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DUMOULIN, Nicolas.
Cours de Thérapeutique.
[Gand], s.n., [v. 1869].
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400 €
Manuscrit original.
Cours de Pharmacologie thérapeutique donné par Nicolas Dumoulin probablement durant les années 1868-1869 à l'université de Gand.
Nicolas Du Moulin (1827-1890) était un médecin belge, en 1857, il fut nommé aux cours de pharmacologie et de toxicologie à l'Université de Gand (Faculté de médecine). En 1870, il échange ses cours de pharmacologie contre des cours de médecine interne.
Le scripteur Cyrille Van Cauwenberghe, laisse sa signature en tête d'ouvrage.
L'enseignement détaille les différentes formulation de médicaments et leurs usages thérapeutique. On notera un long chapitre sur l'ergot de seigle, utilisé comme substance avortive.
DUMOULIN, Nicolas.
Cours de Pharmacologie.
[Gand], s.n., 1868-1869.
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400 €
Manuscrit original.
Cours de Pharmacologie donné par Nicolas Dumoulin durant les années 1868-1869 à l'université de Gand.
Nicolas Du Moulin (1827-1890) était un médecin belge, en 1857, il fut nommé aux cours de pharmacologie et de toxicologie à l'Université de Gand (Faculté de médecine). En 1870, il échange ses cours de pharmacologie contre des cours de médecine interne.
Le manuscrit est divisé en 11 cahiers numérotés sur papier ligné qui ont été reliés ensemble.
Le scripteur Cyrille Van Cauwenberghe, laisse sa signature en début et fin de cahiers.
L'enseignement détaille les différents types de médicaments, leurs modes d'administration avec des aspects parfois poussés de pharmacodynamie et chimie.
BRUGNATELLI, Luigi-Vincenzo.
Pharmacopée générale à l'usage des pharmaciens et des médecins modernes, ou dictionnaire des préparations pharmaceutico-médicales simples et composées les plus usités de nos jours, suivant les nouvelles théories chimiques et médicales.
Paris, D.Colas, 1811.
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200 €
Première édition française.
Dictionnaire des préparations pharmaceutico-médicales simples et composés avec les détails de leurs compositions, leurs modes de prescription, leurs vertus, et leurs usages…
L'ouvrage a exercé une forte influence sur la médecine italienne.
MATTIOLI, Per André.
Les commentaires de M. P. André Matthiolus, médecin senois, sur les six livres de Pedacius Dioscoride Anazarbeen, de la matière médecinale.
Lyon, Claude Prost, 1655.
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1200 €
Dernière édition revue et corrigée, augmentée.
Traduction du latin en français par Antoine du Pinet.
L'ouvrage commente les six livres de Dioscoride sur la matière médicinale, avec des ajouts sur les remèdes simples, les huiles, les distillations et le traitement de diverses maladies.
Notre édition est illustrée d'un portrait de l'auteur à pleine page et de très nombreux petits bois dans le texte représentant un grand nombre de plantes gravées avec soin, ainsi que quelques crustacés, poissons, coquillages, insectes, animaux, scènes de la vie des champs.
In fine, Bref discours de la distillation des eaux avec figures montrant des appareils de distillation.
Mattioli, en plus de son travail pour faire correspondre les descriptions botaniques antiques avec la botanique contemporaine, décrit plus de 100 nouvelles plantes et notamment l'une des premières variétés européennes de tomate.
LEMERY, Nicolas.
Pharmacopée universelle contenant toutes les compositions de pharmacie.
Avignon, Jean Delorme, 1716.
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450 €
Seconde édition revue, corrigée et augmentée.
Traité fondamental de Nicolas Lemery, célèbre pharmacien et médecin français. Cet ouvrage présente un panorama complet des préparations pharmaceutiques utilisées au début du XVIIIe siècle en Europe, accompagné d'un lexique pharmaceutique. Lemery est une figure majeure de la chimie et pharmacie moderne.
LUDWIG, Daniel || ETTMÜLLER, Michel.
Traité du bon choix des médicamens.
Lyon, Frères Bruyset, 1730.
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200 €
Seconde édition en français.
Pharmacopée galénique traduit des textes des médecins allemands Ludwig (ludovicus) et Ettmuller.
Important traité pharmacologique initialement publié en latin, destiné à guider les médecins et pharmaciens dans le choix judicieux des médicaments. Conseils pratiques et précis pour choisir les remèdes les mieux adaptés à chaque affection selon leur efficacité, leurs qualités et leur toxicité potentielle.
COLIN, Antoine || ORTA, Garcia (da) || ACOSTA, Cristóbal || ALPINI, Prosper || MONARDES, Nicolas.
Histoire des drogues, espiceries et de certains médicamens simples qui naissent es Indes tant orientales qu'occidentales.
Lyon, Jean Pillehotte, 1619.
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600 €
Seconde édition en français.
Ouvrage traduit depuis le latin par Antoine Colin des traités de Garcia da Orta (Gracie du Jardin) et Cristobal Acosta (Christophe De la Coste) médecins portugais et celui de Nicola Monardes (médecin sévillant). Cette seconde édition est augmentée de l'Histoire du Baulme de Prosper Alpin.
L’histoire des drogues est une pharmacopée des plantes d’Inde et des Amériques, c’est un des premiers livres de botanique exotique publiés en français vernaculaire.
Le livre répertorie les plantes, fruits, épices animales et minérales d’Inde et du Nouveau Monde ainsi que leurs qualités curatives pour la plupart inconnues des européens. L’ouvrage comporte une nomenclature en français, parfois accompagnée du nom commun dans d’autres langues, notamment celle du pays d’origine.
Ces traités sont ornés de très nombreuses gravures sur bois dessinées par Pieter van der Borcht et Charles de l’Ecluse.
ORFILA, Mathieu.
Traité des poisons tirés des règnes minéral, végétal et animal, ou toxicologie générale.
Paris, Crochard, 1818.
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200 €
Seconde édition.
Travail pionnier en toxicologie.
[PHARMACOPEE].
Codex, Pharmacopée française.
Paris, Béchet Jeune, 1839.
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60 €
Édition de 1839 du Codex medicamentarius, répertoire de médicaments publié par la faculté de médecine.
À la suite l'Appendice de 1841.
BOYER, Jean-Baptiste.
Codex medicamentarius seu pharmacopoea Parisiensis.
Francfort-sur-le-Main, Franciscum Varrentrapp, 1760.
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100 €
Première édition imprimée en Allemagne du Codex parisiensis.
Pharmacopée rédigée en 1758 sous la direction de Jean Baptiste Boyer, professeur de pharmacie de la faculté de Paris.
STORCK, Antoine.
Observations nouvelles sur l’usage de la cigüe.
Vienne / Paris, P. Fr. Didot le jeune, 1762.
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150 €
Storck fut un des premiers à promouvoir l’usage interne de la cigüe pour des traitements médicaux. Ses expériences furent déterminantes dans la réhabilitation contrôlée de ce poison dans la pharmacopée.
Il est célèbre pour avoir mené sur lui-même des expériences pour tester la limite entre doses thérapeutiques et doses toxiques et létales.
AILHAUD, Jean.
Traité de l’origine des maladies et de l’usage de la poudre purgative.
Avignon, Esprit-Joseph Rousset, 1748.
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100 €
Troisième édition.
Jean d'Ailhaud (1675-1756), natif de Lourmarin, docteur en médecine et chirurgien, devint célèbre dans l'Europe entière pour avoir inventé une poudre médicamenteuse à laquelle il donna son nom et qui lui assura la fortune.
Son Traité est une véritable brochure publicitaire pour vanter les bienfaits de sa poudre.
Exemplaire signé comme il se doit par le fils de l'auteur, associé au commerce de la poudre Ailhaud.
FORSTEN, Rudolphe.
Disquisitio medica cantharidum.
Strasbourg, Amandi König, 1776.
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200 €
Édition originale.
Cette étude détaille les propriétés médicinales et chimiques de la cantharide (mouche espagnole), connue pour ses usages aphrodisiaques et vésicants.
TAUVRY, Daniel.
Traité des médicamens, et la manière de s’en servir.
Paris, Estienne Michallet, 1695.
Fiche complète >
120 €
Seconde édition.
Ce traité médico-pharmaceutique met en lien pharmacologie et expérience clinique. Tauvry (1669-1701), médecin et anatomiste français, y combine recettes, pathologies et posologies, reflétant l’évolution empirique de la médecine moderne.
TENCKE, H. (Jerôme).
Formules de médecine tirées de la pharmacie galénique et chymique.
Lyon, Jean Certe, 1690.
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300 €
Seconde édition en français
Cet ouvrage de Jerôme Tencke (?-1687), médecin Montpellierien, est un traité de pharmacie qui combine les approches galénique et chimique de la médecine. Il présente diverses formules et méthodes pour préparer des remèdes pharmaceutiques. Le livre s'inscrit dans une période de transition où la pharmacie traditionnelle galénique côtoie les nouvelles approches chimiques en médecine.
BATE, George.
Pharmacopoea Bateana.
Lyon, Apud Amabilem Auroy, 1704.
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200 €
George Bate (1608–1668) fut médecin des rois Charles I et II d'angleterre et de la famille d'Oliver Cromwell.
Pharmacopée pratique enrichie de textes annexes (arcana, posologie, pathologies). L’édition lyonnaise offre une adaptation continentale d’un ouvrage britannique influent.
COLIN, Antoine || ORTA, Garcia (da) || ACOSTA, Cristóbal || MONARDES, Nicolas.
Histoire des drogues, espiceries et de certains médicamens simples qui naissent es Indes tant orientales qu'occidentales.
Lyon, Jean Pillehotte, 1602.
Fiche complète >
1200 €
Première édition en français.
Ouvrage traduit depuis le latin par Antoine Colin des traités de Garcia da Orta (Gracie du Jardin) et Cristobal Acosta (Christophe De la Coste) médecins portugais et celui de Nicola Monardes (médecin sévillant).
L’histoire des drogues est une pharmacopée des plantes d’Inde et des Amériques, c’est un des premiers livres de botanique exotique publiés en français vernaculaire.
Le livre répertorie les plantes, fruits, épices animales et minérales d’Inde et du Nouveau Monde ainsi que leurs qualités curatives pour la plupart inconnues des européens. L’ouvrage comporte une nomenclature en français, parfois accompagnée du nom commun dans d’autres langues, notamment celle du pays d’origine.
Ces traités sont ornés de 132 gravures sur bois dessinées par Pieter van der Borcht et Charles de l’Ecluse.
MERCURIALE, Geronimo || SCHELIGA, Albert.
De venenis et morbis venenosis tractatus.
Francfort, Andreae Wecheli, 1584.
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500 €
Édition qui jouxte l'édition originale à Venise au format in quarto.
Retranscription des enseignements de Mercuriale à l'Université de Padoue sur la question des poisons, par Wojciech Szeliga (i.e. Albert Scheliga), un étudiant en médecine de Varsovie à qui Mercuriale avait demander de compiler ses cours.
Un travail pionnier sur la connaissance des poisons.
Quelques annotations manuscrites d'époque dans les marges.
SEVERINO, Marco Aurelio.
Vipera Pythia id est, De Viperae Natura, Veneno, Medicina, Demonstrationes, et Experimenta nova.
Padoue, Pauli Frambotti, 1651.
Fiche complète >
800 €
Seconde édition.
Marco Auelio Severino (1580-1656) était un éminent anatomiste et chirurgien italien. En 1610, il fut nommé professeur d'anatomie et de chirurgie à Naples.
Cet ouvrage «Vipera Pythia» traite des serpents venimeux, de leur anatomie, de leur venin, ainsi que de leurs propriétés et vertus médicinales.
Il fournit de nombreuses informations sur la mythologie, les superstitions et les traditions occultes entourant les serpents.
De nombreuses gravures, la plupart à pleine page, représentent des images mythologiques ainsi que des divinités, symboles et idoles païens associés aux serpents.
COMTE, Jean Baptiste.
De l'Hydropisie de poitrine : et des palpitations du coeur, promptement dissipées par la digitale pourprée.
Paris, Croullebois, 1822.
Fiche complète >
80 €
Édition originale de cette étude médicale sur un traitement par la digitale, plante toxique aux propriétés tonicardiaques.
Exemplaire à toutes marges, tel que paru.
LA BROSSE, Guy (de).
De la nature, vertu, et utilité des plantes.
Paris, Rollin Baragnes, 1628.
Fiche complète >
700 €
Edition originale.
Guy de La Brosse fut médecin ordinaire de Louis XIII et fondateur du Jardin du Roi (ancêtre du Jardin des Plantes).
La dernière partie intitulé "Dessein d'un Jardin Royal pour la culture des plantes médicinales" présente le projet du futur Jardin des Plantes.
Si l'auteur reste célèbre pour avoir mené à bien ce projet, il est aussi connu pour avoir été un des premiers paracelsiens français. Cet ouvrage, l’un des premiers grands traités botaniques français, détaillant les vertus médicinales des plantes, leur classification et leur usage thérapeutique, est très inspiré par Bacon et Paracelse. Le livre illustre d'une façon très claire un des courants de pensée de la révolution naissante, celui du paracelsisme.
LEMERY, Nicolas.
Dictionnaire universel des drogues simples.
Paris, L. Ch. d'Houry, 1759.
Fiche complète >
400 €
Nouvelle édition.
Ouvrage dans lequel sont classés par ordre alphabétique les noms, origine, choix, principes et vertus thérapeutiques des végétaux, minéraux et animaux connus à l'époque.
Exemplaire bien complet des 25 planches hors texte.
SMYTTÈRE, Philippe-Joseph-Emmanuel.
Tables synoptiques de l'histoire naturelle, pharmaceutique et médicale.
Paris, Librairie médicale de Crochard, 1833.
Fiche complète >
450 €
Deuxième édition, qui reprend les tableaux synoptiques de botanique médicale publiée en 1829 dans son ouvrage "Phytologie pharmaceutique et médicale", ainsi que sa "Zoologie pharmaceutique et médicale". 1829
Philippe-Joseph-Emmanuel de Smyttère (1800-1886) était un médecin, botaniste et historien français. Son ouvrage inspiré par les classifications de Candolle propose des tableaux de classifications où les propriétés médicinales sont mises en avant.
"Je conçus le projet de démontrer, par l'application, le lien qui unit l'histoire naturelle à la thérapeutique" (extrait de la préface).
DIGBY, Kenelm (Chevalier).
Discours fait en une célèbre assemblée [...] touchant la guérison des playes par la poudre de sympathie.
Paris, Charles Osmont, 1681.
Fiche complète >
200 €
Nouvelle édition contenant dans une seconde partie la Dissertation sur la poudre de sympathie, traduite du latin du sieur Papin.
Kenelm Digby (1603 – 1665) est un courtisan et diplomate anglais, il fut également alchimiste.
Expliquant tout par les causes occultes, la fermentation, les effluves, il pense guérir, avec la « Poudre de sympathie », préparation de vitriol pulvérisé et calciné censée agir, même à distance, sur les plaies et les blessures.
ETTMULLER, Michel || SCHRÖDER, Johann.
La Pharmacopée raisonnée de Schroder, commentée par Michel Ettmuller.
Lyon, Thomas Amaulry, 1698.
Fiche complète >
450 €
Première édition en français de la pharmacopée de Johann Schröder revue par Michael Ettmüller.
Ettmüller est mort en 1683 lors de l'une de ces expériences chimiques.
Les "oeuvres du célèbre médecin allemand du XVIIème siècle sont recherchées, parce qu'il fut l'un de ceux qui prônèrent le plus les remèdes chimiques et les alchimistes contemporains le revendiquent comme l'un de leurs maîtres" (Dorbon).
L'une des meilleures pharmacopées du dix-septième siècle.
La préparation des remèdes chimiques y est traitée avec clarté et exactitude.
Caillet considère cet ouvrage comme étant le meilleur de Michel Ettmuller.
FAVROT, C.
Traité élémentaire d'histoire naturelle pharmaceutique et médicale contenant la botanique, la zoologie, la minéralogie et la matière médicale.
Paris, Labé, 1843.
Fiche complète >
120 €
Edition originale.
Ouvrage destiné spécialement aux élèves qui se préparent aux examens de pharmacie et de médecine avec 500 figures dans le texte.
BUC'HOZ, Pierre-Joseph.
Supplément aux choix des meilleurs médicamens pour les maladies les plus désespérées.
Paris, Chez L'Auteur, 1785.
Fiche complète >
80 €
Edition originale.
Suite du "Choix des meilleurs médicamens pour les maladies les plus désespérées", ouvrage paru l'année précédente.
Pierre-Joseph Buc'hoz fut Médecin botaniste, membre du Collège royal de médecine de Nancy et de nombreuses académies. À partir de 1776 et jusqu'en 1800 au moins, il s'auto-édite, distribuant lui-même à ses domiciles parisiens successifs sa prolifique production éditoriale.
ROUSSEAU, Abbé.
Secrets et remèdes éprouvez dont les préparations ont été faites au Louvre.
Paris, Jean Jombert, 1697.
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400 €
Edition originale.
Ouvrage publié de manière posthume par Rousseau de la Grangerouze le frère de l'abbé Rousseau qui fut moine capucin au Louvres aux côtés de l'Abbé Tranquille.
On y trouve les recettes du Baume Tranquille (somnifère puissant à base de Jusquiame, Pavot et Morelle) et du Laudanum de Rousseau, qui firent la réputation des capucins du Louvres.
Il en livre ici le secret.
À noter l'expérience relevée par Dorbon, qui consistait à faire mourir un crapaud par le regard... expérience qui une fois faillit tourner à la défaveur de l'abbé, un crapaud au regard rougeoyant l'ayant laissé dans un état de faiblesse pendant plusieurs jours.
[WEBER, Georges Adolph].
Exposition systématique de tous les médicamens qui on été soumis à l'expérience pour reconnaitre leur véritable action.
s.l., s.n., 1831.
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1200 €
Manuscrit proposant l'un des premiers répertoires de médicaments homéopathiques en langue française à travers une traduction de l'ouvrage de Georg Adolph Weber : "Systematische Darstellung der reinen Arzneiwirkungen aller bisher geprüften Symptome" publié en langue allemande en 1831.
L'ouvrage ne sera édité en français qu'en 1833 avec une traduction par l'homéopathe suisse Peschier sous le titre "Exposition systématique des effets pathogénétiques purs de tous les remèdes mis jusqu’à ce jour en expérience" (Genève, Cherbuliez, 1833).
Notre manuscrit reprend la même structure en deux parties que l'édition allemande, Peschier préfèrera dans sa traduction une disposition alphabétique des médicaments. Notre manuscrit précède ainsi la version publiée en français en 1833.
La reliure est typique des années 1830, nous sommes ainsi aux tout débuts du développement de l'homéopathie en Europe sous l'impulsion de l'école allemande dirigée par Hannemahn (1755-1843) dont Weber est un disciple.
C'est en Suisse et à Lyon que se développe l'homéopathie en langue française, le Comte Sébastien Des Guidi crée en 1830 la Société Homéopathique Lyonnaise et y ouvre ses consultations, on dénombre 5 ou 6 homéopathes en France en 1832 puis 25 en 1833, 52 en 1835. (Cf. Bariety, "Les débuts de l'homéopathie en France", 1969)
Témoin des débuts de l'homéopathie en France.
CHARAS, Moyse.
Pharmacopée Royale Galénique et Chymique.
Lyon, Anisson & Posuel, 1704.
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Vendu
Nouvelle édition revue corrigée et augmentée par l'auteur.
Savant médecin et Pharmacien né à Uzès en 1618, Charas étudia la chimie à Orange, puis vint de bonne heure à Paris, où il fut nommé démonstrateur royal de chimie au jardin du roi.
La révocation de l'édit de Nantes le força à quitter la France en 1680.
Après avoir pratiqué la médecine avec succès en Angleterre, puis en Hollande, il se rendit en Espagne où il avait été appelé auprès du roi Charles II, depuis longtemps malade.
Les soins qu'il lui donna n'empêchèrent pas qu'il fut dénoncé à l'inquisition, par suite de la jalousie des médecins de la cour.
Il n'en sortit qu'après avoir abjuré.
Ses écrits restent encore marqués par les théories alchimiques.
Sa pharmacopée est le fruit de ses leçons données à Paris et de ses études. Elle connut un grand succès, fut rééditée de nombreuses fois et a été traduite dans toutes les langues de l'Europe, et même en chinois pour la commodité de l'Empereur.
On y trouve la description de nombreuses préparations, recettes de remèdes et autres panacées universelles.
Charas explique aussi dans cet ouvrage pourquoi l'eau forte fond tous les métaux, excepté l'or; et pourquoi l'eau régale, qui met l'or en fusion, ne peut pas fondre les autres métaux, par exemple l'argent.
"L'argent, dit-il, a des pores, dont l'ouverture est proportionnée à la grosseur des pointes des particules de l'eau forte, assez aiguës par un bout pour entrer, et assez larges par l'autre pour séparer les parties du métal. Mais l'or, dont les pores sont beaucoup plus étroits que ceux de l'argent, ne peut pas admettre ces particules; donc l'eau forte doit fondre l'argent et non pas l'or. Quant à l'eau régale, elle doit au contraire fondre l'or et non pas l'argent. Les parties de ce dissolvant, subtilisées par le sel d'ammoniac, passent trop librement par les pores de l'argent, et ne se trouvent que dans l'or des pores disposés à les secondés dans leurs fonctions.".
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