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Alchimie
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SCHULTZ, Gottfried || MICHAELIS, Johann.
Dissertatio pharmaceutico-therapeutica de Natura Tincturae Bezoardicae
[Relié à la suite : ]
Scrutinium Cinnabarinum Seu Triga Cinnabriorum, Hall. Saxon, Simon Joh. Hubner, 1680.
Hall. Saxon, Simon Joh. Hubner, 1678.
Fiche complète >
1350 €
Réunion de deux rares ouvrages de Gottfried Schultz (1643-1698) d'après les travaux de Johann Michaelis (1606-1667).
1. Édition originale.
Schulz s'intéresse à la préparation et l'usage de la teinture bezoardique de Michaelis. Cette préparation fera partie des pharmacopées jusque dans la seconde moitié du XVIIIème siècle.
2. Édition originale.
Livre consacré à la préparation et l'usage du cinabre (sulfure de mercure) dans la pharmacopée. L'auteur y aborde les différentes formes de cinabre, cinabre naturel, cinabre d'antimoine...
C'est Paracelse qui le premier popularise l'usage du cinabre en médecine avec notamment son huile d'antimoine.
A la fin on trouve un appendice consacré à l'emplâtre magnétique.
Rares ouvrages témoins d'une médecine alors fortement influencée par les travaux alchimiques.
DIGBY, Kenelm (Chevalier).
Discours fait en une célèbre assemblée [...] touchant la guérison des playes par la poudre de sympathie.
Paris, Charles Osmont, 1681.
Fiche complète >
200 €
Nouvelle édition contenant dans une seconde partie la Dissertation sur la poudre de sympathie, traduite du latin du sieur Papin.
Kenelm Digby (1603 – 1665) est un courtisan et diplomate anglais, il fut également alchimiste.
Expliquant tout par les causes occultes, la fermentation, les effluves, il pense guérir, avec la « Poudre de sympathie », préparation de vitriol pulvérisé et calciné censée agir, même à distance, sur les plaies et les blessures.
PERNETY, Antoine-Joseph.
Dictionnaire mytho-hermétique dans lequel on trouve les Allégories Fabuleuses des Poètes, les Métaphores, les énigmes et les Termes barbares des Philosophes Hermétiques expliqués.
Paris, Bauche, 1758.
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650 €
Édition originale de cette source essentielle pour la connaissance de l'histoire de l'alchimie et ses symboles.
"Jamais science n'eut plus besoin de Dictionnaire que la Philosophie hermétique" (Extrait de la préface).
LEMERY, Nicolas.
Cours de Chymie.
Paris, Chez l'autheur, 1677.
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950 €
Fort rare seconde édition augmentée.
Le cours de chymie de Lemery a été le cours de référence pendant près d'un siècle et a été rééedité maintes et maintes fois.
LEMERY (Nicolas) augmenté par BARON.
Cours de chymie contenant la manière de faire les opérations qui sont en usage dans la Médecine par une Méthode facile. Avec des raisonnemens sur chaque Opération, pour l'Instruction de ceux qui veulent s'appliquer à cette science. Nouvelle édition Revue, corrigée & augmentée.
Paris, Laurent-Charles d'Houry, 1757.
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700 €
Cet ouvrage du disciple de Glazer, fut longtemps le code des pharmaciens et des chimistes. Contient 7 planches hors texte, représentant des fourneaux, des creusets, des cornues et autres ustensilles de l'époque. A signaler le chapitre qui traite de l'Or et des alchimistes.
Le Cours de Chymie de Lemery est indispensable si l'on souhaite raisonner dans l'optique de l'époque et comprendre de nombreux tours de mains décrits dans les traités alchimiques. Il faudra attendre 1756 et l'important travail de revision entrepris par Baron pour que paraisse l'édition que Dorbon et Pierre Larousse considerent comme la meilleure.
Concernant l'édition de 1757, Dorbon s'intérroge ;"n'est-ce pas une contrefaçon"? Le texte et les planches sont identiques à l'édition de 1756, (seuls quelques détails changent, comme la vignette de titre qui est en contre épreuve, sans signature de l'artiste)
Contient aussi de nombreuses recettes de parfum et de liqueurs.
[SENDIVOGIUS, Michel].
Cosmopolite ou Nouvelle lumière chymique.
Paris, Laurent d'Houry, 1723.
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1800 €
Dernière édition augmentée.
Contient les trois traités suivants :
I - de la nature en général, où il est parlé du Mercure.
II - du Soufre
III - du vray Sel des philosophes
ainsi qu'avec une pagination séparée la Lettre philosophique d'Antoine Duval.
A la fin du premier traité se trouvent l'"Enigme philosophiques aux fils de la Vérité" et le curieux "Dialogue du Mercure, de l'Alchymiste et de la Nature".
Les trois traités du Cosmopolite font partie des oeuvres majeures du corpus alchimique.
Alexandre Sethon passa sa vie à convaincre de la réalité de l'alchimie.
Complètement désintéressé, il alla de villes en villes pour convaincre les plus incrédules en réalisant des transmutations de plomb en or.
Sa notoriété fût croissante et il fut appelé à la cours de l'électeur de Saxe, Christian II, ou il réalisa une transmutation.
L'or obtenu résista à toutes les épreuves. Alors sommé de donner son secrêt. Sethon refusa, il fut tortuté puis emprisonné en vain.
Il fut libéré par Michael Sendivogius à qui il donna sa provision de pierre philosophale et ses manuscrits. Il succomba peu de temps après à ses blessures.
Après avoir épousé sa veuve, Sendivogius publia les traités de Sethon.
Voici le témoignage d'une transmutation réalisée devant les scientifiques Jacob Zwinger et Wolfgang Deinheim (in de Miberali medicina. Argentorati. 1610, retranscrit dans Figuier, "l'Alchimie et les Alchimistes").
« En 1602, écrit le docteur Dienheim, lorsqu'au milieu de l'été je revenais de Rome en Allemagne, je me trouvai à côté d'un homme singulièrement spirituel, petit de taille, mais assez gros, d'un visage coloré, d'un tempérament sanguin, portant une barbe brune taillée à la mode de France. Il était vêtu d'un habit de satin noir et avait pour toute suite un seul domestique, quel'on pouvait distinguer entre tous par ses cheveux rouges et sa barbe de même couleur. Cet homme s'appelait Alexander Sethonius.Il était natif de Molia, dans une île de l'Océan. A Zurich, où le prêtre Tghlin lui donna une lettre pour le docteur Zvinger, nous louâmes un bateau et nous nous rendîmes par eau à Bâle. Quand nous fûmes arrivés dans cette ville, mon compagnon me dit: -
« Vous vous rappelez que, dans tout le voyage et sur le bateau. vous avez attaqué l'alchimie et les alchimistes. Vous vous souvenez aussi que je vous ai promis de vous répondre, non par des démonstrations, mais bien par une action philosophique. J'attends encore quelqu'un que je veux convaincre en même temps que vous. afin que les adversaires de l'alchimie cessent leurs doutes sur cet art.»
On fut alors chercher le personnage en question, que je connaissais seulement de vue et qui ne demeurait pas loin de notre hôtel. J'appris plus tard que c'était le docteur Jacob Zvinger, dont la famille compte tant de naturalistes célèbres. Nous nous rendîmes tous les trois chez un ouvrier des mines d'or, avec plusieurs plaques de plomb que Zvinger avait emportées de sa maison, un creuset que nous prîmes chez un orfèvre, et du soufre ordinaire que nous achetâmes en chemin. Sethon ne toucha à rien. Il fit faire du feu, ordonna de mettre le plomb et le soufre dans le creuset, de placer le couvercle et d'agiter la masse avec des baguettes. Pendant ce temps, il causait avec nous. Au bout d'un quart d'heure. il nous dit: -
« Jetez ce petit papier dans le plomb fondu, mais bien au milieu, et tâchez que rien ne tombe dans le feu!...»
Dans ce papier était une poudre assez lourde, d'une couleur qui paraissait jaune-citron ; du reste, il fallait avoir de bons yeux pour la distinguer. Quoique aussi incrédules que saint Thomas lui-même, nous fimes tout ce qui nous était commandé. Après que la masse eut été chauffée environ un quart d'heure encore, et continuellement agitée avec des baguettes de fer, l'orfèvre reçut l'ordre d'éteindre le creuset en répandant de l'eau dessus ; mais il n'y avait plus le moindre vestige de plomb; nous trouvâmes de l'or le plus pur, et qui, d'après l'opinion de l'orfèvre, surpassait même en qualité le bel or de la Hongrie et de l'Arabie. Il pesait tout autant que le plomb, dont il avait pris la place. Nous restâmes stupéfaits d'étonnement ; c'était à peine si nous osions en croire nos yeux. Mais Sethonius, se moquant de nous :
-« Maintenant, dit-il, où en êtes-vous avec vos pédanteries ? Vous voyez la vérité du fait, et elle est plus puissante que tout, même que vos sophismes. » -
Alors il fit couper un morceau de l'or, et le donna en souvenir à Zvinger. J'en gardai aussi un morceau qui pesait à peu près quatre ducats, et que je conservai en mémoire de cette journée. Quant à vous, incrédules, vous vous moquerez peut-être de ce que j'écris. Mais je vis encore, et je suis un témoin toujours prêt à dire ce que j'ai vu. Mais Zwinger vit encore, il ne se taira pas et rendra témoignage de ce que j'affirme. Sethonius et son domestique vivent encore, ce dernier en Angleterre et le premier en Allemagne, comme on le sait. Je pourrais même dire l'endroit précis où il demeure, s'il n'y avait pas trop d'indiscrétion dans les recherches auxquelles il faudrait se livrer pour savoir ce qui est arrivé à ce grand homme, à ce saint, à ce demi-dieu.»
Jacob Zwinger, dont le docteur Dienheim invoque le témoignage, était médecin et professeur à Bâle ; en dehors de ces titres, il jouissait d'une haute réputation de science, et il laissa un nom très respecté dans l'histoire de la médecine allemande.
Cet irréprochable témoin mourut de la peste en 1610. Mais, dès l'année 1606, il avait confirmé jusqu'en ses moindres détails le récit de Jean Wolfgang Dienheim,dans une lettre latine qu'Emmanuel Konig, professeur à Bâle, fit imprimer dans ses Ephémérides.
La même lettre nous apprend qu'avant de quitter Bâle, Sethon fit un second essai dans la maison de l'orfèvre André Bletz, où il changea en or plusieurs onces de plomb. Quant au morceau d'or qu'il avait donné à Zwinger, on lit dans la Bibliothèque chimique de Manget, que la famille de ce médecin la conserva et le fit voir longtemps aux étrangers et aux curieux.
L'un des traités les pus considérables des classiques de l'alchimie.
KEIL, Christoph Heinrich.
Compendiöses doch vollkommenes philosophisches hand-büchlein, das ist : philosophische grund-sätze zur universal-tinctur auf menschen und metallen, womit alle wahre philosophi so von der welt bis hieher gewesen sind, übereinstimmen, als welches der wahre grund alle philosophische bücher gründlich zu verstehen, und die höchste medicin zu machen.
Bayreuth und hof, Johann Gottlieb Vierling, 1748.
Fiche complète >
600 €
Seconde édition de cet ouvrage de Christoph Heinrich Keil, publié pour la première fois en 1736.
Beau frontispice allégorique.
La première partie de cet ouvrage est composée de 348 postulats philosophiques, suivis d'une explication des termes mythologiques en alchimie. La seconde partie est composée d'extraits de divers auteurs, dont plusieurs poèmes.
ALBINEUS, Nathan.
Bibliotheca Chemica contracta.
Genève, Joannis Ant. & Samuel de Tournes, 1653.
Fiche complète >
2500 €
Edition originale.
Compilation de textes alchimiques divisée en quatre parties en pagination séparée avec page de titre particulière pour chacune d'elles.
Parmi les traités qu'elle contient se trouvent les Chrysopoeia et Vellus aureum d'Augurelli, le Novum lumen chemicum et le De sulphure tractatus de Sendivogius, et l'Aracanum hermeticae philosophiae opus de Jean d'Espagnet.
La Table d'Emeraude (Tabula smaragdina) est incluse dans la préface.
Albineus, est le nom latinisé de Nathan d'Aubigné de la Fosse, fils du célèbre Théodore Agrippa d'Aubigné.
PERERIUS, Benedictus.
Adversus fallaces et superstitiosas Artes. Id est, de Magia, de Observasione Somniorum et de Divinatione Astrologica.
Lugduni, Officina Juntarum, 1592.
Fiche complète >
1750 €
Rare traité de sorcellerie et de magie du seizième siècle.
Première édition lyonnaise, (eo en 1591), bien complète du dernier feuillet blanc anciennement annoté.
L'ouvrage est divisé en trois parties. La première traite des différents aspects de la magie, la seconde est sur les songes et leur interprétation et le dernier sur l'astrologie.
GLAUBER, Jean Rodolphe.
1. La description des nouveaux fourneaux philosophiques, ou art distillatoire par le moyen duquel sont tirez les esprits, Huiles, Fleurs, & autres médicaments: Par une voye aisée & avec grand profit, des Vegetaux, Animaux, & Mineraux. Avec leur usage, tant dans la chymie, que dans la Medecine. Mis en lumiere en faveur des Amateurs de la Vérité par Jean Rodolphe Glauber et traduit en nostre langue par le Siuer Du Teil
2. Première [seconde, troisième] partie de l’oeuvre minérale, où est enseignée la séparation de l’Or des Pierres à feu, Sable, Argile, et autres Fossiles, par l’Esprit de Sel, ce qui ne se peut faire par autre voye. Comme aussi une Panacée, ou Médecine niverselle, antimoniale, & son usage.
3. La teinture de l'or ou le véritable or potable
4. Traitté de la Médecine universelle, ou le vray or potable.
5. La consolation des navigants. Dans laquelle est enseigné à ceux qui voyagent sur mer un moyen de se garantir de la faim & de la soif, voire mesme des maladies qui leur pourroient survenir durant un long voyage.
Paris, Thomas Jolly, 1659.
Fiche complète >
5000 €
Première traduction française des travaux alchimiques de Glauber par Du Teil.
Glauber est le Paracelse de son époque (Hoefer). Il fit de nombreuses découvertes en chimie (il découvre le sulfate de soude qu'on appelle alors le sel de Glauber et est l'un des premiers à avoir entrevu l'existence du chlore).
Tout comme Paracelse, Glauber est partisan des opérations et des théories alchimiques. Ses travaux sur les recettes de panacées et autres médicaments merveilleux lui portèrent le même préjudice qu'à Paracelse.
La description des fourneaux philosophiques est bien complète de toutes ses illustrations et des "Annotations" qui constituent la sixième partie qui manque souvent.
Dans cet ouvrage, que Ferguson considère comme l'un des livres de chimie les plus remarquables du 17ième siècle, Glauber décrit la fabrication des fourneaux et de leur utilisation pour la distillation, la préparation d'huiles, l'extraction, la séparation des métaux et la fabrication de baumes.
L' appendix est relié en tête du volume 2.
A la suite sont reliés avec page de titre et pagination séparées les trois parties de l'Oeuvre minérale, La teinture de l'or, le traitté de la Médecine universelle et la consolation des navigants.
Il est rare de trouver à la fois "La description des nouveaux fourneaux philosophiques" et le recueil des petits traités de Glauber en reliure uniforme, ceux-ci étant habituellement vendus séparément.
Rare ensemble de cinq traités d'alchimie de Glauber en français.
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