Newsletter
A propos
Nouveautés
Vendez vos livres
Panier
Contact
Le blog
Catégories
Catégories
Sciences
Astronomie
Chimie
Mathématiques
Physique
Sciences naturelles
Techniques
Histoire des sciences
Médecine
Médecine
Pharmacie
Esotérisme
Astrologie
Alchimie
Sciences occultes
Sciences sociales
Economie
Histoire
Philosophie
Droit
Théologie
Arts & Architecture
Art & Livres d'artistes
Architecture
Littérature
Varia
Manuscrits
Reliures
Incunables et XVIème
FRAIS DE PORT GRATUITS EN COLISSIMO
NOUS ACCEPTONS
Alchimie
Résultats (31 - 41) sur
41
<
1
2
Récent
Prix ↓
Prix ↑
Auteur A-Z
Auteur Z-A
Titre A-Z
Titre Z-A
Date ↑
Date ↓
[SENDIVOGIUS, Michel].
Cosmopolite ou Nouvelle lumière chymique.
Paris, Laurent d'Houry, 1723.
Fiche complète >
1800 €
Dernière édition augmentée.
Contient les trois traités suivants :
I - de la nature en général, où il est parlé du Mercure.
II - du Soufre
III - du vray Sel des philosophes
ainsi qu'avec une pagination séparée la Lettre philosophique d'Antoine Duval.
A la fin du premier traité se trouvent l'"Enigme philosophiques aux fils de la Vérité" et le curieux "Dialogue du Mercure, de l'Alchymiste et de la Nature".
Les trois traités du Cosmopolite font partie des oeuvres majeures du corpus alchimique.
Alexandre Sethon passa sa vie à convaincre de la réalité de l'alchimie.
Complètement désintéressé, il alla de villes en villes pour convaincre les plus incrédules en réalisant des transmutations de plomb en or.
Sa notoriété fût croissante et il fut appelé à la cours de l'électeur de Saxe, Christian II, ou il réalisa une transmutation.
L'or obtenu résista à toutes les épreuves. Alors sommé de donner son secrêt. Sethon refusa, il fut tortuté puis emprisonné en vain.
Il fut libéré par Michael Sendivogius à qui il donna sa provision de pierre philosophale et ses manuscrits. Il succomba peu de temps après à ses blessures.
Après avoir épousé sa veuve, Sendivogius publia les traités de Sethon.
Voici le témoignage d'une transmutation réalisée devant les scientifiques Jacob Zwinger et Wolfgang Deinheim (in de Miberali medicina. Argentorati. 1610, retranscrit dans Figuier, "l'Alchimie et les Alchimistes").
« En 1602, écrit le docteur Dienheim, lorsqu'au milieu de l'été je revenais de Rome en Allemagne, je me trouvai à côté d'un homme singulièrement spirituel, petit de taille, mais assez gros, d'un visage coloré, d'un tempérament sanguin, portant une barbe brune taillée à la mode de France. Il était vêtu d'un habit de satin noir et avait pour toute suite un seul domestique, quel'on pouvait distinguer entre tous par ses cheveux rouges et sa barbe de même couleur. Cet homme s'appelait Alexander Sethonius.Il était natif de Molia, dans une île de l'Océan. A Zurich, où le prêtre Tghlin lui donna une lettre pour le docteur Zvinger, nous louâmes un bateau et nous nous rendîmes par eau à Bâle. Quand nous fûmes arrivés dans cette ville, mon compagnon me dit: -
« Vous vous rappelez que, dans tout le voyage et sur le bateau. vous avez attaqué l'alchimie et les alchimistes. Vous vous souvenez aussi que je vous ai promis de vous répondre, non par des démonstrations, mais bien par une action philosophique. J'attends encore quelqu'un que je veux convaincre en même temps que vous. afin que les adversaires de l'alchimie cessent leurs doutes sur cet art.»
On fut alors chercher le personnage en question, que je connaissais seulement de vue et qui ne demeurait pas loin de notre hôtel. J'appris plus tard que c'était le docteur Jacob Zvinger, dont la famille compte tant de naturalistes célèbres. Nous nous rendîmes tous les trois chez un ouvrier des mines d'or, avec plusieurs plaques de plomb que Zvinger avait emportées de sa maison, un creuset que nous prîmes chez un orfèvre, et du soufre ordinaire que nous achetâmes en chemin. Sethon ne toucha à rien. Il fit faire du feu, ordonna de mettre le plomb et le soufre dans le creuset, de placer le couvercle et d'agiter la masse avec des baguettes. Pendant ce temps, il causait avec nous. Au bout d'un quart d'heure. il nous dit: -
« Jetez ce petit papier dans le plomb fondu, mais bien au milieu, et tâchez que rien ne tombe dans le feu!...»
Dans ce papier était une poudre assez lourde, d'une couleur qui paraissait jaune-citron ; du reste, il fallait avoir de bons yeux pour la distinguer. Quoique aussi incrédules que saint Thomas lui-même, nous fimes tout ce qui nous était commandé. Après que la masse eut été chauffée environ un quart d'heure encore, et continuellement agitée avec des baguettes de fer, l'orfèvre reçut l'ordre d'éteindre le creuset en répandant de l'eau dessus ; mais il n'y avait plus le moindre vestige de plomb; nous trouvâmes de l'or le plus pur, et qui, d'après l'opinion de l'orfèvre, surpassait même en qualité le bel or de la Hongrie et de l'Arabie. Il pesait tout autant que le plomb, dont il avait pris la place. Nous restâmes stupéfaits d'étonnement ; c'était à peine si nous osions en croire nos yeux. Mais Sethonius, se moquant de nous :
-« Maintenant, dit-il, où en êtes-vous avec vos pédanteries ? Vous voyez la vérité du fait, et elle est plus puissante que tout, même que vos sophismes. » -
Alors il fit couper un morceau de l'or, et le donna en souvenir à Zvinger. J'en gardai aussi un morceau qui pesait à peu près quatre ducats, et que je conservai en mémoire de cette journée. Quant à vous, incrédules, vous vous moquerez peut-être de ce que j'écris. Mais je vis encore, et je suis un témoin toujours prêt à dire ce que j'ai vu. Mais Zwinger vit encore, il ne se taira pas et rendra témoignage de ce que j'affirme. Sethonius et son domestique vivent encore, ce dernier en Angleterre et le premier en Allemagne, comme on le sait. Je pourrais même dire l'endroit précis où il demeure, s'il n'y avait pas trop d'indiscrétion dans les recherches auxquelles il faudrait se livrer pour savoir ce qui est arrivé à ce grand homme, à ce saint, à ce demi-dieu.»
Jacob Zwinger, dont le docteur Dienheim invoque le témoignage, était médecin et professeur à Bâle ; en dehors de ces titres, il jouissait d'une haute réputation de science, et il laissa un nom très respecté dans l'histoire de la médecine allemande.
Cet irréprochable témoin mourut de la peste en 1610. Mais, dès l'année 1606, il avait confirmé jusqu'en ses moindres détails le récit de Jean Wolfgang Dienheim,dans une lettre latine qu'Emmanuel Konig, professeur à Bâle, fit imprimer dans ses Ephémérides.
La même lettre nous apprend qu'avant de quitter Bâle, Sethon fit un second essai dans la maison de l'orfèvre André Bletz, où il changea en or plusieurs onces de plomb. Quant au morceau d'or qu'il avait donné à Zwinger, on lit dans la Bibliothèque chimique de Manget, que la famille de ce médecin la conserva et le fit voir longtemps aux étrangers et aux curieux.
L'un des traités les pus considérables des classiques de l'alchimie.
[REIBEHAND, Christophe].
Le Filet d'Ariadne : pour entrer avec seureté dans le labyrinthe de la philosophie hermétique.
Paris, Laurent D'Houry, 1695.
Fiche complète >
2000 €
Première édition en français.
Ouvrage d'alchimie peu commun dont les bibliographes ne s'accordent pas sur l'identité de l'auteur.
Pour certains [Dorbon, Caillet, Lenglet Dufresnoy] il s'agit de l'auteur allemand Christophe Reibehand dont le travail fut publié originellement en latin en 1636.
Pour d'autres [Brunet, Duveen, Ferguson] il s'agit de Gaston Le Doux (ou Duclos ou de Claves).
Quelques figures sur bois dans le texte illustrent le matériel d'un laboratoire alchimique.
Un des textes majeurs et parmi les plus rares de la science hermétique.
Fulcanelli cite souvent cet ouvrage dans sa conception du labyrinthe hermétique: « Toute cause efficiente entraîne le sujet et la matière vers un but quelconque ». Le mouvement indique le chemin et la distance qui séparent la matière du but. Celui-ci consiste ou dans la forme, ou dans la quantité, ou dans la qualité. La cause efficient tend donc vers différents buts...".
EYQUEM du MARTINEAU, Mathurin.
Le pilote de l'onde vive, ou le secret du flux et reflux de la mer.
Paris, Jean Dhoury, 1678.
Fiche complète >
2200 €
Édition originale rare.
"Ouvrage de philosophie occulte difficile à rencontrer et qui sous voile de l'influence céleste sur les mouvements de la mer, est un véritable traité d'alchimie et d'astrologie où sont exposés les phénomène de l'onde alchimique." (Dorbon)
"Ouvrage hermétique qui recèle dans ses profondeurs tous les arcanes du Grand Oeuvre" (Caillet)
Exemplaire faisant partie de ceux cotés et paraphés par l'auteur.
Cote 247 et signature de l'auteur sur la page de titre.
LACINIUS, Janus.
Praeciosa ac nobilissima artis chymiae collectanea de occultissimo ac praeciosissimo Philosophorum lapide.
Norimbergae, Gabriel Hayn, 1554.
Fiche complète >
2500 €
Édition originale de l'un des premiers recueils de textes alchimiques.
Il contient le "pretiosa margarita novella" de Petrus Bonus (1330) déjà publié par Alde en 1546, dans un recueil portant un titre similaire au notre mais dont le contenu est très différent.
On trouve aussi des textes d'Arnaud de Villeneuve, de Lulle, Rhasès, Albert le Grand et Michel Scot.
Le texte a été divisé en cinq chapitres correspondant à des étapes de procédés alchimiques.
GLAUBER, Johann Rudolf.
Première [seconde, troisième] partie de l’oeuvre minérale, où est enseignée la séparation de l’Or des Pierres à feu, Sable, Argile, et autres Fossiles, par l’Esprit de Sel, ce qui ne se peut faire par autre voye. Comme aussi une Panacée, ou Médecine niverselle, antimoniale, & son usage.
[Reliés à la suite :]
- La Teinture de l'or ou le véritable or potable
- Traitté de la Médecine universelle, ou le vray or potable.
- La Consolation des navigants. Dans laquelle est enseigné à ceux qui voyagent sur mer un moyen de se garantir de la faim & de la soif, voire mesme des maladies qui leur pourroient survenir durant un long voyage.
Paris, Thomas Jolly, 1659.
Fiche complète >
2500 €
Première édition en français.
Rares recueil de quatre traités d'alchimie de Glauber.
Les 3 parties de l' œuvre minérale ainsi que les trois ouvrages reliés à la suite, ont une page de titre et une pagination séparée.
Notre exemplaire contient le traité sur le "véritable or potable" panacée très utilisée pendant toute la Renaissance.
LE FEBVRE, Nicolas.
Traicté de la Chymie.
Paris, Thomas Jolly, 1660.
Fiche complète >
2500 €
Edition originale.
Nicolas Lefèvre [id est Le Febvre] était professeur de chimie au jardin des plantes. Il devint ensuite membre de l'académie Royale de Londres, ville dans laquelle il était venu à la demande du roi d'Angleterre Charles II.
Habile chimiste, les gens de l'art louent l'exactitude avec laquelle il décrit les opérations et rend compte de leurs résultats. Il indique aussi les moyens de reconnaître la fraude dans les préparations pharmaceutiques.
Grand admirateur de Paracelse, il prétendait avoir découvert, comme lui, un secret pour rendre ou maintenir toute la vigueur de la jeunesse dans un âge avancé.
Son cours de chymie obtint un grand succès, connut plusieurs éditions et fut traduit en plusieurs langues.
ALBINEUS, Nathan.
Bibliotheca Chemica contracta.
Genève, Joannis Ant. & Samuel de Tournes, 1653.
Fiche complète >
2500 €
Edition originale.
Compilation de textes alchimiques divisée en quatre parties en pagination séparée avec page de titre particulière pour chacune d'elles.
Parmi les traités qu'elle contient se trouvent les Chrysopoeia et Vellus aureum d'Augurelli, le Novum lumen chemicum et le De sulphure tractatus de Sendivogius, et l'Aracanum hermeticae philosophiae opus de Jean d'Espagnet.
La Table d'Emeraude (Tabula smaragdina) est incluse dans la préface.
Albineus, est le nom latinisé de Nathan d'Aubigné de la Fosse, fils du célèbre Théodore Agrippa d'Aubigné.
NUYSEMENT, Clovis Hesteau sieur de || [SENDIVOGIUS] || [Sethon].
Traittez de l'Harmonie, et Constitution Generalle du Vray Sel, Secret des Philosophes, & de l’Esprit universel du monde, suivant le troisième principe du Cosmopolite. Oeuvre non moins curieux que profitable, traittant de la cognoissance de la vraye médecine chimique.
- et: Poëme philosophic de la vérité de la physique minéralle, où sont réfutées les objections que peuvent faire les incrédules & ennemis de cet art. Auquel est naïfvement et véritablement dépeinte la vraye matière des philosophes.
- Suivi de: [SENDIVOGIUS] Cosmopolite, ou nouvelle lumière de la physique naturelle. Traittant de la constitution générale des éléments simples et des composés. Traduit nouvellement de latin en françois par de Bosnay.
- et: Traicté du soulphre, second principe de la nature. Faict par le mesme Autheur, qui par cy devant a mis en lumière le premier principe, intitulé le Cosmopolite. Traduit de latin en françois par F. Guiraud.
La Haye, Théodore Maire, 1639-1640.
Fiche complète >
3500 €
Rare édition réunissant quatre célèbres traités d'alchimie.
Notre exemplaire est bien complet de la page de titre générale "Oeuvre de la physique naturelle contenant les trois principes des philosophes. Th. Maire. La Haye. 1640" mentionnée par Caillet.
Les traités de Nuysement sont reliés en tête puis viennent ensuite les deux traités du cosmopolite.
VIGENERE, Blaise de.
Traicté du feu et du sel. Excellent et rare opuscule du Sieur Blaise de Vigenère, Bourbonnois, trouvé parmy ses papiers après son décès.
Rouen, Jacques Cailloué, 1642.
Fiche complète >
3500 €
Malgré l'indication portée sur le titre, d'édition revue et corrigée, cette édition est la copie, ligne pour ligne, de l'édition de 1618.
On doit à Blaise de Vigenère la découverte de l'acide benzoïque qu'il nomme dans son traité "huile de benjoin".
Exemplaire séduisant dans une rare reliure en peau mégissée.
GLAUBER, Jean Rodolphe.
1. La Description des nouveaux fourneaux philosophiques, ou art distillatoire par le moyen duquel sont tirez les esprits, Huiles, Fleurs, & autres médicaments: Par une voye aisée & avec grand profit, des Vegetaux, Animaux, & Mineraux. Avec leur usage, tant dans la chymie, que dans la Medecine. Mis en lumiere en faveur des Amateurs de la Vérité par Jean Rodolphe Glauber et traduit en nostre langue par le Siuer Du Teil
2. Première [seconde, troisième] partie de l’oeuvre minérale, où est enseignée la séparation de l’Or des Pierres à feu, Sable, Argile, et autres Fossiles, par l’Esprit de Sel, ce qui ne se peut faire par autre voye. Comme aussi une Panacée, ou Médecine niverselle, antimoniale, & son usage.
3. La Teinture de l'or ou le véritable or potable
4. Traitté de la Médecine universelle, ou le vray or potable.
5. La Consolation des navigants. Dans laquelle est enseigné à ceux qui voyagent sur mer un moyen de se garantir de la faim & de la soif, voire mesme des maladies qui leur pourroient survenir durant un long voyage.
Paris, Thomas Jolly, 1659.
Fiche complète >
5000 €
Première édition en français.
Rare exemplaire comprenant l’ensemble des travaux alchimiques de Glauber publiés en français par Du Teil.
Il est rare de trouver à la fois "La description des nouveaux fourneaux philosophiques" et le recueil des petits traités de Glauber en reliure uniforme, ceux-ci étant habituellement vendus séparément.
Glauber est le Paracelse de son époque (Hoefer). Il fit de nombreuses découvertes en chimie (il découvre le sulfate de soude qu'on appelle alors le sel de Glauber et est l'un des premiers à avoir entrevu l'existence du chlore).
Tout comme Paracelse, Glauber est partisan des opérations et des théories alchimiques. Ses travaux sur les recettes de panacées et autres médicaments merveilleux lui portèrent le même préjudice qu'à Paracelse.
La Description des fourneaux philosophiques est bien complète de toutes ses illustrations et des "Annotations" qui constituent la sixième partie qui manque souvent.
Dans cet ouvrage, que Ferguson considère comme l'un des livres de chimie les plus remarquables du XVIIe siècle, Glauber décrit la fabrication des fourneaux et de leur utilisation pour la distillation, la préparation d'huiles, l'extraction, la séparation des métaux et la fabrication de baumes.
L'appendix est relié en tête du volume 2.
À la suite sont reliés avec page de titre et pagination séparées :
- Les trois parties de l'Oeuvre minérale
- La Teinture de l'or
- Le Traitté de la Médecine universelle
- La Consolation des navigants.
Rare ensemble des cinq traités d'alchimie de Glauber en français.
PHILALETHE, Eiraeneus.
Introitus apertus ad occlusum regis palatium.
Amsterdam, Joannemm Janssonium, 1667.
Fiche complète >
7500 €
Édition originale de la plus grande rareté de l'un des monuments du corpus alchimique.
L'Introitus, ou l'entrée ouverte au palais fermé du Roi est l'un des plus importants traités d'alchimie.
Nous savons peu de chose sur Eyrénée Philalèthe (un pseudonyme qui signifie amateur de la vérité).
Certains ont cru qu'il s'agissait de Thomas Vaughan. En fait ce dernier écrivit bien des traités d'alchimie, mais sous le pseudonyme de Eugénius Philalèthe et non Eyrénée.
On cite aussi George Starkey, un apothicaire connu pour la conception du savon qui porte son nom. Ce dernier fit le récit de sa rencontre avec Philalèthe et des extraordinaires transmutations qu'il fit sous ses yeux dans un ouvrage "The oil of Sulphur. Londres 1665".
Quoiqu'il en soit l'Introitus est un monument de l'alchimie opérative.
Isaac Newton eut un exemplaire de l'édition anglaise, parue deux ans après, comme livre de chevet. Il l'avait copieusement annoté à quasiment chaque page.
Édition originale fort rare, qui manque à Duveen, Neville, Dorbon, Guaita, Verginelli, Ouvaroff.
Résultats (31 - 41) sur
41
<
1
2
Récent
Prix ↓
Prix ↑
Auteur A-Z
Auteur Z-A
Titre A-Z
Titre Z-A
Date ↑
Date ↓
A propos
Vendez vos livres
Contact
Newsletter
Blog
52 rue des Ecoles 75005 Paris
tel. 01 43 54 22 23
contact@livresanciens.com
Conditions générales de vente
TVA intracommunautaire : FR87515091171
© Librairie Eric Zink Livres Anciens