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LEMERY, Nicolas.
Cours de Chymie.
Lyon, Claude Rey, 1703.
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250 €
Cet ouvrage du disciple de Glazer, fut longtemps le code des pharmaciens et des chimistes. Contient 8 planches hors texte, représentant des fourneaux, des creusets, des cornues et autres ustensilles de l'époque. A signaler le chapitre qui traite de l'Or et des alchimistes.
Le Cours de Chymie de Lemery est indispensable si l'on souhaite raisonner dans l'optique de l'époque et comprendre de nombreux tours de mains décrits dans les traités alchimiques.
Contient aussi de nombreuses recettes de parfum et de liqueurs.
MACQUER, Pierre Joseph.
Elemens de Chymie-pratique, contenant la description des opérations fondamentales de la Chymie.
Paris, Jean Thomas Herissant, 1751.
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350 €
Edition originale.
Ouvrages qui viennent compléter les Elémens de chymie théorique parus deux années auparavant. Macquer fut la référence en chimie pour la seconde moitié du XVIIIème siècle avant l'arrivée de Lavoisier.
LAVOISIER, Antoine-Laurent.
Traité élémentaire de Chimie, présenté dans un ordre nouveau et d'après les découvertes modernes.
Paris, Cuchet, 1793.
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700 €
Seconde édition (en fait le cinquième tirage), et le seconde par de Boiste.
Celle -ci avec les 13 planches dépliantes dessinées par Madame Paulze Lavoisier et certainement autorisée par Cuchet
Lavoisier est considéré comme le père de la chimie moderne. Le "Traité élémentaire de chimie" est considéré comme le premier manuel chimique moderne, et présente une vue unifiée des nouvelles théories de chimie, fournit un rapport clair de la loi de la conservation de la masse, et nie l'existence du phlogiston. Il marque le passage de l'alchimie à la chimie moderne. Ouvrage majeur pour l'histoire des sciences.
FOURCROY, Antoine-François de.
Notice sur la vie et les travaux de Lavoisier.
Paris, Impr. de la Feuille du cultivateur, An IV [1796].
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150 €
Unique édition de cette plaquette publiée à l'occasion de la pompe funèbre en mémoire de Lavoisier célébrée par le Lycée des Arts en août 1796.
Relié à la suite avec page de titre et pagination séparée : "La Mort de Lavoisier, Hyérodrame Mis en musique par le Citoyen Langlé... Paroles de Charles Désaudray". 7-(1bl.) pages.
Deux brochures faisant l'éloge de Lavoisier après qu'il fût guillotiné.
[RORET] VERGNAUD, Armand-Denis.
Nouveau manuel complet de Chimie amusante.
Paris, Librairie encyclopédique Roret, 1842.
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75 €
Nouvelle édition revue et corrigée.
Les manuels roret sont toujours une mine d'informations sur le sujet traités.
BOUILLON-LAGRANGE, Edme Jean-Baptiste.
Essai sur les eaux minérales naturelles et artificielles.
Paris et Saint-Pétersbourg, Klostermann, 1810.
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350 €
Édition originale de tout premier tirage, avec la page de titre de 1810 de toute rareté.
Ouvrage important sur les eaux naturelles et minérales.
La première partie couvre les utilisations internes et externes de l'eau douce, de l'eau de mer et des différents types d'eau minérale.
Une grande partie de l'ouvrage est consacré à la description des principales stations thermales d'Europe, par ordre alphabétique, avec les analyses chimiques des eaux.
La dernière section donne des instructions détaillées pour la préparation des eaux minérales artificielles, avec des planches montrant des appareils pour la fabrication d'hydrogène, de dioxyde de carbone et de sulfure d'hydrogène.
La machine conçue par L.A. Planche pour faire des eaux minérales gazeuses sous pression est aussi décrite.
BAYEN, Pierre || CHARLARD, Louis-Martin.
Recherches chimiques sur l'étain, faites et publiées par ordre du gouvernement.
Paris, Philippe-Denys Pierres, 1781.
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750 €
Edition originale.
C'est le Collège de Pharmacie de Paris qui confia à Rouelle et à Charlard le soin de déterminer si l'étain pouvait contenir des quantités d'arsenic succeptibles de rendre l'usage de vaisselle en étain dangereux pour la santé.
Rouelle décéda avant le début de l'étude et fût remplacé par Bayen.
Bayen est aujourd'hui reconnu comme étant un précurseur de Lavoisier. Il rejeta en effet la théorie du phlogistique 3 ans avant les travaux décisifs de ce dernier.
Dans cet ouvrage sur l'étain, Bayen et Charlard conclurent que l'étain ne contenait pas d'arsenic, au pire des quantité infinitésimales, sans aucun danger pour la santé.
L'avant propos contient une intéressante histoire sur l'étain.
LEMERY, Nicolas.
Traité de l'Antimoine.
Paris, Jean Boudot, 1707.
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1250 €
Edition originale.
Nicolas Lemery (1645-1715), d'abord entré chez un oncle apothicaire, le quitta pour suivre les leçons de Glazer, démonstrateur de chimie au Jardin du Roi. Parti à Montpellier, il y fut aide-apothicaire tout en donnant des leçons de chimie. Reçu apothicaire à Paris en 1672, il ouvrit des cours publics qui eurent un immense succès. Sa réputation d’apothicaire ne faisait que s’accroître. Il est l’auteur de nombreux ouvrages.
L'antimoine, matière des alchimistes est le sujet de nombreux traités d'alchimie.
Lemery est le premier chimiste qui ait parlé raisonnablement des propriétés de ce métal. Son Traité sur l'antimoine contient un grand nombre d'expériences curieuses et de procédés exacts sur l'antimoine et son sulfure.
GAY-LUSSAC, Joseph Louis.
Cours de chimie comprenant l'histoire des sels, la chimie végétale et animale.
Paris, Pichon et Didier, 1828.
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950 €
Edition originale du cours de chimie de Gay-Lussac, publié avec son autorisation, d'après les notes d'un de ses élèves (Marmet).
GLASER, Christophle.
Traité de la Chymie.
Paris, chez l'autheur, 1663.
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1200 €
La rare édition originale en premier tirage de l'un des traité de chimie les plus important du dix-septième siècle.
Christophe Glaser (1629-1672?) est un médecin et pharmacien suisse qui devint apothicaire ordinaire du roi Louis XIV. Nicolas Lemery est formé chez Glaser mais le quitte rapidement ne supportant pas son enseignement presque ésotérique.
Glaser croise la grande Histoire dans l'affaire des poisons. C'est très probablement dans son officine que la marquise de Brinvilliers s'est procuré ses fioles de poison. D'après la Brinvilliers, Glaser fut envoyé en Italie par Fouquet pour apprendre les secrets des poisons italiens.
Caillet attribue ce livre à Moyse Charas, celui-ci mentionne en effet dans la préface de sa Thériaque qu'il a publié un Traité de Chymie sous le nom de Glaser.
On retrouve dans ce livre des préparations curieuses telles l'huile de crâne humain ou la distillation de chair de vipères.
LEFEVRE, Nicolas.
Cours de chymie pour servir d’introduction à cette science.
Paris, Jean-Noel Leloup, 1751.
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1750 €
Nicolas Lefèvre était professeur de chimie au jardin des plantes. Il devint ensuite membre de l'académie Royale de Londres, ville dans laquelle il était venu à la demande du roi d'Angleterre Charles II.
Habile chimiste, les gens de l'art louent l'exactitude avec laquelle il décrit les opérations et rend compte de leurs résultats. Il indique aussi les moyens de reconnaître la fraude dans les préparations pharmaceutiques.
Grand admirateur de Paracelse, il prétendait avoir découvert, comme lui, un secret pour rendre ou maintenir toute la vigueur de la jeunesse dans un âge avancé.
Son cours de chymie obtint un grand succès, connu plusieurs éditions et fut traduit en plusieurs langues.
Cette cinquième édition, la meilleure et dernière édition ancienne a été donnée par Lenglet-Dufresnoy, qui considérait cette chimie comme tout à fait remarquable.
Elle est considérablement augmentée par Du Monstier, les éditions précédentes ne comptant que deux volumes contre cinq pour celle-ci et est illustrée de 11 planches habilement gravées à l'eau forte.
Rare édition qui manque à Duveen et Neville.
HOLLARD, Auguste.
La Théorie des ions et l'électrolyse.
Paris, Gauthier Villars, [v. 1920].
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30 €
GONTARD, J..A. || FIZES, Antoine.
Cours de Chymie de Montpellier.
s.l., s.n., 1749.
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150 €
Édition originale.
Cours de chimie dispensé par Antoine Fizes (1689-1765) à l'université de Montpellier et retranscrit par Gontard qui suivit ces cours durant sept années.
"Ce n'est qu'un amas des véritables sentiments sur les opérations & les remèdes chymoiques d'un des plus éclairés médecins de notre siècle; ce sont des oracles sortis de sa bouche, que j'ai donné tous mes soins à recueillir pendant sept ans que j'ai eu l'avantage d'assister à ses Discours de Chymie." (Gontard dans la préface).
DUMAS, Jean Baptiste.
Mémoire sur quelques points de la théorie atomiste (publié dans Annales de Chimie et de Physique - Tome XXXIII).
Paris, Crochard, 1826.
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80 €
Edition originale.
BERZELIUS, Jöns Jacob.
Des Changemens dans le système de minéralogie chimique, qui doivent nécessairement résulter de la propriété que possèdent les corps isomorphes, de se remplacer mutuellement en proportions indéfinies. (publié dans Annales de Chimie et de Physique - Tome XXXI).
Paris, Crochard, 1826.
Fiche complète >
250 €
Edition originale.
Berzelius est le premier à proposer un système de classification des éléments en les désignant par une abréviation de leur nom latin. C'est le système de dénomination des atomes que nous utilisons toujours (Au pour l'Or par exemple). Il proposait aussi dans son Système de minéralogie en 1818 un début de classification des éléments simples et composés. Dans cet article il modifie son système en tenant compte des récents travaux de Mitscherlich sur les cristaux isomorphes et propose un nouveau classement d'après l'électronégativité des éléments.
On trouve dans le même volume un article d'Antoine Becquerel , "Recherches sur les effets électriques de contact produits dans les changemens de température, et application qu'on peut en faire à la détermination des hautes températures".
DEMACHY, Jean François.
Examen physique et chimique d'une eau minérale trouvée chez M. de Calsabigi à Passy; comparée aux eaux du même côteau, connues sous le nom des nouvelles eaux minérales de Madame Belami.
s.l., s.n., [v. 1756].
Fiche complète >
250 €
Edition originale.
Rare plaquette qui suit les analyses de Rouelle et Cadet sur les eaux de Passy. L'objet de cette étude est de montrer que les eaux trouvées chez Mme Belami, voisine des Calasabigi sont au moins aussi bonnes.
MOITESSIER, Albert.
Etude chimique des eaux minérales de Lamalou.
Paris, A. Delahaye, 1861.
Fiche complète >
75 €
Edition originale.
Albert Moitessier (1833-1889) fut professeur de médecine et doyen de la faculté de médecine de Montpellier.
Lamalou-les-bains est un station thermale de l'Hérault dont les eaux thermales auraient été mises à jour lors du percement de galeries minières au XIème et XIIème siècle.
TRECOURT, M.
Apologie des eaux minérales de Saint-Amand.
Cambrai, Samuel Berthoud, 1775.
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95 €
Edition originale.
Livre écrit en réponse à un ouvrage publié sous le titre d'Instruction sur l'usage des eaux minérales, dans lequel on avait cherché à déprimer la réputation des eaux de Saint-Amand.
RAULIN, Joseph || COSTEL, Jean-Baptiste-Louis.
Observations sur l'usage des eaux minérales de Pougues avec l'analyse chimique des mêmes eaux.
Paris, Edme, 1769.
Fiche complète >
250 €
Edition originale.
Joseph Raulin (1708-1784) médecin, que l'on connait également pour ses travaux sur l'obstétrique fut commissaire et inspecteur général des eaux minérales. Il publiera notamment un très bel ouvrage recensant les eaux minérales françaises.
Ici ses recommandations pour les eaux minérales de Pougues. L'eau minérale de Pougues-les-eaux fut commercialisée de manière continue de 1768 à 1971 et fit la fortune de ce petit village de la Nièvre.
A la suite on trouve l'analyse chimique réalisée par Costel, Maitre apothicaire de Paris.
[CAYAUX ou CAILLOT].
Lettre sur les nouveaux bains médicinaux.
Paris, Veuve Quillau, 1752.
Fiche complète >
250 €
Edition originale.
Ouvrage curieux promouvant la machine de Guérin destinée à produire de la vapeur pour les Bains. Le générateur de vapeur est inspiré de la machine de Denis Papin et couplé à différentes étuves soit pour le corps entier soit pour le siège seul.
La nouveauté tient à la possibilité de réguler précisément les vapeurs et douches.
MALRIEU.
Mémoire sur les eaux minérales chaudes ou thermales de Sylvanés, & sur les eaux minérales froids de Camarés.
Toulouse, Veuve de J.P. Robert, 1776.
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350 €
Edition originale.
Plaquette rare sur les eaux ferrugineuses de Sylvanès et Camarès deux petites communes du sud de l'Aveyron.
Un seul exemplaire recensé dans les bibliothèques publique à Montpellier (source ccfr).
MEYER, Frederich.
Essais de Chymie, sur la chaux vive, la matière élastique et électrique, le feu, et l'acide universel primitif.
Paris, G. Cavelier, 1766.
Fiche complète >
300 €
Edition originale de la traduction française par Dreux.
"C'est par la chaux que l'Auteur a découvert ce principe général inné dans tous les corps, & qui en est le vrai principe élémentaire, ce principe qui constitue l'acide gras ou acidum pingue substance connue des anciens chymistes, [...] & d'où dérivent selon lui tous les autres acides. Cet acide doit être appelé acide primitif." (extrait de l'avertissement)
Curieuse théorie de l'acide pingue, principe primitif qui devait en se combinant transmettre le caractère de causticité à divers composés.
[SECRETS].
Secrets concernant les arts et métiers.
Paris, Claude Jombert, 1716.
Fiche complète >
350 €
Edition originale.
Livre regroupant de nombreux secrets artisanaux pour les arts décoratifs avec les recettes des vernis, encre, teintures utiles aux peintres, graveurs, joaillers, ébénistes, parfumeurs... Un véritable trésor pour les restaurateurs d'objets du XVIIIème siècle.
MALOUIN, Paul-Jacques.
Traité de Chimie contenant la manière de préparer les remèdes qui sont les plus en usage dans la Pratique de la Médecine.
Paris, Guillaume Cavelier, 1734.
Fiche complète >
300 €
Édition originale.
Paul-Jacques Malouin (1701-1778) est un chimiste et médecin français. Ce traité de chimie est destiné à l'usage des médecins et pharmaciens, on y propose principalement des préparations à bases de métaux (mercure, antimoine..) et de sels (tartre, ammoniac..).
CHAMBON, Joseph.
Principes de physique, rapportés à la médecine-pratique
[qui comprend le]
Traité des métaux et des minéraux, et des remèdes qu'on peut en tirer. Avec dissertations sur le sel & le soufre des philosophes, & sur la goute, la gravelle, la petite vérole, la rougeole & autres maladies : avec un grand nombre de remèdes choisis.
Paris, Charles-Antoine Jombert, 1750.
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450 €
Rare édition avec en second volume le Traité des métaux et des minéraux (1750).
LE GIVRE, Pierre.
Le Secret des eaux minérales acides.
Paris, Jean Ribou, 1667.
Fiche complète >
450 €
Edition originale.
Ouvrage rare par Pierre Le Givre (1618-1684) médecin français qui s'était fait une spécialité de l'étude des eaux minérales.
Le livre s'intéresse plus particulièrement à l'eau de Provins, l'auteur y tente une analyse de sa composition et publie plusieurs lettres de ses contradicteurs auxquels il répond.
BERKELEY, George.
Recherches sur les vertus de l'eau de goudron.
Amsterdam, Pierre Mortier, 1745.
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150 €
Première édition en français.
L'un des derniers ouvrages importants publiés par George Berkeley (1685-1753), un philosophe et évêque anglican irlandais.
L'eau de goudron fut un médicament très utilisé au Moyen-Age, d'un goût douteux et fabriqué à partir d'eau et de goudron de pin ou de bouleau.
POTT, Johann Heinrich.
Lithogéognosie ou examen chymique des pierres et des terres en général, et du talc, de la topaze & de la stéatite en particulier, avec une dissertation sur le Feu & sur la Lumière.
Paris, Jean-Thomas Hérissant, 1753.
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450 €
Première édition en français.
Rare premier tirage, complet en un volume.
Le second tirage, publié plus tard la même année, sera augmenté d'un second volume (continuation ...).
Johann Heinrich Pott (1692-1777) fut médecin et l'un des chimistes allemands les plus importants du XVIIIème siècle.
MACQUER, Pierre Joseph.
Elémens de chymie-théorique.
Paris, Jean-Thomas Hérissant, 1756.
Fiche complète >
350 €
Cet ouvrage est l'un des traités les plus influents du milieu du XVIIIème siècle.
LA GARAYE, Claude Tousaint Marot, Comte de.
Chymie hydraulique, pour extraire les sels essentiels des végétaux, animaux & minéraux, par le moyen de l'eau pure.
Paris, Didot le jeune, 1775.
Fiche complète >
750 €
Seconde édition revue augmentée et annontée par Antoine-Augustin Parmentier.
Cette édition, étonnamment bien plus rare que la première, est recherchée pour les notes de Parmentier.
Claude Tousaint Marot, Comte de La Garaye (1675-1755) s'est formé très tardivement à la médecine, à la chirurgie et à la chimie à Paris en 1714. Le comte développe un laboratoire de chimie pour la création de médicaments. Et le roi Louis XV l'encourage dans cette voie à Marly en 1731 et lui achète la méthode pour extraire les "sels essentiels" des plantes médicinales.
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