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Alchimie
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PERNETY, Antoine-Joseph.
Dictionnaire mytho-hermétique dans lequel on trouve les Allégories Fabuleuses des Poètes, les Métaphores, les énigmes et les Termes barbares des Philosophes Hermétiques expliqués.
Paris, Bauche, 1758.
Fiche complète >
650 €
Édition originale de cette source essentielle pour la connaissance de l'histoire de l'alchimie et ses symboles.
"Jamais science n'eut plus besoin de Dictionnaire que la Philosophie hermétique" (Extrait de la préface).
PHILALETHE, Eiraeneus.
Introitus apertus ad occlusum regis palatium.
Amsterdam, Joannemm Janssonium, 1667.
Fiche complète >
7500 €
Édition originale de la plus grande rareté de l'un des monuments du corpus alchimique.
L'Introitus, ou l'entrée ouverte au palais fermé du Roi est l'un des plus importants traités d'alchimie.
Nous savons peu de chose sur Eyrénée Philalèthe (un pseudonyme qui signifie amateur de la vérité).
Certains ont cru qu'il s'agissait de Thomas Vaughan. En fait ce dernier écrivit bien des traités d'alchimie, mais sous le pseudonyme de Eugénius Philalèthe et non Eyrénée.
On cite aussi George Starkey, un apothicaire connu pour la conception du savon qui porte son nom. Ce dernier fit le récit de sa rencontre avec Philalèthe et des extraordinaires transmutations qu'il fit sous ses yeux dans un ouvrage "The oil of Sulphur. Londres 1665".
Quoiqu'il en soit l'Introitus est un monument de l'alchimie opérative.
Isaac Newton eut un exemplaire de l'édition anglaise, parue deux ans après, comme livre de chevet. Il l'avait copieusement annoté à quasiment chaque page.
Édition originale fort rare, qui manque à Duveen, Neville, Dorbon, Guaita, Verginelli, Ouvaroff.
PLANIS CAMPY, David de.
L’Hydre morbifique exterminée par l’Hercule chimique ou les sept maladies tenues pour incurables jusques à présent, rendues guérissables par l’art chimique médical.
Paris, Hervé du Mesnil, 1628.
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1500 €
Rare édition originale.
Exemplaire bien complet beau frontispice hermétique et du portrait.
[REIBEHAND, Christophe].
Le Filet d'Ariadne : pour entrer avec seureté dans le labyrinthe de la philosophie hermétique.
Paris, Laurent D'Houry, 1695.
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2000 €
Première édition en français.
Ouvrage d'alchimie peu commun dont les bibliographes ne s'accordent pas sur l'identité de l'auteur.
Pour certains [Dorbon, Caillet, Lenglet Dufresnoy] il s'agit de l'auteur allemand Christophe Reibehand dont le travail fut publié originellement en latin en 1636.
Pour d'autres [Brunet, Duveen, Ferguson] il s'agit de Gaston Le Doux (ou Duclos ou de Claves).
Quelques figures sur bois dans le texte illustrent le matériel d'un laboratoire alchimique.
Un des textes majeurs et parmi les plus rares de la science hermétique.
Fulcanelli cite souvent cet ouvrage dans sa conception du labyrinthe hermétique: « Toute cause efficiente entraîne le sujet et la matière vers un but quelconque ». Le mouvement indique le chemin et la distance qui séparent la matière du but. Celui-ci consiste ou dans la forme, ou dans la quantité, ou dans la qualité. La cause efficient tend donc vers différents buts...".
REYNIER, Jean-Louis-Antoine.
Du Feu et de quelques-uns de ses principaux effets.
Lausanne, Mourer, 1787.
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600 €
Edition originale.
Reynier fait du "feu" dans cet ouvrage, un constituant essentiel de la matière qui assure la cohésion de celle-ci.
Sa théorie annonce à la suite de Lavoisier le remplacement de la théorie du phlogistique par la théorie du calorique.
Notre regard moderne trouverait qu'en remplaçant "feu" par "énergie", Reynier fait preuve ici de nombreuses intuitions intéressantes.
A ce titre il est souvent cité par Bachelard dans sa "Psychanalyse du feu".
SCHULTZ, Gottfried || MICHAELIS, Johann.
Dissertatio pharmaceutico-therapeutica de Natura Tincturae Bezoardicae
[Relié à la suite : ]
Scrutinium Cinnabarinum Seu Triga Cinnabriorum, Hall. Saxon, Simon Joh. Hubner, 1680.
Hall. Saxon, Simon Joh. Hubner, 1678.
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1350 €
Réunion de deux rares ouvrages de Gottfried Schultz (1643-1698) d'après les travaux de Johann Michaelis (1606-1667).
1. Édition originale.
Schulz s'intéresse à la préparation et l'usage de la teinture bezoardique de Michaelis. Cette préparation fera partie des pharmacopées jusque dans la seconde moitié du XVIIIème siècle.
2. Édition originale.
Livre consacré à la préparation et l'usage du cinabre (sulfure de mercure) dans la pharmacopée. L'auteur y aborde les différentes formes de cinabre, cinabre naturel, cinabre d'antimoine...
C'est Paracelse qui le premier popularise l'usage du cinabre en médecine avec notamment son huile d'antimoine.
A la fin on trouve un appendice consacré à l'emplâtre magnétique.
Rares ouvrages témoins d'une médecine alors fortement influencée par les travaux alchimiques.
[SENDIVOGIUS, Michel].
Cosmopolite ou Nouvelle lumière chymique.
Paris, Laurent d'Houry, 1723.
Fiche complète >
1800 €
Dernière édition augmentée.
Contient les trois traités suivants :
I - de la nature en général, où il est parlé du Mercure.
II - du Soufre
III - du vray Sel des philosophes
ainsi qu'avec une pagination séparée la Lettre philosophique d'Antoine Duval.
A la fin du premier traité se trouvent l'"Enigme philosophiques aux fils de la Vérité" et le curieux "Dialogue du Mercure, de l'Alchymiste et de la Nature".
Les trois traités du Cosmopolite font partie des oeuvres majeures du corpus alchimique.
Alexandre Sethon passa sa vie à convaincre de la réalité de l'alchimie.
Complètement désintéressé, il alla de villes en villes pour convaincre les plus incrédules en réalisant des transmutations de plomb en or.
Sa notoriété fût croissante et il fut appelé à la cours de l'électeur de Saxe, Christian II, ou il réalisa une transmutation.
L'or obtenu résista à toutes les épreuves. Alors sommé de donner son secrêt. Sethon refusa, il fut tortuté puis emprisonné en vain.
Il fut libéré par Michael Sendivogius à qui il donna sa provision de pierre philosophale et ses manuscrits. Il succomba peu de temps après à ses blessures.
Après avoir épousé sa veuve, Sendivogius publia les traités de Sethon.
Voici le témoignage d'une transmutation réalisée devant les scientifiques Jacob Zwinger et Wolfgang Deinheim (in de Miberali medicina. Argentorati. 1610, retranscrit dans Figuier, "l'Alchimie et les Alchimistes").
« En 1602, écrit le docteur Dienheim, lorsqu'au milieu de l'été je revenais de Rome en Allemagne, je me trouvai à côté d'un homme singulièrement spirituel, petit de taille, mais assez gros, d'un visage coloré, d'un tempérament sanguin, portant une barbe brune taillée à la mode de France. Il était vêtu d'un habit de satin noir et avait pour toute suite un seul domestique, quel'on pouvait distinguer entre tous par ses cheveux rouges et sa barbe de même couleur. Cet homme s'appelait Alexander Sethonius.Il était natif de Molia, dans une île de l'Océan. A Zurich, où le prêtre Tghlin lui donna une lettre pour le docteur Zvinger, nous louâmes un bateau et nous nous rendîmes par eau à Bâle. Quand nous fûmes arrivés dans cette ville, mon compagnon me dit: -
« Vous vous rappelez que, dans tout le voyage et sur le bateau. vous avez attaqué l'alchimie et les alchimistes. Vous vous souvenez aussi que je vous ai promis de vous répondre, non par des démonstrations, mais bien par une action philosophique. J'attends encore quelqu'un que je veux convaincre en même temps que vous. afin que les adversaires de l'alchimie cessent leurs doutes sur cet art.»
On fut alors chercher le personnage en question, que je connaissais seulement de vue et qui ne demeurait pas loin de notre hôtel. J'appris plus tard que c'était le docteur Jacob Zvinger, dont la famille compte tant de naturalistes célèbres. Nous nous rendîmes tous les trois chez un ouvrier des mines d'or, avec plusieurs plaques de plomb que Zvinger avait emportées de sa maison, un creuset que nous prîmes chez un orfèvre, et du soufre ordinaire que nous achetâmes en chemin. Sethon ne toucha à rien. Il fit faire du feu, ordonna de mettre le plomb et le soufre dans le creuset, de placer le couvercle et d'agiter la masse avec des baguettes. Pendant ce temps, il causait avec nous. Au bout d'un quart d'heure. il nous dit: -
« Jetez ce petit papier dans le plomb fondu, mais bien au milieu, et tâchez que rien ne tombe dans le feu!...»
Dans ce papier était une poudre assez lourde, d'une couleur qui paraissait jaune-citron ; du reste, il fallait avoir de bons yeux pour la distinguer. Quoique aussi incrédules que saint Thomas lui-même, nous fimes tout ce qui nous était commandé. Après que la masse eut été chauffée environ un quart d'heure encore, et continuellement agitée avec des baguettes de fer, l'orfèvre reçut l'ordre d'éteindre le creuset en répandant de l'eau dessus ; mais il n'y avait plus le moindre vestige de plomb; nous trouvâmes de l'or le plus pur, et qui, d'après l'opinion de l'orfèvre, surpassait même en qualité le bel or de la Hongrie et de l'Arabie. Il pesait tout autant que le plomb, dont il avait pris la place. Nous restâmes stupéfaits d'étonnement ; c'était à peine si nous osions en croire nos yeux. Mais Sethonius, se moquant de nous :
-« Maintenant, dit-il, où en êtes-vous avec vos pédanteries ? Vous voyez la vérité du fait, et elle est plus puissante que tout, même que vos sophismes. » -
Alors il fit couper un morceau de l'or, et le donna en souvenir à Zvinger. J'en gardai aussi un morceau qui pesait à peu près quatre ducats, et que je conservai en mémoire de cette journée. Quant à vous, incrédules, vous vous moquerez peut-être de ce que j'écris. Mais je vis encore, et je suis un témoin toujours prêt à dire ce que j'ai vu. Mais Zwinger vit encore, il ne se taira pas et rendra témoignage de ce que j'affirme. Sethonius et son domestique vivent encore, ce dernier en Angleterre et le premier en Allemagne, comme on le sait. Je pourrais même dire l'endroit précis où il demeure, s'il n'y avait pas trop d'indiscrétion dans les recherches auxquelles il faudrait se livrer pour savoir ce qui est arrivé à ce grand homme, à ce saint, à ce demi-dieu.»
Jacob Zwinger, dont le docteur Dienheim invoque le témoignage, était médecin et professeur à Bâle ; en dehors de ces titres, il jouissait d'une haute réputation de science, et il laissa un nom très respecté dans l'histoire de la médecine allemande.
Cet irréprochable témoin mourut de la peste en 1610. Mais, dès l'année 1606, il avait confirmé jusqu'en ses moindres détails le récit de Jean Wolfgang Dienheim,dans une lettre latine qu'Emmanuel Konig, professeur à Bâle, fit imprimer dans ses Ephémérides.
La même lettre nous apprend qu'avant de quitter Bâle, Sethon fit un second essai dans la maison de l'orfèvre André Bletz, où il changea en or plusieurs onces de plomb. Quant au morceau d'or qu'il avait donné à Zwinger, on lit dans la Bibliothèque chimique de Manget, que la famille de ce médecin la conserva et le fit voir longtemps aux étrangers et aux curieux.
L'un des traités les pus considérables des classiques de l'alchimie.
VIGENERE, Blaise de.
Traicté du feu et du sel. Excellent et rare opuscule du Sieur Blaise de Vigenère, Bourbonnois, trouvé parmy ses papiers après son décès.
Rouen, Jacques Cailloué, 1642.
Fiche complète >
3500 €
Malgré l'indication portée sur le titre, d'édition revue et corrigée, cette édition est la copie, ligne pour ligne, de l'édition de 1618.
On doit à Blaise de Vigenère la découverte de l'acide benzoïque qu'il nomme dans son traité "huile de benjoin".
Exemplaire séduisant dans une rare reliure en peau mégissée.
[VILLAIN, Etienne-Francois].
Histoire critique de Nicolas Flamel et de Pernelle sa femme.
Paris, G. Desprez, 1761.
Fiche complète >
500 €
Edition originale.
Nicolas Flamel, mort en 1418, est sans doute le plus célèbre des alchimistes, l'abbé Villain se penche sur la vérité historique de ce personnage devenu légende .
Portrait de Nicolas Flamel en frontispice et planche représentant sa maison.
WECKER, Jean Jacques.
Les Secrets et merveilles de nature.
Lyon, Jean Aymée Candy, 1652.
Fiche complète >
600 €
Jean-Jacques Wecker (1528-1585) médecin, philosophe et alchimiste allemand.
On trouve dans cet ouvrage des secrets de beauté, des conseils pour la destruction des parasites, des renseignements sur les teintures, les vernis et les dorures, le jardinage, la conservation des fruits, la fabrication de l'encre, la façon d'enlever des taches, des tours de physique amusante...et des chapitres plus ésotériques sur les démons et l'alchimie.
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