Newsletter
A propos
Nouveautés
Vendez vos livres
Panier
Contact
Le blog
Catégories
Catégories
Sciences
Astronomie
Chimie
Mathématiques
Physique
Sciences naturelles
Techniques
Histoire des sciences
Médecine
Médecine
Pharmacie
Esotérisme
Astrologie
Alchimie
Sciences occultes
Sciences sociales
Economie
Histoire
Philosophie
Droit
Théologie
Arts & Architecture
Art & Livres d'artistes
Architecture
Littérature
Varia
Manuscrits
Reliures
Incunables et XVIème
FRAIS DE PORT GRATUITS EN COLISSIMO
NOUS ACCEPTONS
Pharmacie
Résultats (1 - 30) sur
59
1
2
>
Récent
Prix ↓
Prix ↑
Auteur A-Z
Auteur Z-A
Titre A-Z
Titre Z-A
Date ↑
Date ↓
MERCURIALE, Geronimo || SCHELIGA, Albert.
De venenis et morbis venenosis tractatus.
Francfort, Andreae Wecheli, 1584.
Fiche complète >
500 €
Édition qui jouxte l'édition originale à Venise au format in quarto.
Retranscription des enseignements de Mercuriale à l'Université de Padoue sur la question des poisons, par Wojciech Szeliga (i.e. Albert Scheliga), un étudiant en médecine de Varsovie à qui Mercuriale avait demander de compiler ses cours.
Un travail pionnier sur la connaissance des poisons.
Quelques annotations manuscrites d'époque dans les marges.
ABANO, Pierre (d') || PARACELSE.
Traicté des venins.
Lyon, Jean Huguetan, 1593.
Fiche complète >
Vendu
Le premier livre imprimé en France sur la toxicologie.
Première publication en français du traité 'De Venenis eorumque remediis liber' attribué à Pierre d’Abano (ou Petrus de Abano), célèbre médecin et philosophe italien du XIIIe siècle.
On y trouve des courtes descriptions des différents poisons et venins plus ou moins étranges : ciguë, mandragore, morsure d'araignée, cervelle de chat, queue de cerf... Ainsi que les moyens de les traiter à commencer par l'usage du Bézoard qui fait l'objet d'un chapitre dédié.
Lazare Boet, le traducteur y joint la première édition en français du traité de Paracelse sur les vertus et propriétés merveilleuses des vers, serpents, araignées, crapaux et cancres.
CATELAN, Laurent.
Discours et démonstration des ingrédiens de la Thériaque.
Lyon, Jacques Mallet, 1614.
Fiche complète >
900 €
Édition originale.
La thériaque était une potion universelle. C'était la panacée que l'on appliquait à toutes sortes de maladies. Elle était aussi censée posséder des vertus admirables pour la vieillesse.
On l'utilisait aussi comme contrepoison.
Les recettes différaient selon les régions, mais celle de Montpellier qui contenait 83 ingrédients, choisis et préparés avec soin, était l'une des plus réputées.
Catelan contribua à la renommée de la thériaque en réalisant des séances publiques lors desquelles il préparait et expliquait les bienfaits de ce remède.
La Thériaque comportait dans sa composition quatre groupes de poudres :
- Un premier groupe de poudre expectorantes et purgatives
- Un second groupe de fortifiants
- Un troisième groupe des aliments
- Dans le quatrième groupe entraient 17 composants dont le plus efficace était l'opium
Cet ouvrage reprend le contenu des 15 conférences sur la préparation de la thériaque de Montpellier données par Catelan (1568-1647), apothicaire de la faculté.
RENOU, Jean.
Dispensatorium medicum, contineus : Institutionum pharmaceuticarum lib. V ; de Materia medica lib. III ; Pharmacopeam itidem, sive Antidotarium varium et absolutissimum.
Paris, Apud Societatem Minimam, 1623.
Fiche complète >
450 €
Jean de Renou (1568-1620) est un médecin français qui soignât les trois rois Henri, son dispensaire pharmaceutique connu un vif succès et fut réédité de nombreuses fois dans la première moitié du xviième siècle.
RENOU, Jean de.
Les oeuvres Pharmaceutiques.
Lyon, Pierre Rigaud, 1624.
Fiche complète >
Vendu
Première édition française de toute rareté, traduite du latin par Louis de Serres.
Cet ouvrage est "considéré comme la bible de l’apothicaire" (Dominique Kassel, La Pharmacie au Grand Siècle, p. 3).
Certains sujets comme la déontologie et les conseils intéressant l'outillage y sont traités avec une précision qui n'avait jamais été atteinte.
C'est pourquoi le livre de Renou, après avoir servi d'alphabet à plusieurs générations de pharmaciens est devenu aujourd'hui une mine précieuse de renseignements pour l'histoire de la pharmacie.
Jean de Renou, médecin originaire de Coutances, s'établit à Paris. Il se spécialisa dans la Matière médicale et s'appliqua à redresser les erreurs des Anciens et des Arabes.
Le livre II est consacré à la préparation des médicaments (broyage, décoction, brûlage, dissolution, fermentation, liquéfaction, durcissement, dessiccation, distillation, etc.), le livre III aux formes médicamenteuses, le livre IV aux succédanés, altérations, etc., le livre V donne les formules des remèdes classés suivant la manière dont ils entrent dans le corps humain.
Après avoir longuement étudié la Matière médicale, Jean de Renou décrit la maison, la boutique du pharmacien et le matériel qu'il doit posséder.
Renou nous apprend qu'une boutique d'apothicaire ne doit être établie que dans une maison bien située, bien aérée, dans laquelle on réserve les caves pour le vin, la casse et les liquides et l'étage supérieur pour les herbes, celui-ci étant situé au dessus de l'appartement du maître apothicaire.
L'officine, sise de plainpied, doit être carrée et bien claire, mais non exposée directement aux rayons solaires. Ceci afin que les médicaments ne puissent en être altérés. Non exposée aux vents, cette boutique doit posséder une porte donnant sur la rue, puis une autre sortie donnant sur une cuisine ou laboratoire, dans lequel, près de la cheminée, une armoire doit être réservée pour la conservation des confectionnés.
Les drogues doivent être placées dans la pharmacie, soit dans les tiroirs ou dans des pots en grès, soit dans des flacons de verre ou d'étain et de terre, chacun de ceux-ci portant le nom de la substance qu'il doit contenir. Une enseigne doit en outre être suspendue à la porte de l'officine afin que le public soit de suite renseigné sur le commerce qui s'y pratique.
LA BROSSE, Guy (de).
De la nature, vertu, et utilité des plantes.
Paris, Rollin Baragnes, 1628.
Fiche complète >
700 €
Edition originale.
Guy de La Brosse fut médecin ordinaire de Louis XIII et fondateur du Jardin du Roi (ancêtre du Jardin des Plantes).
La dernière partie intitulé "Dessein d'un Jardin Royal pour la culture des plantes médicinales" présente le projet du futur Jardin des Plantes.
Si l'auteur reste célèbre pour avoir mené à bien ce projet, il est aussi connu pour avoir été un des premiers paracelsiens français. Cet ouvrage, l’un des premiers grands traités botaniques français, détaillant les vertus médicinales des plantes, leur classification et leur usage thérapeutique, est très inspiré par Bacon et Paracelse. Le livre illustre d'une façon très claire un des courants de pensée de la révolution naissante, celui du paracelsisme.
SEVERINO, Marco Aurelio.
Vipera Pythia id est, De Viperae Natura, Veneno, Medicina, Demonstrationes, et Experimenta nova.
Padoue, Pauli Frambotti, 1651.
Fiche complète >
800 €
Seconde édition.
Marco Auelio Severino (1580-1656) était un éminent anatomiste et chirurgien italien. En 1610, il fut nommé professeur d'anatomie et de chirurgie à Naples.
Cet ouvrage «Vipera Pythia» traite des serpents venimeux, de leur anatomie, de leur venin, ainsi que de leurs propriétés et vertus médicinales.
Il fournit de nombreuses informations sur la mythologie, les superstitions et les traditions occultes entourant les serpents.
De nombreuses gravures, la plupart à pleine page, représentent des images mythologiques ainsi que des divinités, symboles et idoles païens associés aux serpents.
MATTIOLI, Per André.
Les commentaires de M. P. André Matthiolus, médecin senois, sur les six livres de Pedacius Dioscoride Anazarbeen, de la matière médecinale.
Lyon, Claude Prost, 1655.
Fiche complète >
1200 €
Dernière édition revue et corrigée, augmentée.
Traduction du latin en français par Antoine du Pinet.
L'ouvrage commente les six livres de Dioscoride sur la matière médicinale, avec des ajouts sur les remèdes simples, les huiles, les distillations et le traitement de diverses maladies.
Notre édition est illustrée d'un portrait de l'auteur à pleine page et de très nombreux petits bois dans le texte représentant un grand nombre de plantes gravées avec soin, ainsi que quelques crustacés, poissons, coquillages, insectes, animaux, scènes de la vie des champs.
L'ouvrage se termine par un "Bref discours de la distillation des eaux" avec des figures montrant des appareils de distillation.
Mattioli, en plus de son travail pour faire correspondre les descriptions botaniques antiques avec la botanique contemporaine, décrit plus de 100 nouvelles plantes et notamment l'une des premières variétés européennes de tomate.
CHARAS, Moyse.
Histoire naturelle des animaux, des plantes, & des minéraux qui entrent dans la composition de la Thériaque d'Andromachus.
Paris, Olivier de Varennes, 1668.
Fiche complète >
1000 €
Édition originale.
Moyse Charas, « savant apothicaire », ouvrit une officine à l'enseigne « Aux vipères d'or » dans le faubourg Saint-Germain à Paris avant d'être nommé par Antoine d'Aquin en 1671 comme sous-démonstrateur de chimie au Jardin du Roy.
Charas reste surtout connu pour sa Pharmacopée royale galénique et chimique, rédigée d'après les cours qu'il avait dispensés au Jardin royal.
La pharmacopée de Charas connut trois éditions (la première en 1676) et fut traduite dans toutes les langues d'Europe, ainsi qu'en Chinois.
La thériaque, l'une des compositions les plus complexes que la pharmacie ait connues et dont l'origine remonte à plus de vingt siècles, jouissait au Moyen Âge d'une renommée universelle comme panacée que l'on appliquait à toutes sortes de maladies.
Elle était censée posséder des vertus admirables pour la vieillesse.
On l'utilisait aussi comme contrepoison.
La thériaque originelle est celle d'Andromaque, médecin de Néron.
La recette, complexe, fait appel à des substances appartenant aux trois règnes de la nature (la vipère y figurait en tête de la formule).
Au commencement de l'année 1667, Charas « dispense et achève publiquement », à Paris, en présence des magistrats, des médecins de la cour et de plusieurs membres de la Faculté de Médecine, la composition de 300 livres de thériaque.
La formule de la thériaque étant complexe et les composant coûteux, la réalisation publique était destinée à éviter les fraudes.
C'est suite à cette réalisation que Charas publie en 1668 notre ouvrage sur ce sujet.
Il y décrit précisément la composition et la réalisation de la thériaque.
Exemplaire très frais. Très bon exemplaire.
ZWELFER, Johann.
Pharmacopoeia Regia, seu dispensatoium novum locupletatum et absolutum, annexa etiam mantissa spagyrica [...]
[suivi de]
Discursus Apologeticus Joannis Zwelferi, medicinae doct. adversus Hippocratem chymicum Ottonis Tackenii [...]
[suivi de]
Animadversiones in Pharmacopoeiam Augustanam et annexam ejus mantissam, sive Pharmacopoeia Augustana Reformata [...]
[suivi de]
Appendix ad Animadversiones in Pharmacopoeiam Augustanam, ejus que annexam mantissam [...].
Nuremberg, Michaelis & Johann. Friderici, 1668 - 1668 - 1667.
Fiche complète >
Vendu
Ce recueil contient les principaux ouvrages de l'oeuvre pharmaceutique de Johann Zwelfer (1618-1668, médecin, chimiste et pharmacien allemand). Il est notamment connu pour avoir corriger des erreurs dans la formulation des remèdes publiés dans la "Pharmacopoeia Augustana", qui correspond au "Code d'Augsbourg" (compilation de nombreux remèdes très communément utilisés par les médecins allemands), et qu'il publia dans son "Animadversiones in Pharmacopoeiam Augustanam". Il a connu une grande popularité, mais il fut aussi très déprécié par ses confrères allemands, comme Luc Schroeck.
GLASER, Christophle.
Traité de la Chymie.
Lyon, Pierre & Benoit Bailly, 1670.
Fiche complète >
900 €
Troisième édition augmentée.
Christophe Glaser (1629-1672?) est un médecin et pharmacien suisse qui devint apothicaire ordinaire du roi Louis XIV. Nicolas Lemery est formé chez Glaser mais le quitte rapidement ne supportant pas son enseignement presque ésotérique.
Glaser croise la grande Histoire dans l'affaire des poisons. C'est très probablement dans son officine que la marquise de Brinvilliers s'est procuré ses fioles de poison. D'après la Brinvilliers, Glaser fut envoyé en Italie par Fouquet pour apprendre les secrets des poisons italiens.
Caillet attribue ce livre à Moyse Charas, celui-ci mentionne en effet dans la préface de sa Thériaque qu'il a publié un Traité de Chymie sous le nom de Glaser.
On retrouve dans ce livre des préparations curieuses telles l'huile de crâne humain ou la distillation de chair de vipères.
CHESNEAU, Nicolas.
La Pharmacie théorique nouvellement recueillie de divers autheurs.
Paris, F. Léonard, 1670.
Fiche complète >
250 €
Seconde édition enrichie d'un traité des remèdes chimiques.
Nicolas Chesneau (1601?-1680?) médecin, diplomé de la faculté de Toulouse exerçait à Marseille.
En préambule un sonnet écrit par R. Dares résume ainsi l'ouvrage :
"Vous qui courez partout de boutique en boutique,
Et prétendez voyant divers praticiens
Acquérir le renom de vrays pharmaciens;
Apprenez de Chesneau plutôt la théorique.
Il vous a rassemblé d'un ordre méthodique,
Tout ce que les autheurs, Hebreux, Egyptiens Grecs, Arabes, Latins, nouveaux ou anciens,
ont laissé par écrit de l'Art pharmaceutique".
DIGBY, Kenelm (Chevalier).
Discours fait en une célèbre assemblée [...] touchant la guérison des playes par la poudre de sympathie.
Paris, Charles Osmont, 1681.
Fiche complète >
200 €
Nouvelle édition contenant dans une seconde partie la Dissertation sur la poudre de sympathie, traduite du latin du sieur Papin.
Kenelm Digby (1603 – 1665) est un courtisan et diplomate anglais, il fut également alchimiste.
Expliquant tout par les causes occultes, la fermentation, les effluves, il pense guérir, avec la « Poudre de sympathie », préparation de vitriol pulvérisé et calciné censée agir, même à distance, sur les plaies et les blessures.
TENCKE, H. (Jerôme).
Formules de médecine tirées de la pharmacie galénique et chymique.
Lyon, Jean Certe, 1690.
Fiche complète >
300 €
Seconde édition en français
Cet ouvrage de Jerôme Tencke (?-1687), médecin Montpellierien, est un traité de pharmacie qui combine les approches galénique et chimique de la médecine. Il présente diverses formules et méthodes pour préparer des remèdes pharmaceutiques. Le livre s'inscrit dans une période de transition où la pharmacie traditionnelle galénique côtoie les nouvelles approches chimiques en médecine.
TAUVRY, Daniel.
Traité des médicamens, et la manière de s’en servir.
Paris, Estienne Michallet, 1695.
Fiche complète >
Vendu
Seconde édition.
Ce traité médico-pharmaceutique met en lien pharmacologie et expérience clinique. Tauvry (1669-1701), médecin et anatomiste français, y combine recettes, pathologies et posologies, reflétant l’évolution empirique de la médecine moderne.
ROUSSEAU, Abbé.
Secrets et remèdes éprouvez dont les préparations ont été faites au Louvre.
Paris, Jean Jombert, 1697.
Fiche complète >
Vendu
Edition originale.
Ouvrage publié de manière posthume par Rousseau de la Grangerouze le frère de l'abbé Rousseau qui fut moine Capucin au Louvre aux côtés de l'Abbé Tranquille.
On y trouve les recettes du Baume Tranquille (somnifère puissant à base de Jusquiame, Pavot et Morelle) et du Laudanum de Rousseau, qui firent la réputation des capucins du Louvre.
Il en livre ici le secret.
À noter l'expérience relevée par Dorbon, qui consistait à faire mourir un crapaud par le regard... expérience qui une fois faillit tourner à la défaveur de l'abbé, un crapaud au regard rougeoyant l'ayant laissé dans un état de faiblesse pendant plusieurs jours.
BATE, George.
Pharmacopoea Bateana.
Lyon, Apud Amabilem Auroy, 1704.
Fiche complète >
200 €
George Bate (1608–1668) fut médecin des rois Charles I et II d'angleterre et de la famille d'Oliver Cromwell.
Pharmacopée pratique enrichie de textes annexes (arcana, posologie, pathologies). L’édition lyonnaise offre une adaptation continentale d’un ouvrage britannique influent.
CHARAS, Moyse.
Pharmacopée Royale Galénique et Chymique.
Lyon, Anisson & Posuel, 1704.
Fiche complète >
Vendu
Nouvelle édition revue corrigée et augmentée par l'auteur.
Savant médecin et Pharmacien né à Uzès en 1618, Charas étudia la chimie à Orange, puis vint de bonne heure à Paris, où il fut nommé démonstrateur royal de chimie au jardin du roi.
La révocation de l'édit de Nantes le força à quitter la France en 1680.
Après avoir pratiqué la médecine avec succès en Angleterre, puis en Hollande, il se rendit en Espagne où il avait été appelé auprès du roi Charles II, depuis longtemps malade.
Les soins qu'il lui donna n'empêchèrent pas qu'il fut dénoncé à l'inquisition, par suite de la jalousie des médecins de la cour.
Il n'en sortit qu'après avoir abjuré.
Ses écrits restent encore marqués par les théories alchimiques.
Sa pharmacopée est le fruit de ses leçons données à Paris et de ses études. Elle connut un grand succès, fut rééditée de nombreuses fois et a été traduite dans toutes les langues de l'Europe, et même en chinois pour la commodité de l'Empereur.
On y trouve la description de nombreuses préparations, recettes de remèdes et autres panacées universelles.
Charas explique aussi dans cet ouvrage pourquoi l'eau forte fond tous les métaux, excepté l'or; et pourquoi l'eau régale, qui met l'or en fusion, ne peut pas fondre les autres métaux, par exemple l'argent.
"L'argent, dit-il, a des pores, dont l'ouverture est proportionnée à la grosseur des pointes des particules de l'eau forte, assez aiguës par un bout pour entrer, et assez larges par l'autre pour séparer les parties du métal. Mais l'or, dont les pores sont beaucoup plus étroits que ceux de l'argent, ne peut pas admettre ces particules; donc l'eau forte doit fondre l'argent et non pas l'or. Quant à l'eau régale, elle doit au contraire fondre l'or et non pas l'argent. Les parties de ce dissolvant, subtilisées par le sel d'ammoniac, passent trop librement par les pores de l'argent, et ne se trouvent que dans l'or des pores disposés à les secondés dans leurs fonctions.".
QUINTI, Joseph.
Les admirables secrets de la médecine chimique qu'il a recueillis avec beaucoup de soin & de travail : lesquels ont été plus d'une fois expérimentez par lui-même en plusieurs infirmitez, & maladies dangereuses.
A Liège et se vend à Liège, J.F. Broncart, 1711.
Fiche complète >
450 €
Première édition en français
D'après Ferguson, il s'agirait d'une traduction d'un recueil de secret de Domenico Auda.
Ouvrage divisé en quatre livres renfermant des formules de médecine hermétique, des recettes pour ôter les taches, pour reconnaître si le corail, la porcelaine et les perles sont contrefaits, pour la confection des vernis, laques, des teinture, des parfums, ...
Le dernier livre est consacré à " l'astrologie utile et nécessaire pour les médecins".
[MANUSCRIT].
Explication des plantes usuelles.
s.l., s.n., [1714].
Fiche complète >
Vendu
Cours de botanique manuscrit s'intéressant aux "plantes usuelles", plantes dont on pourra faire usage en médecine.
Véritable pharmacopée, restant à étudier, ce cours répertorie 486 plantes, avec pour chacune leur nom binomial en latin et leur usage thérapeutique. Les noms latins se réfèrent aux catalogues de Bauhin (C.B.) et Tournefort (inst. r. h.)
Les plantes semblent suivre un ordre dont la logique n'est pas explicitée dans la courte introduction :
"Le grand nombre de plantes dont j'auray l'honneur de vous entretenir pendant le peu de temps que doit durer ce cours ne me permet pas de nous arrêter ici pour une longue préface où je pourrais vous expliquer en général comment ces mêmes plantes agissent, soit qu'on les regarde comme purgatives ou simplement comme altérantes, [...] me proposant de suivre l'ordre que nous suivrons dans les démonstrations afin que dans le même temps que vous apprendrez à connaitre ces mêmes plantes, vous entriez dans la connaissance de leurs vertus."
La structure de ce cours diffère des cours de "Plantes usuelles" connus, tels qu'ils furent dictés par Chomel et Jussieu.
On retrouve, relié à la suite, un manuscrit de la même main :
"Observations sur les maladies des os expliquées et démontrées par Mr Arnaud Dans l'amphithéâtre du Jardin du Roy le 13 juin 1714". 42 pages.
Ce qui suggère que les deux cours ont été suivis au Jardin du Roi ou Jardin royal des plantes médicinales (futur Muséum d'histoire naturelle à partir de 1793), qui au début du XVIIIe siècle est un haut lieu d'enseignement de la médecine et de la chirurgie. On sait qu'à ces dates-là et Antoine Jussieu et Sébastien Vaillant y enseignent la botanique.
LEMERY, Nicolas.
Pharmacopée universelle contenant toutes les compositions de pharmacie.
Avignon, Jean Delorme, 1716.
Fiche complète >
450 €
Seconde édition revue, corrigée et augmentée.
Traité fondamental de Nicolas Lemery, célèbre pharmacien et médecin français. Cet ouvrage présente un panorama complet des préparations pharmaceutiques utilisées au début du XVIIIe siècle en Europe, accompagné d'un lexique pharmaceutique. Lemery est une figure majeure de la chimie et pharmacie moderne.
LUDWIG, Daniel || ETTMÜLLER, Michel.
Traité du bon choix des médicamens.
Lyon, Frères Bruyset, 1730.
Fiche complète >
200 €
Seconde édition en français.
Pharmacopée galénique traduit des textes des médecins allemands Ludwig (ludovicus) et Ettmuller.
Important traité pharmacologique initialement publié en latin, destiné à guider les médecins et pharmaciens dans le choix judicieux des médicaments. Conseils pratiques et précis pour choisir les remèdes les mieux adaptés à chaque affection selon leur efficacité, leurs qualités et leur toxicité potentielle.
CAPELLO, Giovanni Battista.
Lessico farmaceutico-chimico.
Venise, Tommaso Bettinelli, 1745.
Fiche complète >
150 €
"Lexicon pharmaceutico-chimique contenant les remèdes les plus utilisés de nos jours" par Giovanni Battista Capello, pharmacien italien.
Célèbre pharmacopée italienne qui sera rééditée tout au long du xviiième siècle, on y trouve notamment trois recettes de thériaque.
AILHAUD, Jean.
Traité de l’origine des maladies et de l’usage de la poudre purgative.
Avignon, Esprit-Joseph Rousset, 1748.
Fiche complète >
100 €
Troisième édition.
Jean d'Ailhaud (1675-1756), natif de Lourmarin, docteur en médecine et chirurgien, devint célèbre dans l'Europe entière pour avoir inventé une poudre médicamenteuse à laquelle il donna son nom et qui lui assura la fortune.
Son Traité est une véritable brochure publicitaire pour vanter les bienfaits de sa poudre.
Exemplaire signé comme il se doit par le fils de l'auteur, associé au commerce de la poudre Ailhaud.
QUINCY, John.
Pharmacopée universelle raisonnée.
Paris, D'Houry Père, Delespine & Laurent d'Houry, 1749.
Fiche complète >
480 €
Très rare première édition française de cette pharmacopée.
Bien complète des 3 planches hors texte.
BARBEYRAC, Charles.
Medicamentorum constitutio seu formulae Caroli Barbeirac.
Lyon, Frères De Tournes, 1751.
Fiche complète >
150 €
Edition originale.
Ouvrage apocryphe problablement rédigé d'après des notes transmises par Antoine Sidobre (16..-1749) le neveu de Charles Barbeyrac (1649-1699) et mises en ordre par des étudiants de l'école de médecine de Montpellier.
Pharmacopée peu commune.
LOECHES, Juan.
Tyrocinium pharmaceuticum, theorico practicum, galeno-chymicum.
Barcelon, Joannis Jolis, 1751.
Fiche complète >
450 €
Ouvrage peu commun d'un apothicaire de Madrid qui nous livre sa pharmacopée (texte en latin). Les livres de pharmacie espagnols sont assez rares.
Bon exemplaire.
BOISSIER DE SAUVAGES, François.
Dissertation sur les médicamens qui affectent certaines parties du corps humain plutôt que d'autres; & sur la cause de cet effet.
Bordeaux, Pierre Brun, 1752.
Fiche complète >
150 €
Rare plaquette imprimée à Bordeaux de cette Dissertation de Boissier de Sauvages (1706-1767) "qui a remporté le Prix au jugement de l'Académie Royale des Belles Lettres, Sciences & Arts de Bordeaux".
L'auteur qui fut médecin et naturaliste à la faculté de Montpellier, s'y pose les questions du mode d'action et de la diffusion des médicaments dans le corps humain. Ce que les pharmaciens aujourd'hui nommeraient pharmacodynamie et pharmacocinétique.
PASSERAT DE LA CHAPELLE, Claude François.
Recueil des drogues simples ou matière médicinale.
Paris, D'Houry, 1753.
Fiche complète >
500 €
Edition originale.
"C'est d'après un examen des principes des médicamens, de leurs qualités bienfaisantes, constatées par une suite nombreuse & réguilère d'expériences & d'observations, qu'il est permis d'en faire usage" (extrait de la préface).
Pharmacopée peu courante.
LOECHES, Juan.
Tyrocinium pharmaceuticum, theorico practicum, galeno-chymicum.
Gerone, Narcissi Oliva, 1755.
Fiche complète >
250 €
Ouvrage peu commun d'un apothicaire de Madrid qui nous livre sa pharmacopée (texte en latin). Les livres de pharmacie espagnols sont assez rares.
Résultats (1 - 30) sur
59
1
2
>
Récent
Prix ↓
Prix ↑
Auteur A-Z
Auteur Z-A
Titre A-Z
Titre Z-A
Date ↑
Date ↓
A propos
Vendez vos livres
Contact
Newsletter
Blog
52 rue des Ecoles 75005 Paris
tel. 01 43 54 22 23
contact@livresanciens.com
Conditions générales de vente
TVA intracommunautaire : FR87515091171
© Librairie Eric Zink Livres Anciens