 €
Première édition illustrée, et l'une des plus belles illustrations de Louis Jou
Celui-ci (n°68), l'un des 25 exemplaires sur Japon impérial (après 10 sur vieux japon) contenant 2 états des pointes sèches, un état des cuivres barrés et une suite complète des bois le tout sur japon.
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