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HIPPOCRATE || [CORNARIUS, Janus].
Hippocratis Coi medicorum omnium longe principis, Opera, quae ad nos extant, omnia.
Venise, apud Vicentium Valgrisium, 1546.
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950 €
Rare édition vénitienne du seizième siècle des oeuvres d'Hippocrate dans la traduction latine donnée par le médecin humaniste Janus Cornarius (1500-1558).
L'impression est l'oeuvre de Vicenzo Valgrisi l'un des plus célèbres imprimeur de Venise au XVIème siècle, son travail typographique est d'une grande qualité.
Bel exemplaire.
CELSE (Aulus Cornelius Celsus).
De Re medica libri octo.
Lyon, Jean de Tournes, 1549.
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900 €
Edition du seizième siècle donnée par Jean de Tournes.
Exemplaire copieusement annoté.
Ce texte de Celse est le plus ancien document médical après les écrits d'Hippocrate. Il a été écrit en l'an 30 après JC.
Celse a laissé le meilleur compte rendu de la médecine romaine, il a été le premier historien médical important. (Garrison-Morton).
C'est une histoire extrêmement intéressante de la médecine et la chirurgie, y compris les symptômes et le traitement de la maladie ainsi que des descriptions de chirurgie plastique, le goitre, l'amygdalectomie, le traitement des fractures, et les procédures dentaires. ( Heirs of Hippocrate)
L'édition est suivie du poème De medicina (composé de 1115 vers hexamètres) avec préceptes empruntés à Pline et à Dioscoride sur l'art de guérir) de Quintus Serenus Sammonicus, auteur latin assassiné sous l'ordre de Caracalla en 212. À la fin, on trouve le poème de Q. Rhemnius Palaemon sur les poids et mesures.
L'intégralité de l'ouvrage a été annoté à l'époque dans les marges d'une fine écriture du XVIe siècle. Sur presque chacune des pages, des passages sont soulignés et/ou des notes ont été ajoutées en marge. Certaines notes coupées par le relieur.
HIPPOCRATE || BRECHE, Jean.
Les Aphorismes d'Hippocrates, prince des médecins.
Paris, Jacques Kerver, 1550.
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2500 €
Première édition en français des Aphorismes d'Hippocrate, en reliure d'époque
Ces aphorismes sont considérés comme l'un des textes fondateurs de la médecine occidentale. Ils contiennent des principes et des observations sur la santé, la maladie et la pratique médicale.
Chaque Aphorisme en latin est suivi de sa traduction et de son commentaire en français.
Quelques notes manuscrites en marges d'une écriture du début du XVIIème siècle.
GALIEN (Claudius Galenus).
Claudii Galeni Pergameni Introductio in pulsus ad Teuthram.
Lyon, Guillaume Rouillé, 1550.
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500 €
Réunion de quatre traités de Galien parus chez Guillaume Rouillé :
- Introduction in pulsus ad teuthram, 1550 traduit par Martino Gregorio.
- De Differentiis febrium libri duo, 1570 traduit par Laurentiano Florentino.
Pour Galien, les états fébriles (définis par un excès de chaleur dans le coeur qui se diffuse ensuite dans le reste du corps) ne sont pas rangés parmi la sémiologie d'une maladie, mais considérés comme des pathologies à part entière.
Il décrit les différentes espèces de fièvres simples (sanguine, bileuse, pituiteuse) dont il affirme qu'elles sont causées par des maladies de même nature.
- De Diebus decretoriis libri tres, 1553 traduit par Joanno Guinterio Andernaco.
- De Elementis libris duo, 1558 traduit par Victore Trincavelio.
Galien (129-210 avant JC) est considéré comme le dernier des grands médecins créateurs de l'Antiquité gréco-romaine et avec Hippocrate, un des fondateurs des grands principes de base sur lesquels repose la médecine occidentale.
MONTEUX, Jerôme de.
Conservation de santé, et prolongation de vie, livre fort utile & nécessaire non seulement aux médecins, mais aussi à toute personne qui veult avoir sa santé corporelle, sans laquelle cette vie est sans fruit.
Paris, Simon Calvarin, à l'enseigne de la Rose blanche couronnée, 1572.
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800 €
Seconde édition en français.
Médecin dauphinois, Jérôme de Monteux, seigneur de Miribel, accoucha Catherine de Médicis du futur François II et fut médecin conseiller d’Henri II.
Traité de médecine empruntant aux antiques leurs conseils pour mener une vie saine : diététique, sommeil, économie des passions. Paru en latin en 1557, on y découvre en filigrane ce que pouvait être la vie quotidienne à la cour de France au milieu du XVIème siècle.
GORDON, Bernard (de).
Bernardi Gordonii opus, lilium medicinae inscriptum de morborum propre omnium curatione septem particulis distributum.
Lyon, Guillaume Rouillé, 1574.
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1500 €
Edition donnée par Guillaume Rouillé et augmentée de trois textes qui ne figurent pas dans son édition de 1550.
Le Lilium medicinae, est l'oeuvre majeure de Bernard de Gordon, médecin montpellierain du début du XVème siècle.
Il y expose un savoir hérité des connaissances de médecine du moyen-âge.
On trouve dans le Lilium medicinae la première mention des lunettes.
PICHOTUS, Petrus.
De rheumatismo, catharrho variisque a cerebro destillationibus, & horum curatione Libellus.
Burdigalae, S. Millangium, 1577.
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900 €
Rare édition originale.
C'est dans cet ouvrage que l'on trouve pour la première fois le terme de rhumatisme.
Il n'avait alors pas le même sens qu'aujourd'hui.
La racine «rheum» fait référence aux fluides corporels plutôt qu'au «rhumatisme» tel que nous le connaissons aujourd’hui.
Dans cet ouvrage, Pierre Pichot traite en effet des sécrétions du cerveau, en fait du rhume.
MERCURIALE, Geronimo || SCHELIGA, Albert.
De venenis et morbis venenosis tractatus.
Francfort, Andreae Wecheli, 1584.
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500 €
Édition qui jouxte l'édition originale à Venise au format in quarto.
Retranscription des enseignements de Mercuriale à l'Université de Padoue sur la question des poisons, par Wojciech Szeliga (i.e. Albert Scheliga), un étudiant en médecine de Varsovie à qui Mercuriale avait demander de compiler ses cours.
Un travail pionnier sur la connaissance des poisons.
Quelques annotations manuscrites d'époque dans les marges.
FOESIO, Anutio, HIPPOCRATE.
Magni Hippocratis medicorum omnium facile principis opera omnia quae extant.
Francofurdi, Andrea Wecheli, 1595.
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1800 €
Édition originale de la traduction du grec au latin des oeuvres d'Hippocrate par Anuce Foes.
Cette traduction est resté la référence pendant 250 ans, jusqu'à son remplacement par l'édition française de Littré [1839 à 1861].
Les oeuvres d'Hippocrate sont en réalité un ensemble d'une soixantaine d'écrits, qui furent composés entre 450 et 350 avant J.-C; Ils constituent notre principale source d'information sur la médecine grècque avant l'époque d'Alexandrie.
C'est au cours du seizième siècle que les érudits ont progressivement donné naissance à un corpus hippocratique en latin qui a eu cours jusqu'à son remplacement par l'édition française de Littré [1839 à 1861].
Les éditions marquantes ayant permis cet aboutissement sont les éditions princeps en latin (1525 à Rome) puis en grec (1526, Alde), qui permirent la découverte de manuscrits jusque là pratiquement inconnus.
Vinrent ensuite les éditions baloises de 1538 et 1546 (Froben) qui menèrent à bien la correction systématique des éditions princeps.
Enfin, en 1595, le médecin de Metz Anuce Foes (1528-1595) fait imprimer notre édition bilingue grec/ latin "exacte et complète des oeuvres d'Hippocrate, oeuvres aussi avidement désirées, que vainement attendues depuis longtemps. La presse gémit enfin, dit Percy." (Dezeimeris [II, p.333]).
Exemplaire très frais de cette rare édition des Oeuvres d'Hippocrate.
FIENUS, Thomas [FEYENS].
De cauteriis libri quinque.
Louvain, Ioan. Baptistam Zangrium, 1598.
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750 €
Édition originale.
Ce traité médical de Thomas Fienus (Fyens ou Feyens) est consacré à l'utilisation des cautères en médecine. Il détaille les différentes techniques de cautérisation, leurs indications thérapeutiques et les précautions à prendre, reflétant les pratiques médicales de la fin du XVIe siècle.
Fienus était un professeur de médecine à l'université de Louvain, reconnu pour ses contributions à la médecine de son temps.
Exemplaire bien complet des deux planches représentant les instruments de cautérisation.
MERCURIALE, Girolamo.
De morbis cutaneis et omnibus corporis humani excrementis tractatus.
Venise, Iuntas, 1601.
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1000 €
Troisième édition.
Le premier ouvrage dédié aux maladies de peau, rédigé par Paul Aicardi d'après les leçons de Mercuriale.
"De decoratione liber", habituellement relié à la suite de De morbis cutaneis est absent ici.
LA BROSSE, Guy (de).
De la nature, vertu, et utilité des plantes.
Paris, Rollin Baragnes, 1628.
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700 €
Edition originale.
Guy de La Brosse fut médecin ordinaire de Louis XIII et fondateur du Jardin du Roi (ancêtre du Jardin des Plantes).
La dernière partie intitulé "Dessein d'un Jardin Royal pour la culture des plantes médicinales" présente le projet du futur Jardin des Plantes.
Si l'auteur reste célèbre pour avoir mené à bien ce projet, il est aussi connu pour avoir été un des premiers paracelsiens français. Cet ouvrage, l’un des premiers grands traités botaniques français, détaillant les vertus médicinales des plantes, leur classification et leur usage thérapeutique, est très inspiré par Bacon et Paracelse. Le livre illustre d'une façon très claire un des courants de pensée de la révolution naissante, celui du paracelsisme.
GUIBELET, Jourdain.
Examen de l'examen des esprits.
Paris, Veuve Jean de Heuqueville et Louis de Heuqueville, 1631.
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800 €
Edition originale.
Ouvrage critique de l'Examen de ingenios para las sciencias de Juan Huarte de San Juan, qui avait été, en 1575, le premier traité moderne à étudier la relation entre psychologie et physiologie.
Guibelet y propose une analyse approfondie et une réfutation de certaines thèses de Huarte, s’inscrivant ainsi dans les débats intellectuels de l'époque sur la nature de l'intelligence et des aptitudes humaines. Ce texte constitue une contribution précieuse à l’histoire des idées et à l’étude de la réception des théories psychologiques et médicales à l’aube du XVIIe siècle.
Page de titre au nom des Heuqueville avec qui Soly (qui figure sur le privilège) ont partagé l’édition.
BEVERWYCK, Jan van.
De calculo renum & vesicae liber singularis. Cum epistolis & consultationibus magnorum virorum.
Leyden, Elzevier, 1638.
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Vendu
Edition originale de ce célèbre ouvrage en urologie, l'un des premiers livres de médecine à accepter la théorie de William Harvey sur la circulation du sang.
Reliés à la suite deux rares ouvrages sur la peste:
- PAAW, Pierre. Tractatus de Peste. Leyde, Abraham Commelini, 1636
- Theodore de BEZE. De Pestis Contagio et Fuga. 1636
RARE EXEMPLAIRE AUX ARMES DE FRANÇOIS-AUGUSTE DE THOU.
"François-Auguste de Thou, fils aîné de Jacques-Auguste de Thou, président à Mortier au Parlement de Paris et de Gasparde la Chastre, sa seconde femme, né à Paris vers 1607, succéda à son père dans la charge de grand maître de la librairie du roi en 1617; conseiller au Parlement de Paris à 19 ans, puis maître des requêtes et conseiller d'Etat, il se lia avec Cinq-Mars et connut le complot formé par ce dernier, sans y prendre lui-même une part active; arrêté au camp de Perpignan le 6 juin 1642, il fut condamné à mort à Lyon et décapité le 12 septembre 1642, sur la place des Terreaux.
Il avait hérité de la bibliothèque de son père, qu'il conserva soigneusement et qui passa après sa mort à son frère cadet, Jacques-Auguste.
Il faisait frapper sur les volumes, dont il augmenta le fonds paternel, les armes simples des de Thou," (OHR).
BACHOT, Etienne.
Apologie ou défense pour la saignée contre ses calomniateurs.
Paris, Sébastien Cramoisy, 1646.
Fiche complète >
600 €
Edition originale.
Médecin-poète, Étienne Bachot (1608-1688) choisit ici la langue française pour défendre la saignée. Si l'usage de la saignée est alors, au milieu du dix-septième siècle, à son apogée; certaines critiques ont commencé à apparaitre. Fort de son appartenance à la faculté de Paris, Bachot y répond dans cet ouvrage.
WECKER, Jean Jacques.
Les Secrets et merveilles de nature.
Lyon, Jean Aymée Candy, 1652.
Fiche complète >
Vendu
Jean-Jacques Wecker (1528-1585) médecin, philosophe et alchimiste allemand.
On trouve dans cet ouvrage des secrets de beauté, des conseils pour la destruction des parasites, des renseignements sur les teintures, les vernis et les dorures, le jardinage, la conservation des fruits, la fabrication de l'encre, la façon d'enlever des taches, des tours de physique amusante...et des chapitres plus ésotériques sur les démons et l'alchimie.
MATTIOLI, Per André.
Les commentaires de M. P. André Matthiolus, médecin senois, sur les six livres de Pedacius Dioscoride Anazarbeen, de la matière médecinale.
Lyon, Claude Prost, 1655.
Fiche complète >
1200 €
Dernière édition revue et corrigée, augmentée.
Traduction du latin en français par Antoine du Pinet.
L'ouvrage commente les six livres de Dioscoride sur la matière médicinale, avec des ajouts sur les remèdes simples, les huiles, les distillations et le traitement de diverses maladies.
Notre édition est illustrée d'un portrait de l'auteur à pleine page et de très nombreux petits bois dans le texte représentant un grand nombre de plantes gravées avec soin, ainsi que quelques crustacés, poissons, coquillages, insectes, animaux, scènes de la vie des champs.
L'ouvrage se termine par un "Bref discours de la distillation des eaux" avec des figures montrant des appareils de distillation.
Mattioli, en plus de son travail pour faire correspondre les descriptions botaniques antiques avec la botanique contemporaine, décrit plus de 100 nouvelles plantes et notamment l'une des premières variétés européennes de tomate.
NALDI, Mathieu.
Aphorismorum Hippocratis explanatio.
Rome, Ignatii de Lazaris, 1657.
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350 €
Edition originale de ces commentaires d'Hippocrate par Mathieu Naldi.
Les Aphorismes d’Hippocrate ont été considérés jusqu’au XIXe siècle comme une "bible" de la médecine
Mathieu Naldi (ou matteo / ou Naldius), médecin du dix-septième siècle, natif de Sienne, se rendit célèbre par ses connaissances dans les langues orientales mises aux services ici des aphorismes grecs d'Hippocrate.
Il enseigna pendant quelque temps à Pise avec beaucoup d'éclat, et devint médecin du pape Alexandre VII. Cette haute dignité ne l'empêcha pas de faire des cours à Rome, dont il contribua beaucoup à faire fleurir l'Université. Il mourut en 1682, dans un âge fort avancé.
Exemplaire dans une reliure en parchemin teintée, inhabituelle pour l'époque, probablement de facture italienne.
[Barbiers chirurgiens].
Arrest d'audience du parlement confirmatif de l'union des chirurgiens jurez, & barbiers chirurgiens. A la charge de soubmission à la faculté de médecine. Avec défense de prendre qualité de bacheliers, licentiez, docteurs & college : faire lectures ny actes publics : porter robes, ny bonnets, prononcé le septieme febvrier 1660.
Paris, François Muguet, 1660.
Fiche complète >
750 €
Rare édition originale de l'arrest confirmant la soumission des chirurgiens à la faculté de médecine.
A Paris, depuis la fin du XVIe siècle, les chirurgiens lettrés et la faculté de médecine sont engagés dans un long conflit. Les chirurgiens voudraient faire de la chirurgie une discipline universitaire, et contrôler la formation des barbiers-chirurgiens.
Les médecins refusent, pour eux seule la médecine est universitaire, et c'est à eux de contrôler les barbiers-chirurgiens.
En 1660, le Parlement de Paris donne raison aux médecins. Une barrière juridique et institutionnelle est établie.
"Le 7 février 1660, la Cour rend son jugement. Les deux communautés des barbiers et des chirurgiens unies restent soumises à la Faculté (...). La décision est dure pour les chirurgiens : on leur retire le bonnet et la robe longue ainsi que les grades de bacheliers, licenciés, docteurs et Collège, ne leur laissant que les qualités d’aspirants en maîtrise, maîtres et communauté. Il leur est en outre interdit de donner des lectures publiques et d’enseigner." (Marie Gatti. La querelle des barbiers, chirurgiens et médecins (XIIIe-XVIIIe siècles). Sciences du Vivant.2014. p.52).
PETIT, Pierre.
De lacrymis libri tres.
Paris, Claudium Cramoisy, 1661.
Fiche complète >
600 €
Édition originale.
Pierre Petit (1617-1687) était un médecin et érudit parisien du XVIIe siècle. Dans De lacrymis libri tres, il propose une étude exhaustive sur les larmes, abordant leur nature physiologique, leurs causes et leurs significations émotionnelles et spirituelles. L'ouvrage est structuré en trois livres, chacun explorant différents aspects des larmes, depuis leur origine anatomique jusqu'à leur rôle dans les expressions de la douleur, de la joie ou de la dévotion.
Parmi les questions traitées par Petit on trouvera : pourquoi les hommes « bons » (courageux) ont tendance à pleurer, pourquoi les femmes pleurent plus que les hommes et est ce que les animaux sont également capables de pleurer.
VIGIER, Jean.
Les Aphorismes d'Hippocrate.
Paris, Jean d'Houry, 1666.
Fiche complète >
120 €
Traduction des aphorismes d'Hippocrate par Jean Vigier, médecin de Castres, mort en 1659.
Le livre s'ouvre sur le serment d'Hippocrate.
MAURICEAU, François.
Des maladies des femmes grosses et accouchées avec la bonne et véritable méthode de les bien aider en leurs accouchemens naturels etc.
Paris, Jean Henault, 1668.
Fiche complète >
5000 €
Édition originale de cet ouvrage majeur qui établit l'obstétrique comme une science à part entière.
François Mauriceau (1637-1709), premier chirurgien accoucheur de la Maternité de Paris, est considéré comme le fondateur de l'obstétrique française.
Ouvrage illustré de 30 gravures gynécologiques et obstétriques dans le texte, maintes fois réédité, il est aussi devenu un manuel pratique incontournable sur la grossesse et l'accouchement au XVIIe siècle.
Outre la synthèse des connaissances de l'époque, Mauriceau y intègre également plusieurs nouveautés importantes, telles que l'analyse détaillée du mécanisme du travail et l'introduction de la pratique de l'accouchement au lit plutôt que sur la chaise obstétricale.
[BONET, Théophile].
Observations et histoires chyrurgiques tirées des Oeuvres de quatre excellens médecins.
Genève, Pierre Chouët, 1669.
Fiche complète >
350 €
Cette édition publiée par Théophile Bonet rassemble les observations de Pierre La Forêt, Félix Plater, Balthazar Timaeus et Pierre de Marchettis.
WILLIS, Thomas.
Pathologiae cerebri et nervosi generis specimen. In quo agitur de morbis convulsivis et de scorbuto studio.
Amsterdam, Daniel Elzevir, 1670.
Fiche complète >
450 €
Rare édition hollandaise de cet important ouvrage de Thomas Willis, l'un des pionniers de la neuroanatomie et la neuropathologie. Avec ce livre il est l'un des premiers à relier troubles psychologiques et altérations des structures du cerveau.
"One of the earliest textbooks on nervous diseases " (Garrison's History of neurology).
HELMONT, Jean Baptiste van.
Les Oeuvres de Jean Baptiste Van Helmont Traittant des Principes de Médecine et Physique pour la guerison assurée des Maladies : de la traduction de M. Jean le Conte.
Lyon, Jean Antoine Huguetan, 1670.
Fiche complète >
850 €
Première édition en français, et premier tirage à la date de 1670.
Helmont est l'un des fondateurs de la biochimie.
Il fut le premier à comprendre l'importance des ferments et des gaz.
Il est d'ailleur l'inventeur du mot "gaz". (Garrison).
DE LA FONT, Charles.
Dissertationes duae medicae de veneno pestilenti, in quarum priori agitur de veneni pestilentis natura et causis [...].
Avignon, Pierre Offray, 1670.
Fiche complète >
600 €
Edition originale.
Ouvrage consacrée à la Peste dont l'auteur défend qu'elle serait due à l'action corrosive de vapeurs salines (tels l'Arsenic ou le Mercure). Il vient contredire certaines position de l'anglais Thomas Willis à ce propos.
L'Europe et plus particulièrement l'Angleterre vient alors de connaitre une épidémie de Grande Peste.
HUARTE, Jean.
L'Examen des Esprits pour les Sciences.
Amsterdam, Jean de Ravestein / Pierre Mortier [Daniel Elzevier], 1672.
Fiche complète >
400 €
Première édition de la traduction française de François Savinien d'Alquié.
Médecin espagnol, Huarte proposait ici une première tentative pour montrer le lien entre la psychologie et la physiologie.
Belle édition elzevirienne ornée d'un frontispice par Romeyn de Hooghe.
Sur notre exemplaire, un papillon vient remplacer le nom de l'éditeur par celui de Pierre Mortier avec la date de 1704.
Exemplaire d'une grande fraicheur.
GALATHEAU, Pierre de.
Dissertation sur la Digestion de l'Estomach, touchant l'humeur acide.
Paris, François Muguet, 1675.
Fiche complète >
1800 €
Edition originale de cet ouvrage fort rare de gastro-entérologie.
Il manque aux bibliographies usuelles (Osler, Heirs, Waller, Cole, Morton, Dezeimeris, ......).
Portal, dans son dictionnaire de l'anatomie (1770), mentionne une édition in-Folio de 1676 qui n'existe dans aucune bibliothèque publique. L'a-t-il réellement examiné comme il l'affirme ? Il dit de cet ouvrage qu'il est peu intéressant, Galatheau suivant le système de Willis sur la digestion.
On trouve aussi la trace de cet ouvrage dans la correspondance de Pierre Bayle :
"Il y a un médecin de Bordeaux nommé Mr Galatheau q[ue] l’on m’a dit être de la Religion, qui a fait imprimer un Traitté de la digestion des alimens où il combat l’opinion des modernes qui veulent qu’elle se fasse par une humeur acide dont les parties tranchantes fassent ce que l’eau forte produit dans les métaux."
Ni ses pairs, ni la postérité n'ont été tendres avec Pierre de Galatheau, cependant nous relevons à la page 13 de son traité qu'il fait usage d'un microscope pour observer la muqueuse de l'estomac :
"les pores de cette partie sont plus grands & plus dilatez que les autres, comme le microscope le fait voir..."
Procédé tout à fait novateur alors que les premières observations microscopiques de Leeuwenhoek sont présentées à la Royal Society qu'en 1673.
CHAILLOU, Jacques.
Recherches de l'origine et du mouvement du sang, du cœur, et de ses vaisseaux.
Paris, Jean Couterot, 1675.
Fiche complète >
800 €
Édition originale.
Jacques Chaillou, médecin d'Angers, fut l'un des premiers à introduire les découvertes d'Harvey sur la circulation du sang en France.
Jacques Chaillou entame ses études de médecine à Angers dans les années 1650, une époque où les découvertes médicales abondent : en 1628, William Harvey publie à Francfort son Exercitatio Anatomica de Motu Cordis et Sanguinis in animalibus, souvent considéré comme le premier ouvrage à décrire de façon précise la circulation du sang. C’est dans ce contexte que Jacques Chaillou, avant de passer son doctorat, part se former aux nouvelles découvertes à Paris puis à Bordeaux, où il s’agrège en 1663. Il revient quelque temps après s’installer à Angers.
Il publiera en 1664 son premier traité sur la question de la sanguinification, qui est reproduit ici en tête de notre édition, et il continuera ses travaux sur le sang qu'il expose dans ses Recherches.
GLISSON, Francis.
Tractatus de ventriculo et intestinis. Cui praemittitur alius, de partibus continentibus in genere, & in specie, de iis abdominis.
Amsterdam, Jacobum Juniorem, 1677.
Fiche complète >
300 €
Edition in-12 publié la même année que l'originale donnée à Londres.
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