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Auteur Z-A
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Titre Z-A
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CHEVREUL, Michel Eugène.
De la Loi du Contraste simultané des Couleurs et de l’Assortiment des Objets colorés, considéré d’après cette Loi dans ses Rapports avec la Peinture, les Tapisseries des Gobelins, les Tapisseries de Beauvais pour Meubles, les Tapis, la Mosaïque, les Vitraux colorés, l’Impression des Étoffes, l’Imprimerie, l’Enluminure, la Décoration des Édifices, l’Habillement et l’Horticulture.
Paris, Pitois-Levrault, 1839.
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9000 €
Édition originale.
L'un des livres les plus influents sur l'art au XIXe siècle.
Michel-Eugène Chevreul (1786-1889) est connu des chimistes pour ses recherches sur les corps gras (1810-1823) et l’analyse immédiate organique (1824), mais c'est en tant que théoricien de la couleur que son nom passera à la postérité.
"De la loi du contraste simultané des couleurs" a introduit une compréhension scientifique de la couleur ayant durablement influencé les peintres de son époque.
Sa « loi » décrit comment la perception d’une teinte est modifiée par les couleurs adjacentes, chaque couleur diffusant sur son voisinage sa couleur complémentaire (ainsi, un objet rouge tend à entourer d’un reflet verdâtre les surfaces proches, un objet jaune à violacer ce qui l’entoure, etc.). Elle est parfaitement illustrée dans la planche 7 de l'Atlas, où l'on voit que des points de couleurs sur fond blanc paraissent diffuser un halo de leur couleur complémentaire.
Eugène Delacroix (1798–1863), figure du romantisme, s’intéressa de près aux recherches de Chevreul. D’après le témoignage du peintre Paul Signac, Delacroix avait même cherché à rencontrer le chimiste et avait acquis des notes de ses cours afin de mieux comprendre la loi du contraste simultané. Plusieurs de ses toiles présentent des harmonies bâties sur des couples de teintes opposées. Ainsi, "L’Entrée des Croisés à Constantinople" (1840) juxtapose méthodiquement des paires complémentaires (jaune/violet, bleu/orange, rouge/vert) pour dramatiser la scène ; un usage si exemplaire que l’historien Lee Johnson y voyait une « illustration » idéale du traité de Chevreul.
Mais c'est sans doute dans le mouvement impressionniste que les théories de Chevreul ont trouvé leur plus bel accomplissement. Claude Monet (1840–1926) exploite notamment le contraste simultané pour intensifier les effets lumineux dans ses paysages. Il évite le noir et les tons terreux, leur préférant des ombres colorées : par exemple, des violets et bleus pour figurer l’ombre d’un soleil couchant, rehaussés de reflets jaune orangé en pleine lumière. Technique que l'on retrouve dès "Impression soleil levant", l'œuvre fondatrice du mouvement. On se souviendra aussi des champs de coquelicots, thème cher aux impressionnistes (VanGogh, Monet, Pissaro...) où les points rouges éclatent sur fonds verts.
Un livre qui annonce l'une des plus grandes révolutions de la peinture.
Notre exemplaire bien complet de toutes les planches en couleurs, la plupart signées de la main de Chevreul.
CHEVREUL, Michel Eugène.
Des couleurs et de leurs applications aux arts industriels à l’aide des cercles chromatiques. Avec XXVII planches gravées sur acier et imprimées en couleurs par René Digeon.
Paris, J.B. Baillière et Fils, 1864.
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5500 €
Édition originale de la plus rare des publications de Chevreul sur la couleur.
Michel-Eugène Chevreul (1786-1889) est connu des chimistes pour ses recherches sur les acides gras, la saponification et la découverte de la stéarine, mais c'est en tant que théoricien de la couleur que son nom passera à la postérité.
Chevreul fut nommé en 1824 directeur de la Manufacture des Gobelins. Devant surveiller la fabrication des colorants, il appuya le travail des teinturiers sur ses recherches sur la perception des couleurs.
C'est ainsi qu'il proposa dès 1839 une approche scientifique de la complémentarité des couleurs et développa par la suite des "cercles chromatiques".
Véritables nuanciers "Pantone", avec cent ans d'avance, les cercles chromatiques de Chevreul avaient le double intérêt de systématiser la production des teintes (chacune ayant son nom) et de retrouver facilement la notion de complémentarité des couleurs.
Ainsi les couleurs complémentaires se retrouvent sur le même diamètre du cercle chromatique, au Rouge n°2 correspond le Vert n°2.
"Je crois pouvoir affirmer qu'il est possible d'assujettir les couleurs à une nomenclature raisonnée, en les rapportant à des types classés d'après une méthode simple, accessible à l'intelligence de tous ceux qui s'occupent des couleurs" (extrait de la préface).
La standardisation de la production des couleurs devait intéresser en premier lieu l'industrie alors en plein développement, mais c'est sans doute dans le mouvement impressionniste que les théories de Chevreul ont trouvé leur plus bel accomplissement. Très tôt les peintres se sont inspirés des travaux de Chevreul dans leurs tableaux à commencer par Delacroix puis Monet. On se souviendra ainsi des champs de coquelicots chers aux impressionnistes (Van Gogh, Monet, Pissaro...) où les points rouges des fleurs éclatent sur des fonds verts complémentaires.
Les 27 spectaculaires planches ont été imprimées par René-Henri Digeon par chromochalcographie, dont le procédé et les difficultés de mise en oeuvre font l'objet d'un paragraphe dans l'ouvrage. Digeon semble avoir présenté un premier tirage de ces planches lors de l'exposition universelle de 1855 et pour lesquelles il reçut brevet de l'Impératrice.
Plusieurs des planches de notre exemplaire semblent faire partie de ce premier tirage et comportent des erreurs qui ont été corrigées dans d'autres exemplaires postérieurs que nous avons pu consulter.
CHEVREUL, Michel Eugène.
Mémoire sur la vision des couleurs matérielles en mouvement de rotation et des vitesses numériques de cercles.
Paris, Firmin-Didot, 1882 [1881].
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3000 €
Édition originale du dernier ouvrage de Chevreul sur la couleur.
Rare tiré à part avec sa propre page de titre (chez Firmin-Didot daté de 1882), d'un article présenté à l'Académie des Sciences en décembre 1880 et janvier 1881 (on ne trouve généralement que l'article extrait des Mémoires de l'institut paru en 1883).
Chevreul, qui toute sa vie s'est intéressé aux couleurs, aborde ici l'optique physiologique en essayant d'analyser comment le contraste entre les couleurs complémentaires est affecté par le mouvement.
Dans sa conclusion dans laquelle il se nomme "le doyen des étudiants de France" (il est alors âgé de 95 ans), il voit une application directe de ses travaux à la signalisation à destination des conducteurs de trains.
LAGRANGE, Joseph-Louis, comte de.
Méchanique analitique.
Paris, Veuve Desaint, 1788.
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10000 €
Edition originale de l'oeuvre capitale de Lagrange.
Ouvrage fondateur de la mécanique moderne, certainement le plus important sur le sujet après les 'Principia' de Newton.
MEAD, Richard.
De Imperio Solis ac Lunae in corpora Humana et Morbis inde oriundis.
Londres, Raphael Smith, 1704.
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1500 €
Édition originale.
Richard Mead (1673-1754), médecin et ami d’Isaac Newton, tente dans ce livre de montrer l’influence des forces gravitationnelles sur la santé humaine.
Mesmer s’inspirera fortement de ce livre pour écrire sa thèse de doctorat en 1766 (De l’influence des planètes sur le corps humain). Le terme de "gravitation animale" pris chez Mead sera plus tard changé par Mesmer en "Magnétisme animal".
PASCAL, Blaise.
Traitez de l'équilibre des liqueurs et de la pesanteur de la masse d'air.
Paris, Guillaume Desprez, 1663.
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3500 €
Edition originale.
Livre majeur de l'histoire des sciences dans lequel Pascal découvre la pression atmosphérique.
L'expérience qui fera date, menée par son beau-frère en Auvergne, consistait à comparer la hauteur d'une colonne de mercure à Clermont-Ferrand puis au sommet du Puy-de-Dôme.
La question du poids de l'air était déjà en discussion chez Descartes et Galilée, mais c'est Pascal avec cette expérience qui en apporte la preuve. Il rompt ainsi avec près de 2000 ans de physique Aristotélicienne : "La nature a horreur du vide", plus qu'une maxime populaire tenait alors lieu de seul principe physique d'hydrostatique.
"La nature n'a aucune répugnance pour le vide ; elle ne fait aucun effort pour l'éviter ; tous les effets qu'on a attribués à cette horreur procèdent de la pesanteur et pression de l'air ; elle en est la seule et véritable cause, et, manque de la connaître, on avait inventé exprès cette horreur imaginaire du vide, pour rendre raison. " (extrait du chapite II)
C'est ce qui vaudra au Pascal (Pa) d'être adopté comme unité internationale de mesure de la pression.
D'ALEMBERT, Jean Le Rond dit || CONDORCET, Nicolas de || BOSSUT, Charles.
Nouvelles expériences sur la résistance des fluides.
Paris, Claude-Antoine Jombert, 1777.
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300 €
Edition originale.
Recueil d'expériences d'hydrodynamiques réalisées dans un bassin de l'Ecole militaire par D'Alembert, Condorcet et Bossut. Turgot les avait mandatés pour chercher comment améliorer la navigation fluviale. Les résultats de ces expériences aboutirent à établir ce qui deviendra le paradoxe de D'Alembert ,qui ne sera résolu qu'avec la théorie des sillages.
En effet d'après les équations hydrodynamiques de l'époque, "un corps devrait pouvoir progresser dans un fluide sans éprouver aucune résistance ou, ce qui revient au même, qu’une pile de pont plongée dans le cours d’un fleuve ne devait subir de sa part aucune poussé", ce que les expériences réalisées démentaient.
Au delà du traité d'hydrodynamique, ce livre témoigne d'une science en marche qui se nourrit des allers retours entre la théorie et l'expérience.
NEWTON, Isaac.
Traité d'optique sur les réflexions, réfractions, inflexions et les couleurs de la lumière.
Paris, Montalant, 1722.
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Vendu
Seconde édition en française de cet important ouvrage dans lequel Newton expose sa théorie de la lumière, l'étude de la réfraction et de la diffraction de la lumière. Il observe en particulier que celle-ci est constituée d'une multitude de couleurs.
Cette édition est plus recherchée que la première car la traduction faite par Pierre Varignon a été revue et supervisée par Newton.
Ex libris manuscrit à la fin "ex libris Musei C.Dupré. 1 vol in 4° acheté le 2 avril 1779"
Une ancienne note manuscrite précise : "acheté le 2 mai 1863 à la vente de la bibliothèque ... rétablit à leur place les planches qui avaient été mal intercalées par le relieur".
HAUKSBEE, Francis.
Experiences physico-mechaniques sur différens sujets, et principalement sur la lumiere et l'electricité, produites par le frottement des corps.
Paris, Veuve Cavelier, 1754.
Fiche complète >
600 €
Première édition en français.
Aux armes des ducs de La Rochefoulcauld frappées au dos.
Traduction par Brémont et préfacée par Desmarets des expériences de Francis Hauksbee (1660-1713) physicien anglais qui travailla notamment sur l'électricité statique.
Il est l'un des pionniers de l'électroluminescence et la majorité de l'ouvrage est consacrée à ses expériences de production de lumière par le frottement de diverses matières (dont divers phosphores) sur sa machine de production d'électricité statique.
BELOT, Emile.
Essai de cosmogonie tourbillonnaire.
Paris, Gauthier-Villars, 1911.
Fiche complète >
120 €
Edition originale.
Émile Belot (1857- 1944), normalien, agrégé de philosophie, ingénieur en chef des manufactures de l'État. Féru d'astronomie, il est membre de la Société astronomique de France à partir de 1904.
Dans cet ouvrage Belot propose une théorie de formation du système solaire dans laquelle il émet l'hypothèse d'un proto-soleil nébuleux entrant en contact violent avec une nébuleuse plus vaste et explique qu'une telle rencontre est à l'origine des systèmes planétaires et de leur organisation selon une spirale logarithmique sur le schéma de laquelle se répartissent les planètes de ce système par absorption tourbillonnaire et concrétion des poussières de la nébuleuse bousculée.
DARLES DE LINIERE, ?.
Pompes sans cuirs.
Paris, Manufacture royale, 1768.
Fiche complète >
400 €
Edition originale.
Darles de linière présente ses modèles de pompes dans lesquelles les vessies et clapets de cuir étaient remplacés par des pistons de cuivre. Les planches montrent les modèles de pompes de navire marchand, pompe à incendie sur roues (ancêtre du camion de pompier), les pompes pour élever l'eau des puits.
VARIGNON, Pierre.
Projet d’une nouvelle mechanique: avec un Examen de l'opinion de M. Borelli.
Paris, Veuve d’Edme Martin, Jean Boudot & Estienne Martin, 1687.
Fiche complète >
450 €
Edition originale.
Pierre Varignon fut un des géomètres français les plus célèbres de son temps, dans son "Projet" il propose d'utiliser le calcul différentiel de Leibniz pour étudier les forces mécaniques. Il préfigure ainsi la mécanique analytique bien avant Lagrange et D'Alembert.
[LAMY, Dom Francois].
Conjectures physiques sur deux colonnes de nüe qui ont paru depuis quelques années & sur les extraordinaires effets du tonnerre.
Paris, Veuve de Sébastien Mabre-Cramoisy, 1689.
Fiche complète >
950 €
Edition originale.
Illustré d'une planche dépliante et de quatre figures dans le texte, dont deux à pleine page.
Le Père Lamy étudie ici deux "coups de foudre" qui avaient marqué les esprits, le premier le 26 avril 1676 à Soissons avait laissé une frise étonnante (qui est reproduite sur la planche dépliante) dans le dortoir d'une Abbaye. Le second à Lagny le 18 juillet 1689, où la foudre avait touché l'autel de l'Eglise Saint-Sauveur et imprimé sur sa nappe le "canon de la messe".
Camille Flammarion consacre tout un chapitre dans son livre "Les Caprices de la foudre" aux observations de Lamy, et nous dit : "Un religieux, le R. P. Lamy, de la Congrégation de Saint-Maur, a publié en 1696 [NDLR : 2nd ed.] un excellent opuscule, dicté par le bon sens le plus clair, sur de curieux effets de la foudre, qui étaient alors le sujet des commentaires les plus superstitieux. Voltaire n'eût pas mieux raisonné. ".
LA HIRE, Philippe (De).
Traité de Mécanique, où l'on explique Tout ce qui est nécessaire dans la pratique des Arts, & les propriétés des corps pesants lesquelles ont un plus grand usage dans la Physique.
Paris, Jean Anisson, 1695.
Fiche complète >
550 €
Edition originale.
Nombreuses figures gravées sur bois dans le texte.
Cet ouvrage marque une étape importante vers l'élaboration d'un manuel moderne de mécanique pratique, adapté aux ingénieurs.
DESCARTES, René.
Les Principes de la philosophie de René Descartes.
Paris, Nicolas Le Gras, 1681.
Fiche complète >
Vendu
Quatrième édition.
"Les principes de la philosophie" de René Descartes est une œuvre fondamentale de la philosophie occidentale. Dans ce traité, Descartes expose sa vision du monde, basée sur des principes métaphysiques et physiques. Il y développe sa méthode du doute, son célèbre "cogito, ergo sum" (je pense, donc je suis), et ses conceptions sur la nature de l'âme et du corps.
VARIGNON, Pierre || PUJOL (Abbé).
Traité du mouvement et de la mesure des eaux coulantes et jaillissantes.
Paris, Pissot, 1725.
Fiche complète >
200 €
Edition originale.
L'ouvrage est basé sur les manuscrits posthumes de Pierre Varignon, édités par l'Abbé Pujol.
Varignon y aborde notamment le problème de l'écoulement de Torricelli.
SIGAUD DE LA FOND, Joseph-Aignan.
Élémens de Physique théorique et expérimentale, pour servir de suite à la description & l'usage d'un cabinet de physique expérimentale.
Paris, P. Fr. Gueffier, 1777.
Fiche complète >
650 €
Edition originale
Sigaud de La Fond (1730-1810) fût un physicien et enseignant français qui a été, avec son maître l'abbé Nollet, l'un des promoteurs de la Physique expérimentale et de son enseignement, notamment en créant les premiers "cabinets de physique".
Très bon exemplaire.
PAULIAN, Aimé-Henri.
Dictionnaire des nouvelles découvertes faites en physique, pour servir de supplément aux différentes éditions du Dictionnaire de physique.
Paris, J.J. Niel, 1787.
Fiche complète >
150 €
Aimé-Henri Paulian, enseigna la physique à Aix et à Avignon.
Edition originale de cet ouvrage dans lequel Paulian présente les dernières découvertes faite en physique depuis la parution de son dictionnaire de physique.
En particulier sur l'électricité, la navigation aérienne, le magnétisme animal.
DESCARTES, René.
Discours de la méthode pour bien conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences.
Plus la Dioptrique et les Météores qui sont des essais de cette méthode.
Paris, Michel Bobin & Nicolas Le Gras, 1668.
Fiche complète >
Vendu
Troisième édition de ce texte fondamental pour l'histoire de la pensée, de la philosophie et de la science moderne.
Cette œuvre majeure, composée en français afin d'être intelligible au plus grand nombre, marque une étape considérable dans la progression de la pensée occidentale au XVIIe siècle. Par sa foi en l'unité de la science, en son ordre logique et en son pouvoir, elle annonce l'âge des Lumières et son bréviaire, l'Encyclopédie.
Descartes développe l'idée de ne se baser que sur ce qui peut être démontrer.
Descartes illustre sa méthode dans sa "dioptrique" dans lequelle on trouve les lois de Snell-Descartes sur le comportement de la lumière à l'interface de deux milieux et dans les "Météores" qui est considéré comme la première étude scientifique sur la météorologie.
Cette troisième édition précède de seulement 15 jours celle donnée le 04 mai 1668 par Angot. En effet Le Gras et Angot se disputèrent le droit de publier le discours de la méthode avant de trouver un accord. (cf. Van Ottengen).
CURIE, Pierre || CURIE, Marie.
Oeuvres de Pierre Curie. Publiées par les Soins de la Societe Francaise de Physique.
Paris, Gauthier-Villars, 1908.
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Vendu
Edition originale.
Première édition des oeuvres de Pierre Curie. Sa femme Marie Curie signe ici la préface et est co-auteur de quelques articles.
EIFFEL, Gustave.
La Résistance de l'air et l'aviation.
Paris, Imprimerie de la Cour d'Appel, 1911.
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70 €
Rare tiré à part d'un article de Gustave Eiffel écrit pour l'Hommage à Louis Olivier.
Ce livre chorale fut écrit à l'occasion de la mort de Louis Frédéric Olivier (1854-1910), scientifique passionné par les progrès techniques, scientifiques et culturels.
Belle impression à pleine marge sur papier vergé.
LECORNU, Léon.
Note sur le laboratoire aérodynamique Eiffel à Auteuil.
s.l., Comptes rendus de l'Académie des Sciences, 1914.
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Vendu
Tiré à part des Comptes rendus de l'Académie des Sciences.
Courte présentation à l'Académie des Sciences du laboratoire Eiffel d'Auteuil, le 3 aout 1914.
Créé sur le Champ de Mars au pied de sa tour, le laboratoire d'aérodynamique de Gustave Eiffel fut déplacé à Auteuil en 1912. Il est toujours en activité aujourd'hui, exploitée par la société Aérodynamique Eiffel.
Ce laboratoire d'aérodynamie servit notamment à tester les caractéristiques des biplans militaires Farman qui furent utilisés durant la première guerre mondiale.
BOUGEANT, Guillaume Hyacinthe || GROZELIER, Nicolas.
Observations curieuses sur toutes les parties de la physique.
Paris, Bordelet Jombert, 1730-1737.
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250 €
Seconde édition.
Compilation de faits scientifique qui est principalement extraite des Philosophical Transactions of the Royal Society.
Cette édition de 1730 (1737 pour le volume II) est donné par Nicolas Grozelier.
Un quatrième volume fut publié 41 ans après le troisième volume en 1771.
Quelques notes manuscrites du XVIIIe siècle dans les marges ou sur des papillons volants.
PARDIES, Ignace Gaston.
Discours du mouvement local. Avec des remarques sur le Mouvement de la Lumière.
Paris, P. Fr. Gueffier, 1674.
Fiche complète >
900 €
Seconde édition.
Pardies a été au coeur des débats concernant la nature de la lumière, correspondant avec Newton, Leibniz, Huygens. Avant Huygens, il a été le premier à proposer une théorie détaillée et argumentée basée sur la nature ondulatoire de la lumière.
Pardies envoie ainsi en 1670 une ébauche de son « discours sur le mouvement d’ondulation » à Huygens. Ce traité est pour le savant hollandais, qui le reconnait, une source importante d’inspiration dans sa conception de la lumière, qu’il publie bien plus tard, en 1690.
Pardies décède le 21 avril 1673, à 36 ans, des suites d’une fièvre contractée en visitant les malades à l’hospice de Bicêtre.
On ne connaît ses travaux sur l’optique que de manière indirecte, par les commentaires de ses confrères, mais surtout par la publication en 1682 par le père jésuite Pierre Ango de l’ouvrage « L’optique » inspiré des papiers de Pardies qu'il avait eu entre les mains.
Cette seconde édition de son ' Discours du mouvement local' est intéressante car augmentée (par rapport à la première de 1670) des "Remarques sur une lettre de M. Descartes touchant la lumière" dans laquelle, p.174 il émet l'hypothèse qu'un son se formerait dans le soleil et que l'onde ainsi crée se transporterait jusqu'à la terre.
[MANUSCRIT].
1- Tractatus de Motu
2- Tractatus de maechanica
3- Appendix quaestionum de motu.
s.l., s.n., 1775.
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Vendu
Cours de physique en latin, manuscrit daté de 1775.
Le cours est divisé en trois parties : le mouvement des corps, la mécanique générale et un appendice proposant des exercices corrigés.
Les sept planches gravées sont d'après "C.H. Becker ex Lov".
ROHAULT, Jacques.
Traité de Physique.
Paris, Veuve Charles Savreux, 1671.
Fiche complète >
600 €
Edition originale.
Jacques Rohault fut un grand vulgarisateur de la physique cartésienne, il organisait séances publiques hebdomadaires, les « mercredis de Rohault » dans lesquelles des expériences spectaculaires servaient de support à l'explication des théories physiques.
Son Traité de Physique suit le même principe, l'expérimentation y est centrale et les faits y précèdent les explications.
BECQUEREL, Henri.
Manuscrit autographe : Reflexions sur une théorie moderne.
s.l., s.n., [1907].
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4000 €
Manuscrit original de la main d'Henri Becquerel.
Manuscrit particulièrement intéressant dans lequel le découvreur de la radioactivité s'interroge à la fin de sa vie sur la nature même de la matière.
Cette épreuve avec corrections destinées à l'impression sera publiée à l'Institut de France après une lecture lors de la séance du 25 octobre 1907.
C'est l'un des derniers ouvrages d'Henri Becquerel qui décèdera en aout 1908, il y questionne l'histoire de la théorie de la matière qui s'est vue bouleversée par les dernières découvertes : électron (Thomson, 1897), radioactivité (Becquerel, 1896), désintégration des éléments (Rutherford, 1902).
L'atome de Démocrite par définition stable et insécable semble ainsi compromis, Becquerel nous dit :
"On devrait en conclure qu'au lieu de supposer les atomes éternellement stables, ceux-ci peuvent subir des modifications, mais la lenteur de la transmutation, ou la rareté des conditions favorables, nous donnerait l'illusion de la stabilité".
On remarque quelques corrections qui ont été intégrées à la version finalement imprimée (que l'on joint au manuscrit. 15 pages, broché (couverture détachée)).
REYNIER, Jean-Louis-Antoine.
Du Feu et de quelques-uns de ses principaux effets.
Lausanne, Mourer, 1787.
Fiche complète >
600 €
Edition originale.
Reynier fait du "feu" dans cet ouvrage un constituant essentiel de la matière qui assure la cohésion de celle-ci.
Sa théorie annonce à la suite de Lavoisier le remplacement de la théorie du phlogistique par la théorie du calorique.
Notre regard moderne trouverait qu'en remplaçant "feu" par "énergie", Reynier fait preuve ici de nombreuses intuitions intéressantes.
A ce titre il est souvent cité par Bachelard dans sa "Psychanalyse du feu".
POLINIERE, Pierre.
Expériences de Physique.
Paris, Jean de Laulne, 1709.
Fiche complète >
950 €
Edition originale.
Pierre Polinière est considéré comme le fondateur de la physique expérimentale en France.
Après avoir étudié les mathématiques avec Pierre Varignon (1654 – 1722), Polinière ouvre un cours de physique au collège d’Harcourt, c'est l’un des premiers cours publics donnés à Paris. Ses séances de démonstrations publiques connurent un grand succès et firent beaucoup pour la diffusion de la méthode scientifique de recherche expérimentale. Ses expériences sont très populaires et, parmi les spectateurs, on trouve le tout Paris, et même le jeune Louis XV en 1722.
En 1706, lors d'une expérience devant l'Académie des Sciences, Polinière découvre l'électroluminescence. Cette découverte est contemporaine mais indépendante de celle d'Hauksbee à Londres.
Le protocole de l'expérience est ici décrit dans le chapitre "Phosphore par le Mouvement".
JAMIN, Jules Celestin.
Cours de physique de l'école polytechnique.
Paris, Gauthiers-Villars, 1885-1891.
Fiche complète >
200 €
Quatrième édition.
Cours de physique de l'école polytechnique divisé en 12 fascicules et 2 suppléments (le troisième supplément est ici absent).
- Tables générales
- Instruments de mesure / hydrostatique
- Physique moléculaire
- Thermométrie / Dilatations
- Calorimétrie
- Thermodynamique
- Acoustique
- Optique Géométrique
- Optique Physique / Radiations
- Electricité statique et dynamique
- Aimants
- Météorologie électrique.
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